Les Amants du Flore

de mère comme dit dans la première partie mais aussi un rôle dans la sphère publique où elles ont un rôle de travailleuse. L’auteure, dans les lignes suivantes, continuent d’appuyer sur le rôle de la femme comme épouse et amante mais également comme fille : « Comme amante elle a action dans toute sa jeunesse… Enfin comme fille à action sur lui dans sa vieillesse ». De ce fait on voit que la femme à vraiment une place importante dans chaque étape de la vie d’un ouvrier aussi bien dans son rôle

plaisir sexuel remet l’arrivée de la mort à plus tard: Como um negro e sombrio firmamento, Sobre mim desenrola teu cabelo... E deixa-me dormir balbuciando: – Boa noite! – formosa Consuelo8 (ALVES, 1960, p. 123). Après le climax de l’amour, les amants se laissent vaincre par la fatigue. Mais les plaisirs de l’amour ne cessent d’augmenter en se projetant dans la jouissance du sommeil. En aimant Éros, le poète expulse Thanatos, la mort. En le chantant, le poète fait appel à toute sorte de femmes

a posé pour statue La Frileuse de Clodion. III Les femmes passent sous les arbres En martre, hermine et menu-vair, Et les déesses, frileux marbres, Ont pris aussi l'habit d'hiver. La Vénus Anadyomène Est en pelisse à capuchon ; Flore, que la brise malmène, Plonge ses mains dans son manchon. Théophile Gautier, Emaux et camées, 1852. Gautier est l’un des rares poètes à présenter l’hiver d’une manière si méliorative. L’hiver en littérature, représenté souvent par

- la flore va confirmer le caractère exotique de l’île : "des arbres singuliers et des fruits savoureux". On voit le parallélisme de construction (déterminant + Nom commun +adjectif qualificatif), les deux adjectifs « singuliers» et « savoureux» ont trois syllabes

genoux, enfants débauchés,Chers confidents de mes péchés,Sus ! qu'à pleins gosiers on s'écrieBéni soit le terroir de Brie ;Béni soit son plaisant aspect,Qu'on n'en parle qu'avec respect,Que ses fertiles pâturagesSoient à jamais exempts d'orages ;Que Flore avec ses beaux atours,Exerçant mille amoureux toursSur une immortelle verdure,Malgré la barbare froidureAu visage morne et glacé,Y tienne à jamais enlacéEntre ses bras plus blancs qu'albâtreLe gai printemps qui l'idolâtre ?Que, comme autrefois, ApollonDélaisse

du temps : que faire aujourd’hui de ce temps qui est devant nous et qui nous semble infiniment long ? Je vous propose aujourd’hui de réfléchir sur le temps perdu. Voici un extrait de la pièce de Tiago Rodrigues, Chœur des amants , non publiée mais jouée sur scène à Lisbonne en 2006. Faites la liste de toutes les choses sans importance, inutiles que vous faisiez chaque jour avant le confinement en commençant votre texte par « Tant de temps perdu à ...

plussystématiquement qu'eux, les poètes romantiques associent leurs émotions, leurs joies ou leurs souffrances à lacontemplation de la nature. Non seulement ils lui parlent, mais ils la font parler. Leur imagination transforme les objets, lafaune, la flore en des êtres qui pensent. Une communication s'établit ainsi entre l'homme et la nature. La chanter revient poureux à écouter battre leur coeur.Une méditation, par l'entremise de la nature, sur la condition humaineSymbole même de la vie, la nature invite

rouge, les deux jeunes gens ne sentaient plus leurs membres, ils voyaient trouble maintenant et tombèrent à terre, complètement épuisés. La femme se réveilla, le lendemain ou quelques heures après s’être évanouie peut-être, laissant derrière elle son amant. Combien de temps s’était-il écoulé ? Elle n’avait aucune notion de l’heure qui passait. La femme se leva lentement, le soleil lui caressait le visage à travers les feuilles gigantesques de la forêt de saules. Puis elle se retourna, les yeux encore

complètement masculin en écrivant italien ; mais en faisant cela elle démontre tout autant ses capacités intellectuelles et sa connaissances de langues étrangères qu’elle n’affiche l’origine de ses influences. Dans ses sonnets Louise Labé s’adresse à un amant qui semble la rejeter et y déverse tout son désarroi, toutes ses affres et ses désirs de femme. Comme le note Albert-Marie Schmidt, le pétrarquisme dans le cas de Labé « au lieu de donner lieu à une sorte de sophistique, garantit les aveux d’une minutieuse

Des aquilons et des hivers ?Jasmins dont un air doux s'exhale,Fleurs que les vents n'ont pu ternir, Aminte en blancheur vous égale, Et vous m'en faites souvenir.Orangers, arbres que j'adore,Que vos parfums me semblent doux !Est-il dans l'empire de Flore Rien d'agréable comme vous ?Vos fruits aux écorces solidesSont un véritable trésor ; Et le jardin des Hespérides N'avait point d'autres pommes d'or.Lorsque votre automne s'avance,On voit encor votre printemps ; L'espoir avec la jouissance Logent chez