Les Acteurs Illicites De La Mondialisation La Mafia

club. 19 L’histoire d’une équipe de football qui a réveillé les consciences politiques de tout un peuple. 19 III. L’économie 21 1. Qu’est ce que l’économie souterraine ? 21 2. L’Amérique Latine, un acteur majeur du trafic de drogue mondial. 22 Des pays producteurs de drogue. 22 Les mafias, la corruption et la criminalité organisée. 22 3. Les conséquences du narcotrafic sur l’Amérique Latine. 23 L’Ecologie 23 L’Economie 24 La Politique 24 La Santé 24 4. Amérique Latine : pauvreté

MONDIALISATION ET INTERDEPENDANCES Introduction: définition et histoire de la Mondialisation a) Définition : La mondialisation est un processus multiséculaire d’internationalisation des échanges – qu’ils soient économiques, financiers, politiques, humains, culturels ou d’informations - qui engendre une mise en relation des différentes composantes territoriales du monde (ville, région, Etat…), d’acteurs différents - Etats, FMN, institutions internationales, ONG - d’ensembles géographiques

niveau mondial. Il apparaît d’ores et déjà que le dispositif semble néanmoins insuffisant. Dans ce contexte, il semble donc pertinent d’étudier le rôle des autorités fiscales des Etats. Mots clefs Mots Clés : ➢ Argent de provenance illicite, argent «sale» ➢ Blanchiment ➢ Paradis fiscaux et financiers ➢ Fraude et évasion fiscale ➢ Coopération internationale ➢ Criminalité organisée ➢ Secret bancaire et professionnel ➢ Traçabilité des fonds Sommaire INTRODUCTION --

force traditionnels, va faire le lit de luttes internes de pouvoir conduisant dans certains cas à des coups d'État. Les pouvoirs politiques dépendent fortement des hiérarchies sociales, des titulaires du pouvoir économique (grandes firmes étrangères, mafias) et symbolique (religieux, chefferie). Ainsi l’on constate des problèmes de chevauchements entre les pouvoirs économiques et politiques avec une faible différenciation entre l’administration, le gouvernement et les politiques et les intérêts économiques

la constitution d’un marché financier mondiale c’est les « 3D » (désinternalisation , déréglementation , décloisonnement ) une constitution d’un marché financier mondiale ( comment expliquer l’instabilité  économique de la croissance ? ). La mondialisation recouvre une grande diversité de processus. Elle correspond, en premier lieu, à l’ouverture des économies nationales aux transactions internationales et le développement des échanges de biens et services (dimension internationale). C’est, à un

introduction Séance 2 : présentation du système international contemporain Séance 3 : Séance 4 : principal acteur international : état : politique étrangère, coopération ou guerre, processus intégrationniste Séance 5 : les organisations internationales gouvernementales : Nations Unies, l’OTAN, l’OMC, FMI Séance 6 : l’UE Séance 7 : Les ONG Séance 8 : Les firmes multinationales Séance 9 : acteurs illicites transnationaux Séance 10 : point d’actualité immédiate 15/01/15 Introduction : I. La discipline

cadre institutionnel (banques, assurances, banque centrale…), pérennisation de la pratique des échanges internationaux... 2) La Révolution industrielle et la première mondialisation A. La première Révolution industrielle et son contexte : 1830-1879 a. La Révolution industrielle La première mondialisation intervient dans la foulée de la Révolution industrielle connue par la Grande-Bretagne entre 1760 et 1830. A partir de 1830 et durant toute la seconde partie du XIXème siècle

économique, judiciaire et policière. La conjugaison de ces deux imaginaires étatique et islamique témoigne d’une réévaluation de l’État-nation que l’on peut qualifier, avec Ernesto Laclau, de « populiste »2. L’opinion, guidée en cela par les acteurs musulmans, puise dans l’islam pour trouver non seulement de la cohérence sociale, de l’identité, de la tradition, de l’histoire et des valeurs, mais aussi un espace d’expression politique alternatif à l’État, aux institutions publiques et aux partis

que le secret commercial et secret bancaire restent des avantages qui attirent plusieurs chasseurs de richesses. Un secteur financier bien développé et bien maitrisé en comparaison avec la taille du pays ou la dimension de son économie est bien un acteur majeur qui incite un investisseur à s’y installé avec esprit détendu. Ces pays investissent également en infrastructures de communication et de transport, et font un maillage des conventions fiscales faible ou inexistant pour encourager les investisseurs

capitaux ? Le blanchiment des capitaux (argent sale) est différent de la fraude fiscale (argent noir). Selon, la coordonnatrice du GIABA, Mme Ndèye Elisabeth Diaw[1] « le blanchiment de manière large, consiste à chercher à dissimuler l’origine illicite des profits, afin de pouvoir les investir en toute impunité dans les circuits financiers». En outre, l’article 2 de la directive de l’UEMOA relative à la lutte contre le blanchiment des capitaux a aussi défini le blanchiment des capitaux. Légalement