Les Accords Latran

religion » (avec un culte, celui du chef ou duce, le nouveau guide), mais aussi de l'État italien, qui est en effet en conflit avec la papauté depuis l'annexion de Rome et des Etats pontificaux en 1870. La question sera cependant réglée avec les accords du Latran en 1929. Le fascisme va au delà de la simple dictature. Pour lui « la nation n'est pas la simple somme des individus vivants, [...] mais [...] la synthèse suprême de toutes les valeurs matérielles et spirituelles de la race » (l. 12-13). Les

juridictions supérieures italiennes. En 1988, le Conseil d’Etat avait affirmé que la présence de crucifix dans les salles de classe n'était pas contraire au principe de laïcité, au motif que « les dispositions l'ayant instituée étaient antérieures aux accords du Latran et que ces derniers ne faisaient aucunement référence à la question du crucifix » (avis n° 63 du 27 avril 1988). En 2000 la Cour de cassation a pourtant soutenu l’incompatibilité de la présence de crucifix dans les bureaux de votes à ce même

retrouve enfermé au Vatican. II. Revendications territoriales : l’Italie revendique des territoires en Yougoslavie (Istrie et côte dalmate) car ceux-ci appartenaient autrefois à la République de Venise. À la veille de la Première Guerre Mondiale, des accords sont signés avec l’Allemagne et l’Autriche-Hongrie. La France et l’Angleterre en profitent pour attirer l’Italie dans leur alliance et promettent qu’en cas de victoire, la Dalmatie et l’Istrie deviendront des territoires italiens. En 1919, les

tripartite et la collection d anselme de lucques . Texte énorme et original . B l originalité du décret de Gratien Au debut il s intitule «  concorde des canons discordants » ce titre résume le projet de l’auteur : classer et résumer les textes et les accorder lorsqu ils s opposaient . On présente dans le décret les textes qui vont dans un sens et dans un autre et on trouve une solution ; c est la la profonde originalité du décret . Il s agit d un recueil ou les textes sont aussi accompagnés de commentaire

sept péchés capitaux à savoir : l’orgueil, l’avarice, l’envie, la colère, l’impureté, la gourmandise et la paresse. Cette liste est fixée définitivement au quatrième consul de Latran en 1215, elle est par la même consignée au XIIIe siècle dans Somme théologique de Thomas d’Aquin. Le personnage d’Harpagon va en effet accorder une très grande importance à l’argent voir même un attachement trop excessif. Cette avarice se caractérise d’une part avec la répétition constante du mot « argent », (5 fois)

collectivité mais aussi le maniement des armes et la discipline militaire, à côté cours théoriques sur le fascisme. Afin de pouvoir s'appuyer sur les masses catholiques et, surtout, la hiérarchie ecclésiastique du pays, Benito Mussolini signe les accords du Latran en 1929, mettant fin à la question romaine, accordant au pape un État, le Vatican, et un statut de chef d'État. 5. Une politique étrangère d'abord hésitante puis belliqueuseDans les années 20, Mussolini joue un jeu d'alliances assez classiques

est reconnue et attendue par les fidèles. Luther, en 1520, appelle au concile, sans succès : L’Eglise, quelque peu sclérosée, reste sans voix dans un contexte qui exige pourtant une réponse forte. Des tentatives furent faites (comme le concile de Latran, 1512-1517), mais ne remportent pas l’adhésion générale dans une Europe en guerre et où la voix de la Curie s’est affaiblie. Le besoin de réaction se fait pressant : les fidèles, restés fervents, se demandent comment croire, et une partie d’entre

Après la mort de Lénine en 1924, Staline, secrétaire du PCUS (le parti communiste russe), gagne sur ses rivaux (dont Trotski) en s'appuyant sur la nomenklatura sur les débats internes au parti. La nomenklatura est l'ensemble des postes importants accordés par le PCUS dans l'administration du parti ou dans les entreprises ; elle désigne la classe privilégiée en URSS en général. Après avoir évincé tous ses rivaux (Trotski est exilé à vie en 1929, Zinoviev et Boukharine quittent la vie politique), Staline

L’ART ENTRE LA FIN DE L'ANTIQUITÉ ET L'ÈRE CAROLINGIENNEIntroductionLa période étudiée se situe entre la fin de l’Empire romain d’occident (476) et l’avènement de Charlemagne (800). On dit souvent que cette période est considérée comme "âge obscur”, une période de décadence. Mais en réalité c’est une période importante marquée par sa continuité et la nouveauté de la diffusion du christianisme avec la construction d’églises. Également, l'importance des contacts avec les populations romaines et

pléthores. En premier chef, les affirmations du Président de la République, notamment ces discours de Saint-Jean-de-Latran et de Ryad, ont été maintes fois citées : « l’instituteur qui ne pourra jamais remplacer le curé, le pasteur, le rabbin ou l’imam dans la transmission des principes de la République », c’est une formule qui a marqué nos militants. Concernant les honneurs accordés à la réception du Pape, un militant note un paradoxe : « au nom de la laïcité, on s’offusque des égards rendus au Pape