Leptine

la régulation métabolique.  Cette dernière a été particulièrement démontrée dans  la régulation du poids pour laquelle il a été mis en évidence qu’une réduction du temps de sommeil entraine des modifications de la sécrétion de la ghréline et de la leptine, deux hormones régulatrices du circuit des aliments,  contribuant ainsi  à une prise de poids. Aux Etats Unis où l’obésitéprend des allures d’épidémie, les chercheurs avancent l’hypothèse du rôleconcomitant de la privation de sommeil qui est importante

GH des adultes jeunes déficitaires normalise ou améliore la composition corporelle: augmentation de la masse maigre et de la force musculaire, diminution de la graisse totale et abdominale, diminution du cholestérol total et des LDL et du taux de leptine sérique, gain plus tardif de masse osseuse. La qualité de vie est améliorée. La tolérance au glucose et la sensibilité à l'insuline tendent à s'aggraver dans les premiers mois de traitement puis s'améliorent parallèlement à la diminution de la masse

peuvent être assimilés à la consommation régulière de cannabis, mais aucune étude concrète ne l’a encore démontré. LE SAVIEZ-VOUS ?La montée d’appétit qui suit traditionnellement la consommation de marijuana est scientifiquement expliquée : La leptine est l’hormone qui contrôle la sensation de satiété. Or le THC, se dépose sur ses récepteurs et l’empêche d’accomplir sa besogne, d’où la grande sensation de faim persistantes. | |

animale qu'une sous-nutrition de la femme enceinte ou allaitante peut entraîner des modifications autour de l’ADN induisant des pathologies métaboliques jusqu'à l'âge adulte (obésité, diabète ou hypertension). On a récemment montré que le gène de la leptine (hormone de la satiété et du métabolisme était effectivement affecté (déméthylation) en cas de sous-nutrition du fœtus), via des mécanismes moléculaires de « programmation » encore mal compris[4]. Notes et références[modifier] A - Macronutriments

établi expérimentalement qu’une privation de sommeil aigue était responsable d’une altération du métabolisme glucidique. Puis divers travaux épidémiologiques et physiopathologiques ont confirmé l’impact chronique de la durée de sommeil (5-7) sur la leptine, l’obésité, la résistance à l’insuline et la survenue d’un diabète. C’est ce qui a fait rapprocher, même si ce n’est évidemment pas le seul facteur, la réduction du temps de sommeil aux US et l’aggravation de l’obésité. Par ailleurs, un travail a

ceux qui dorment moins de 6 heures sont parmi les plus gros Obèses. Il y a association de Troubles Comportementaux et de Troubles Métaboliques. Il y a des modifications des sécrétions de Ghréline, de Leptine, de Cortisol et de GSH, avec apparition d’une Insulino-Résistance. Dans ces conditions la Leptine diminue, or elle est satiétogène et anorexigène. Chez la personne Obèse on voit se développer une Leptino-Résistance. Ce phénomène s’accentue en présence d’une dette de sommeil. On voit également le

pratique semble ne prévenir qu’imparfaitement la perte osseuse, l’effet n’étant détectable qu’au niveau de quelques sites osseux. Parmi les facteurs responsables de la perte osseuse, sont évoquées la diminution des productions d’estrogènes, d’IGF-1, de leptine et l’augmentation de celle du cortisol. La baisse des apports calciques liée à des régimes pauvres en produits laitiers est une autre des explications proposées. Ce déficit d’apport calcique serait encore aggravé par une réduction de la capacité de

niveaux d'une hormone dans l'organisme appelée leptine. La leptine peut apparemment jouer un rôle pour vous rendre mince, c’est une autre raison pour ne pas bannir les hydrates de carbone de votre alimentation, car parfois la suralimentation en hydrates de carbone peut réorienter votre niveau de leptine. Si vous suivez une diète en réduisant vos calories, les niveaux de leptine commenceront à chuter dans votre corps. Et quand les niveaux de leptine diminuent dans le corps, cela permet de réduire

femme qui réduit excessivement sa consommation de lipides alimentaires (corps gras et graisses de constitution des aliments) peut voir ses règles s'arrêter. Cela en raison de la mise en jeu de mécanismes hormonaux qui font notamment intervenir la leptine, l'insuline et l'hormone de croissance. Avis à toutes celles qui traquent sans relâche les graisses dans leur alimentation ! Ainsi, en l'absence d'anomalie hormonale (finalement assez rare) et bien sûr en dehors de la grossesse, l'arrêt des règles

sainement, c’est-à-dire d’avoir des repas chauds par exemple, et ce à des heures régulières. Une autre cause de ces troubles serait liée au décalage de l’horloge biologique avec des dérèglements des hormones, notamment l’hormone de croissance, la leptine (hormone de satiété) et la ghréline (hormone de la faim). La sécrétion de ces hormones ne concorderait plus avec les horaires, d’où un surpoids fréquent des travailleurs de nuit. De plus, comme nous l’avons dit précédemment, le manque de sommeil