Les Adieux Du Vieillard

conduit à Nysa par Hermès, alors qu'ils étaient tous deux encore très jeunes. Selon les versions, Nysa est soit un lieu mystérieux sur le mont Nyséion, en Thrace, soit une ville de haute Égypte. Dionysos y fut élevé par des nymphes et par un vieillard nommé Silène. Dionysos et le théâtre grec page : 1/10 Dionysos est un mot grec qui vient de : • Dios : génitif de Zeus • Nyso : jeune garçon, masculin de Nysa, qui veut dire jeune fille. D'après son étymologie, c'est donc le jeune garçon

Nous nous connaissions de longue date, et le malheur nous avait frappés ensemble, mais nous ne savions pas grand-chose l'un de l'autre. Nous nous dîmes alors, en cette heure décisive, des choses qui ne se disent pas entre vivants. Nous nous dîmes adieu, et ce fut bref: chacun prit congé de la vie en prenant congé de l'autre. Nous n'avions plus peur. Et brusquement ce fut le dénouement. La portière s'ouvrit avec fracas; l'obscurité retentit d'ordres hurlés dans une langue étrangère, et

Français – Commentaire composé – La mort d’HadrienMarguerite m est une auteure du XXème siècle, femme de lettres, académicienne, Française et naturalisée Américaine. En 1951, elle publie « Mémoires d’Hadrien » qui connaît un succès mondial. Le roman se lit comme des mémoires fictives de l’empereur. Le passage que l’on étudie ici se trouve dans la quatrième partie du roman intitulée « PATIENTA », qui signifie « patience », et qui est une partie sur la fin de vie de l’empereur : Hadrien apparait obsédé

tranquille, elle a dû lui dire, lui a dit, ton maître va venir bientôt et tu seras au sec dans une bonne écurie bien chaude. Adieu, mon chéri, elle a dû lui dire, lui a dit, je la connais. Et elle est partie, une pitié dans le cœur, pitié pour ce vieux docile qui allait sans jamais protester, allait où son maître lui commandait, qui irait jusqu'en Espagne si son maître l'ordonnait. Adieu, mon chéri, elle lui a dit, je la connais. « Hantise d'elle, jour après jour, depuis le soir de destin. Ô elle, tous

lui fait prononcer cette harangue (=discours violent) au moment des adieux des Tahitiens à Bougainville. Face aux Tahitiens qui se lamentent du départ de Bougainville, le vieillard souhaite les mettre en garde : ils ont tort de pleurer cette homme qui va n’apporter que malheur et désolation sur leur terre. Le philosophe se sert de ce discours pour faire prendre conscience de la barbarie des Européens colonisateurs. Le vieillard, porte-parole de l’auteur, remet également en question le soi-disant

Philosophes des Lumières cherchent-ils à la fois à instruire et à critiquer pour faire évoluer la société ? 1. Fontenelle, Entretiens sur la pluralité des mondes, p. 248-249 Lectures analytiques 2. Diderot, Supplément au voyage de Bougainville, « Les adieux du vieillard » (texte polycopié) 3. Montesquieu, Lettres persanes, extrait de la lettre XXIV (texte polycopié) 4. Voltaire, Candide, chapitre 3, (texte polycopié) Synthèses Lecture cursive complémentaire : œuvre intégrale Activités personnelles - Opposition

déclare : « Atala [...] n’a que trois personnages : Atala, Chactas et le père Aubry. René ne sert en effet que d’oreille attentive au récit de Chactas, dont il est, d’une certaine manière, le reflet inversé. » Chactas : c’est un Sachem Natchez (vieillard ou conseiller en Natchez) d’environ 73 ans. Respecté et considéré comme un sage par les tribus indiennes, ce vieil aveugle eut une vie très difficile qu’il raconte à René. Fils d’Outalissi, un guerrier Natchez, Chactas est recueilli par un « vieux

européens, lors de leur voyage à Tahiti.Dans cet extrait, nous assistons à un discours prononcé par un vieux Tahitien. Celui-ci s’adresse à Bougainville lors le navigateur et son équipage s’apprêtent à quitter l’île de Tahiti. Lors de leur départ, le vieillard va exprimer sa colère. Il appréhende le fait que les années à venir les européens reviennent sur l’île, afin de la coloniser et de s’emparer des terres que les tahitiens possèdent. Diderot va réussir à travers le personnage du Tahitien à dénoncer

Qui ne sort jamais hors, sinon aux jours de fête,
 Et craignant plus le jour qu’une sauvage bête,
 Se fait en sa maison lui-même prisonnier.
 Mais je ne puis aimer un vieillard voyager, 
Qui court deçà delà, et jamais ne s’arrête
 Ains des pieds moins léger que léger de la teste,
 Ne séjourne jamais non plus qu’un messager.
 L’un sans se travailler en sûreté

était donné, si vous aviez du cœur, si vous aimiez la vie, vous le verriez se déchaîner, ce monstre ou cet ange que vous portez en vous. Notre époque meurt d'avoir cru aux valeurs et que les choses pouvaient être belles et cesser d'être absurdes. Adieu, je rentre dans l'histoire où me tiennent enfermé depuis si longtemps ceux qui craignent de trop aimer. » disait Camus. 4) La Machine Infernal de Cocteau : Contrairement à "Œdipe Roi" de Sophocle qui est une de ses fameuses tragédies grecques