Les Amants de la nuit

aisance d’écriture et sa poésie lui ont valu une notoriété naissante dès l’âge de vingt ans. La mort de son père deux ans plus tard a considérablement influencé sa carrière littéraire : il décida de tenta sa chance au théâtre. Malgré l’échec de sa « Nuit Vénitienne », Alfred de Musset continua d’écrire et part en Italie avec Georges Sand. Malade, il rentra à Paris où il fit jouer des comédies. Bibliothécaire du ministère de l’intérieur, il est révoqué en 1848. Entre temps le 24 avril 1945 il reçu la

que Deloche, un garçon aussi timide qu’elle. Personne ne veut embaucher la fille excepté Mouret, le patron, qui intervient : il lui trouve un « charme caché » (p.68). Denise se sent amoureuse de Hutin, un vendeur. Chapitre III Mme Desforges (une amante de Mouret) invite, pour le thé du samedi, le baron Hartmann (directeur du Crédit Immobilier), Mouret et des bourgeoises. Mouret est très apprécié de ces dernières, séduites par le magasin. Il veut que le baron lui cède des immeubles pour agrandir

caprices de Marianne, dans celui-ci Marianne donne une leçon de féminisme a Octave. Marianne est la jeune épouse du juge Claudio, dont Coelio est amoureux et Octave est l'ami de celui-ci, Octave doit faire en sorte que Marianne veuille bien prendre un amant . Dans cette scène, Marianne défend la cause des femmes Nous tenterons de commenter cette extrait, premièrement nous parlerons de la vision du cavalier à la mode sur les femmes, ensuite nous parlerons de la visons de Marianne, enfin nous conclurons

appartenant au vocabulaire marin (« rivages », « océan », « jeter l’ancre »). A noter que le poème commence par le mot « ainsi », comme pour donner la perception que le poème commence après une longue et profonde méditation. L’homme est poussé vers « la nuit éternelle » inéluctablement : rien ne peut arrêter le temps qui passe. Dans la deuxième strophe, le poète s’adresse directement au lac et le tutoie comme s’il s’agissait d’un ami, d’un confident. Il évoque Julie [immortalisée dans d’autres compositions

heures à l’affût, pour tuer un renard qui mangeait ses poules. Ils guettèrent dans la nuit. Soudain, une ombre se déplaça entre les arbres. Le comte fit feu : un homme s’écroula. C’était le baron de C… Jaloux, le comte avait cru tuer l’amant de sa femme. Mais bientôt une forme s’élança, terrassa le comte et se jeta sur le cadavre qu’elle couvrit de baisers. C’était la femme de chambre du château que le baron, dans la nuit, allait rejoindre.  Les thèmes - « La fidélité et la jalousie dans le couple

principale. Cette scène semble appelée par la révélation que le notaire fait à Jeanne à la fin de la scène précédente : « Votre mère a connu votre père quand elle était très jeune ». Comme si cette parole suffisait à ressusciter le passé, les deux jeunes amants apparaissent sous les yeux des spectateurs. Nous envisagerons d’abord l’enjeu du dialogue. Puis nous étudierons le registre lyrique, dominant dans cet extrait. C’est le paradoxe entre la nécessité de parler et celle de se taire, entre le secret

Rose et Mignon représentent le couple parfait. Mignon accepte que Rose ai un amant. Malgré ça, il reste très jaloux. Ils ont une très bonne entente. Le comte Muffat et sa femme Sabine Estelle et Daguenet se marient suite à un arrangement entre lui-même et Nana. Le Comte Muffat, père d'Estelle n'était au départ pas vraiment d'accord avec cette idée car Nana lui avait dit que Daguenet était l'un de ses précédent amants. Daguenet voulant vraiment épouser Estelle dit à Nana que si elle réussissait

appartenant au vocabulaire marin (« rivages », « océan », « jeter l’ancre »). A noter que le poème commence par le mot « ainsi », comme pour donner la perception que le poème commence après une longue et profonde méditation. L’homme est poussé vers « la nuit éternelle » inéluctablement : rien ne peut arrêter le temps qui passe. Dans la deuxième strophe, le poète s’adresse directement au lac et le tutoie comme s’il s’agissait d’un ami, d’un confident. Il évoque Julie [immortalisée dans d’autres compositions

d’Orléans par sa période festive suite au décès de Louis XIV, les Lumières interrogent la société et souhaitent diffuser le savoir. Éminent représentant de ce courant, l’abbé Prévost décrit Manon Lescaut et le chevalier Des Grieux comme deux jeunes amants animés d’une passion désastreuse qui vont les conduire aux pires méfaits dans son roman-mémoires, Manon Lescaut , publié en 1731. Nous allons nous pencher sur la mort de l’héroïne, que l’on peut qualifier de dénouement et

pour lui faire aimer ces leçons et lui faire accepter la nécessité d'obéir. Le meurtre d’une femme, par son amant dans le café d'en face, l’émeut. Et l'intrigue. Elle veut savoir comment deux amants en sont arrivés là. C'est à partir de sa propre figure de femme, notamment dans sa relation aux hommes, qu'elle tente de comprendre : comment cette femme en est arrivée par amour à demander à son amant de la tuer ? Chauvin : il est cet homme qui devient le protagoniste d’Anne Desbaresdes. Il est au comptoir