Lerrance Guillaume Apollinaire

Hugo, Apollinaire et Ronsard évoquent aux lecteurs le thème de la mort en utilisant la situation d’énonciation. Ces textes sont du même genre, la poésie. Ils se ressemblent, dans le cas, où ils sont tous trois des poèmes composés d'alexandrins pour Hugo et Apollinaire, Ronsard lui rajoutera aussi des tercets. Ils s’adressent à des personnes, en évoquant la mort. Cependant ces trois poèmes ne sont pas de la même époque, puisque le poème de V. Hugo date de 1856, celui de G. Apollinaire date de

divers, juxtaposés ou enchevêtrés dans une même œuvre. Ils s'affranchissent de la perspective pour donner une importance prépondérante aux plans dans l'éclatement des volumes. LA PROMOTION D'APOLLINAIRE : Grand admirateur de Cézanne le poète Guillaume Apollinaire fut dès leurs débuts le défenseur des peintres cubistes. C'est lui qui imagina dans l'analyse de leurs œuvres, une dimension métaphysique. En 1908, il rédige la préface du catalogue de l'exposition du Cercle de l'art moderne du Havre dans laquelle

Alcools de Guillaume Apollinaire Alcools est un recueil de poèmes, écrit par Guillaume Apollinaire, condensant 15 ans d’écriture poétique, il fut parut en 1913. Ce recueil peut être considéré comme le point de départ de la poésie du XXe siècle. Prenant place dans un courant d’innovation artistique, Alcools reflète la sensibilité de son écrivain habité par les souvenirs de ses amours défuntes telles que Annie Playden ou Marie Laurencin, celles-ci procurent une véritable mélancolie qui, entre tragique

(1896-1966) fut ALORS le principal fondateur du surréalisme, le seul artiste à avoir appartenu au mouvement depuis son origine et jusqu'à sa mort. Le substantif « surréalisme » apparaît pour la première fois en mars 1917 dans une lettre de Guillaume Apollinaire à Paul Dermée : « Tout bien examiné, je crois en effet qu'il vaut mieux adopter surréalisme que surnaturalisme que j'avais d'abord employé ». Les surréalistes cherchent à libérer l'inconscient. Pour ce faire, ils utilisent les diverses techniques

Vienne la nuit sonne l’heure Les jours s’en vont je demeure Passent les jours et passent les semaines Ni temps passé Ni les amours reviennent Sous le pont Mirabeau coule la Seine Vienne la nuit sonne l’heure Les jours s’en vont je demeure Guillaume Apollinaire, Alcools, 1913 ‘’La chanson du mal-aimé’’ Un soir de demi-brume à Londres Un voyou qui ressemblait à Mon amour vint à ma rencontre Et le regard qu'il me jeta Me fit baisser

TE 3 : Corpus : Dans ce corpus, nous allons étudier les poèmes “Demain dés l'aube...” de Victor HUGO, “Si je mourais là-bas...” de Guillaume APOLLINAIRE et “derniers vers, 1586. Je n'ai plus que les os...” de P. de RONSARD. Nous comparerons la situation d'énoncition de ces trois poèmes dans le but de savoir en quoi la mort concerne-t-elle chacun des locuteurs. On commencera par le poème d'APOLLINAIRE et de RONSARD puis on développera le fait qu'HUGO se démarque des autres. Tout d'abord, on

 Introduction Guillaume Apollinaire de son vrai nom « Guillaume Apollinaire de Kostromitsky est considéré comme le père fondateur du courant surréalisme, et classé parmi les acteurs du renouveau poétique caractérisé par une vie amoureuse douloureuse, il sert alors la poésie comme un lieu de confession et de l’écriture comme calmant de ses douleurs. C’est ainsi qu’il publié en 1913 l’œuvre poétique « Alcools » renfermant 55 poèmes regroupées

en extrait ne trahisse l'ensemble. (2) Sous le titre "Neruda chante": Le Paresseux. Propositions pour réaliser la lecture méthodique des cinq poèmes: Jacques Réda Louis Aragon Paul Fort Jacques Prévert Guillaume Apollinaire La Bicyclette (Retour au calme) La Guitare (Élégie à Pablo Neruda) La Corde (Ballades françaises) Promenade de Picasso (Paroles) La Cravate et la montre (Calligrammes) 1 - La Bicyclette, in Retour au calme, section des Écoles du soir

Descartes le soutient dans les Principes de la philosophie (première partie, article 8), mais il change et je demeure le même. « Vienne la nuit sonne l’heure / Les jours s’en vont je demeure » dit justement le refrain du poème Le Pont Mirabeau de Guillaume Apollinaire (1880-1918) repris dans Alcools (1913). Sans compter que c’est ce que je fais de mon corps qui me définit. C’est pourquoi le point de vue des autres sur mon corps, qui est plus complet, moi, qui n’en fais jamais le tour, ne leur donne aucun

leur peau patinée de pierres. Mais quinze jours sur les trottoirs chauves de Manhattan C'est un poème en vers libres, sans rimes. Le poème en vers libres montre la modernité des poèmes. Mais lui garde les formes de ponctuations pas comme Apollinaire. Sédar Senghor évoque le monde moderne par les mots «  gratte-ciel, métal, acier.. » des matériaux et bâtiments qui faisaient, à l'époque peur car le monde changeait. Il fait vivre la ville par ses personnifications « t'es yeux métal bleu, ton