Les Amants du Flore

une fraîcheur qui dure incessamment » grâce à l’eau de ce fleuve. On mentionne Flore, parce-que Zéphyr l’a aimé et en a fait son épouse, lui donnant l’empire des fleurs. C’est une référence à la composition générale du recueil et surtout, l’auteur y exprime que son amour pour Julie surpasse l’amour de Zéphyr et Flore. Il l’offre le livre des poèmes amoureux- des fleurs les plus belles du monde, parce-que même Flore « reproche avec courroux, que mes soupirs jamais pour elle n’ont fait naître de fleur

de ses malheurs. Zadig n'évolue pas vraiment au cours du livre, il reste lui-même et agis toujours de la même manière pour se liberer de ses ennuis : il procède avec malice et sagesse. Asastré : C’est la Reine de Babylone, femme du roi Moabdar et amante secrète de Zadig. Quand son époux découvre ses sentiment elle fuit et est réduite à l’esclavage. Cador : C’est l’ami intime de Zadig (meilleur ami). Son nom veut dire « le tout puissant » en arabe. Il va tout au long du récit, faire preuve d’une

et dans de nombreux voyages qu’elle entreprend seule ou avec Jean Paul Sartre. A Paris où elle vit seule, elle aime, dans le quartier de Saint Germain des Prés, flâner dans les rues, s’attabler à la terrasse des cafés le Flore et des Deux Magots (cf le téléfilm, les amants de Flore 2006) et les soirs, fréquenter les caves enfumées en écoutant du jazz. A partir de 1947, elle se lance à la découverte du monde, visitant l’Europe, l’Afrique, l’Amérique, la Chine. La célébrité des deux écrivains est

fille, « Pâquette », rappelle la fête chrétienne qui célèbre la résurrection du Christ. Ce souvenir personnel est aussi composé avec des allusions au Romantisme. En effet, comme dans la poésie romantique, Guillaume Apollinaire lie les sentiments des amants et la nature, qui semblent en harmonie : les champs lexicaux de l’amour et de la Nature se mêlent comme chez Lamartine et Victor Hugo pour proposer un écrin conventionnel aux ébats amoureux. Cette invitation à l’amour est aussi tissée à partir

l'attentat. Kaliayev sera emprisonné, la grande-duchesse Élisabeth lui proposera d'être gracié, il refusera et sera pendu. Dora, à la fin, s'apprêtera à faire le prochain attentat et pourra ainsi rejoindre Kaliayev. À noter que Dora et Kaliayev sont amants (au sens ancien du terme, c’est-à-dire qui aime et est aimé). La pièce est basée sur des évènements vrais : en 1905, le groupe terroriste des révolutionaires sociaux ont commis un attentat sur le grand-duc russe. D’après cet évènement, Albert Camus a

identitaire par l’adultère en projetant des fausses images d’elle-même. Par exemple, le soir même de la consommation de sa liaison avec Rodolphe, Emma s’isole dans sa chambre et se murmure à elle-même en pleine extase : « J’ai un amant! un amant! » La répétition du terme « amant » insiste donc sur l’importance de cet événement dans la quête identitaire de la jeune femme. En substance, les personnages d’Emma Bovary et de Tomas s’opposent quant à la légitimité de leur adultère dans leur contexte sociohistorique

se releva. Il lui indiqua que ce qu'elle s'apprêtait à faire n'était pas mieux que ce qu'avait fait Cosrou. III - CHAPITRE III, le chien et le cheval. Peu de temps après, Zadig se sépara d'Azora et partit à la campagne pour étudier la faune et la flore. Un jour qu'il se promenait, il fut interrompu par un eunuque qui lui demanda s'il avait vu le chien de la reine. Zadig décrivit l'animal dans les moindres détails, mais affirma qu'il ne l'avait pas vu. Au même instant, le Grand-Veneur du roi lui demanda

dit un monsieur, à sa peau fine, bien rasée sur les joues, si l'on n'eût pas trouvé d'autre part l'empreinte indélébile du métier, les graisses qui jaunissaient déjà ses mains de mécanicien, des mains pourtant restées petites et souples. « Bonsoir, Flore », dit-il simplement. Mais ses yeux, qu'il avait larges et noirs, semés de points d'or, s'étaient comme troublés d'une fumée rousse, qui les pâlissait. Les paupières battirent, les yeux se détournèrent, dans une gêne subite, un malaise allant jusqu'à

dit un monsieur, à sa peau fine, bien rasée sur les joues, si l’on n’eût pas trouvé d’autre part l’empreinte indélébile du métier, les graisses qui jaunissaient déjà ses mains de mécanicien, des mains pourtant restées petites et souples. « Bonsoir, Flore », dit-il simplement. Mais ses yeux, qu’il avait larges et noirs, semés de points d’or, s’étaient comme troublés d’une fumée rousse, qui les pâlissait. Les paupières battirent, les yeux se détournèrent, dans une gêne subite, un malaise allant jusqu’à

dit un monsieur, à sa peau fine, bien rasée sur les joues, si l'on n'eût pas trouvé d'autre part l'empreinte indélébile du métier, les graisses qui jaunissaient déjà ses mains de mécanicien, des mains pourtant restées petites et souples. “ Bonsoir, Flore ”, dit−il simplement. Mais ses yeux, qu'il avait larges et noirs, semés de points d'or, s'étaient comme troublés d'une fumée rousse, qui les pâlissait. Les paupières battirent, les yeux se détournèrent, dans une gêne subite, un malaise allant jusqu'à