Leonard De Vinci Composition

du Perugin pour la Sixtine Cappella Sistina, Vatican Auteur : Le peintre italien, Pietro Vannucci, dit le PERUGIN/PERUGINO (1450 – 1523), a peint cette fresque vers 1481. Il fut l'élève de Verrocchio à Florence (vers 1470) en même temps que Léonard de Vinci. Puis le maître d'un autre très grand artiste de la Renaissance : Raphaël. Chargé d'établir l'ensemble de la décoration des murs de la chapelle Sixtine, il garda pour lui-même non seulement la décoration du mur d'autel (qui fut finalement

peinture, on retient le plafond de la chapelle Sixtine, le Jugement dernier sur le mur de l’autel de ladite chapelle, le Martyre de saint Pierre dans la Cappella Paolina du Vatican réalisée par Antonio da Sangallo le Jeune. Il représente, avec Léonard de Vinci, le type même du génie de la Renaissance. Ses réalisations, pour l’essentiel des commandes florentines et romaines, ont durablement marqué l’histoire de l’art occidental. À l’âge de 13 ans, il est placé en apprentissage dans l’atelier du peintre

frères Médicis ; la grâce linéaire qui s'y épanouit atteste que l'artiste a trouvé un langage totalement personnel. Délaissant les panneaux de bois pour la fresque, il peint un Saint Augustin (1480) et une Annonciation (1481), dans lesquels la composition s'organise selon les lignes de la perspective. Le printemps, 1477-1482 La réputation du peintre est telle que le pape Sixte IV l'appelle à Rome. Entre 1481 et 1482, Botticelli y peint trois fresques pour la chapelle Sixtine : les Épreuves de

Bousculant les principes traditionnels de l'art, Michelangelo Buonarotti (1474-1564) de son vrai nom, marqua durablement l'histoire de l'art occidental. Il est rapidement consacré et surnommé 'le Divin'. Il fut au même titre que Léonard de Vinci un génie de la Renaissance qui influença ses contemporains et de nombreux artistes bien après sa mort. Un extrait du Livre de raison tenu par le père de Michel-Ange, nous apprend exactement le lieu et la date de naissance de celui qui devait être un si

constructions aux proportions harmonieuses. •En musique, il intervient dans des rapports de durées et des rapport des fréquences de notes. Autrement dit, ce nombre incarne la perfection qu'elle soit visuelle ou auditive. Le Parthénon d'Athènes Léonard de Vinci. L’homme de Vitruve. Vers 1492. http://therese.eveilleau.pagesperso-orange.fr/pages/truc_mat/textes/nombre_dor.htm 7 Niveau: 3ème Date: avril 2011 Discipline: Mathématiques Nom du professeur: Le nombre d’or Piet Mondrian Tableau

les perspectives * Répartition des masses * Attitudes et expressions très variées * Harmonie de couleurs c. Interprétation Représentation des 7 arts libéraux : géométrie, mathématique, musique, peinture… Au centre de la composition : Platon (Léonard De Vinci) et Aristote Michel-Ange à l’avant-plan dans une pose mélancolique 7. Les noces de Cana, Paolo Véronèse a. Description Banquet avec une foule de personnages. Dans une architecture de la Renaissance Vénitienne. b

Composition : L'humanisme aux XV° et XVI° siècles, origines formes et conséquences. Introduction : « On ne nait pas homme, on le devient », le libre arbitre de l'homme qu’affirment les humanistes transparaît dans cette maxime du Prince des humanistes, Erasme. Se basant sur l'analyse et sur les écrits, scientifiques notamment, des grecs, latins et arabes et des nouvelles civilisations rencontrées lors des Grandes Découvertes les humanistes ont développé en Europe occidentale une nouvelle façon

peintres ont utilisé ce nombre d’or : L/l = On sait qu’un rapport a/b est égal au nombre d’or lorsque : (a+b/a)=a/b. Le rapport a/b est alors égal au nombre d'or. B Proportions On étudie les proportions grâce à l’homme de Vitruve de Léonard de Vinci. On sait ainsi que : La taille du corps fait 8 fois celle de la tête. L’écartement des bras fait la taille du corps La taille des épaules fait ¼ de celles des bras. Etc… Ainsi on peut conclure que l’homme de Vitruve ayant des proportions

les verres, c’est là la perfection des détails. Durer fait son autoportrait lui aussi avec de nombreux détails. La peinture de Léonard de Vinci est identifiable par une technique consistant à estomper les contours par une légère brume, ce qui permet des effets de lumière qui s’appelle le Sfumato. Lui aussi faisant des portraits extrêmement travailler dans leur composition et leurs détails comme dans La Vierge, L’Enfant Jésus et Sainte Anne fait sur bois à l’huile. Le maniérisme une technique pour

est avant tout une question de technique et de métier. L’artiste n’est pas un improvisateur qui suit sa fantaisie, mais un artisan, un technicien qui sait comment il faut travailler le matériau pour rendre l’effet désiré. La Joconde crée par Léonard de Vinci, la statue David élaborée par Michel-Ange, où encore le film Titanic ne sont pas des créations du hasard, mais les fruits de la volonté et du savoir-faire de l’artiste. L’artiste suit ses propres règles. Même s’il n’arrive pas à expliquer rationnellement