Les Agricultures Traditionnel

problématique de développement durable, à l'échelle mondiale. 4-Le Monde Diplomatique développait récemment (en août 2004) le cas de l’ oasis de Tozeur dans le Sud Tunisien : ici deux types d’ espaces coexistent, l’ espace agricole de la palmeraie traditionnelle et l’ espace touristique qui fait de la palmeraie un décor. L’ eau, ressource rare qui est devenue payante est au cœ ur des enjeux dans le cadre de ce système qui n’ pas très durable. est Certaines études de cas permettent de croiser les regards

spécialisation des territoires (viticulture, maraîchage, fruits, élevage, cultures céréalières, …) Production multipliée par deux mais une réalité différente : - une agriculture moderne qui s’en sort bien et une agriculture traditionnelle qui s’affaiblit. - des paysans pauvres qui exploitent

Q1 : Citez toutes les activités rurales en République du Bénin. R1 : Agriculture Elevage Pêche Chasse Artisanat rural Exploitation forestière Q2 : A quel secteur appartiennent-elles ? R2 : Au secteur primaire. Q3 : Présentez quelques caractéristiques générales de ces activités. R3 : Utilisation de techniques et méthodes encore traditionnelles Outillage rudimentaire Pêche et élevage traditionnel Agriculture peu associé à l’élevage Le faible rendement. Q4 : Quels sont les atouts

L’unité du Sud tient d’abord à son retard économique. L’agriculture, qui occupe la majorité des actifs, est globalement peu productive et le secteur tertiaire souvent pléthorique. Le secteur informel est important. L’industrie oppose un secteur traditionnel à un secteur moderne dépendant des investissements du Nord. Dans la nouvelle division internationale du travail (DIT), le Nord se réserve la haute-technologie. Il en résulte un échange inégal, les PED fournissant des produits manufacturés à faible

A– Une agriculture traditionnelle relayée par un essor industriel et des services : Absence de modernisation d’une agriculture de petits propriétaires. Ce retard s’explique fondamentalement par de petites propriétés ( partage égal des terres ) et une capacité à mobiliser les capitaux . Un agriculteur français vivote , cette agriculture n’est pas amenée à se moderniser . Les lois Méline , un tarif douanier extrêmement contraignant . ( Le paysan normand- Maupassant ) qui illustre très

chimiquement modifié . Elle cherche à renouer avec les principes traditionnels. La plupart des agriculteurs biologiques souhaitent protéger la nature et leur santé. Ce terme fut adopté en 1950, par opposition aux autres modes de culture. Pour obtenir le label AB (ce label fut créé en 1985 pour certifier la provenance des produits de l'agriculture biologique) l'exploitation doit suivre un cahier des charges très précis. Bien que cette agriculture présente de nombreux avantages, il existe aussi des limites

traçabilité du produit et des circuits de commercialisation. -la qualité : offrir aux consommateurs un produit authentique et entièrement naturel (certification biologique). -le respect : respecter l’environnement et valoriser les savoir faire traditionnels. Il s’agit là d’une base minimale, traduite en critères de labellisation par les organisations de commerce équitable. D’autres critères sont possibles comme le progrès, en vue de garantir le développement durable des groupes de producteurs

la sous-nutrition et la montée de l'obésité, du fait d'une alimentation trop riche et excessive. La sous-nutrition diminue fortement depuis1970. II L'agriculture intensive Si il n'y avait pas eu la révolution verte (passage de l'agriculture traditionnelle à faible rendement au mode moderne fondé sur le commerce et l'échange et investissant en priorité sur les outils de production), avec l'irrigation dans les années 1970 (engrais chimiques, variétés naines de blé …) , jamais la Chine n'aurait eu

assez de moyen de le faire. Le processus d'occidentalisation ne s'est pas fait tout seul, il est issu d'un manque de possibilité. Les occidentaux ont su implanter et rendre visible leur mode de vie partout en bouleversant parfois des modes de vies traditionnels et en proposant leur culture en remplacement. Cependant quand elles en ont la force, les civilisations n'acceptent pas aussi facilement le processus. Nous pouvons expliquer le phénomène de quasi-hégémonie de l'occident de par quelque chose d'objectif

Cependant, le passage d’un mode de culture traditionnel à un mode biologique nécessite du temps ; en effet, il faut 2 à 3 années de jachère pour mettre les parcelles aux normes et de 4 à 6 ans pour maîtriser parfaitement la technique. A cela on peut ajouter les problèmes administratifs qui viennent se greffer, par exemple en 2000, seulement 450 dossiers ont été signés par les pouvoirs publics et 2000 étaient encore en attente. Le label AB, signifiant Agriculture Biologique est une spécificité française