Les Amoureux Rivaux

un renouveau du style antique. Ainsi, Corneille et Racine reprennent les grands mythes historiques ou mythologiques de l’Antiquité, comme Britannicus ou bien Phèdre. Si Corneille est beaucoup plus âgé que Racine, ce dernier n’en reste pas moins un rival pour lui (33 ans d’écart). En attestent les deux pièces, jouées à seulement 8 jours d'écart : Bérénice pour Racine et Tite et Bérénice pour Corneille. 21 novembre 1670 : première de Bérénice de Racine, 28 novembre 1670 : première de Bérénice de Corneille

Valets et servantes. Les valets et les servantes de comédie sont des types. Ils constituent un personnel comique traditionnel au jeu, à I'habit, au langage, aux fonctions caractéristiques, au même titre que les amoureux, les rivaux, les barbons ou les pères depuis que "la comédie nouvelle", avec Ménandre, Plaute et Térence, du IVe au lIe siècle av. J.-C., a fait des conflits familiaux - et non plus socio-politiques comme chez Aristophane - la matière toujours recommencée du genre. Molière, grand

effet, le personnage Oreste de Corneille est fou amoureux d'Hermione qui, elle, ne partage pas ses sentiments. De surcroît, Hermione se sert des sentiments que lui porte Oreste afin de venger sa propre vengeance à l'encontre du roi Pyrrhus. En dépit de cela, même lorsque qu'Oreste apprend la supercherie, il poursuit sa folle passion pour cette dernière et envisage même de la suivre dans son suicide. Cette situation nous révèle une sorte de triangle amoureux dont Hermione est le meneur de jeu, Pyrrhus

lettres », en 1629. Elle est jouée à Paris en 1630 par le célèbre acteur Mondory. Après cette pièce, Corneille publie, entre 1630 et 1633, « Clitandre ou l'Innocence délivrée », puis « La Veuve ou le Traître trahi », « La Galerie du Palais ou l'Amie rivale », « La Place Royale ou l'Amour extravagant ». En 1635, Corneille écrit une tragédie ; « Médée ». La même année, le cardinal de Richelieu fait appel à lui, avec Boisrobert, Colletet, L'Estoile et Rotrou, pour rédiger tragédies et comédies imaginées

défaite d'Horace, son jeune rival. Lors d'une nouvelle rencontre d'Arnolphe et d’Horace, ce dernier concède, pour le plus grand bonheur de son adversaire, que ses amours connaissent un certain revers. Agnès l'a chassé en lui lançant une pierre. Mais heureuse surprise, la pierre était accompagnée d'une lettre d'amour. Pendant qu'Horace se réjouit à nouveau de cette marque passionnée, Arnolphe a du mal à cacher son dépit et sa colère. Il découvre qu'il est tombé amoureux de sa prisonnière. Il ne souhaite

Songe d'une nuit d'été, où le thème des amants empêchés recevait un traitement à travers la mise en scène burlesque de l'histoire de Pyrame et Thisbé. J’ai choisit ce document , car dans cette histoire on rencontre une histoire d’amour des « deux amoureux Escalus, C'est le seigneur de Vérone. Il est exaspéré par la querelle des deux familles et s'efforce de mettre fin aux combats. Il inflige dans ce but, des peines de plus en plus lourdes aux protagonistes. Il est dans un sens responsable de la tragédie

celui-ci convoite surtout l’aide que son pouvoir politique pourrait apporter ,et celui-ci feint alors de l’ aimer pour pouvoir conquérir la Toison d’ or. Cependant celui-ci tombe amoureux de la fille du roi Créon , Glaucé , et il se marie avec elle en répudiant Médée . Celle-ci , jalouse à la folie , se venge en tuant sa rivale et tue ses propres enfants qu’elle avait eu avec Jason . Ceci est l’ épisode le plus connu du mythe de Médée , bien qu’elle ait commis plusieurs meurtres auparavant mais également

Poitiers (Duchesse de Valentinois). Diane de Poitiers et la rivale de la Reine Mère Catherine de Médicis. Intrigue relatée dans le chapitre 1 du roman. Madame de Tournons et Sancerre. Voir 2em partie du roman. Vidame de Chartres et Madame de Thémines et Madame de Martigues et La Reine (Catherine). Conséquence de cette composition : Un roman complexe, les intrigues secondaires illustre la thèse centrale relative au désordre amoureux. ►Tout les personnages sont nobles, beau, jeunes et bienfaits

Mlle de Chartres paraît alors à la Cour : elle a seize ans, une beauté éblouissante et c’est un des grands partis de France. Sa mère, qui l’a élevée selon une morale exigeante, cherche à la marier. Le prince de Clèves, amoureux d’elle au premier regard, l’emporte sur ses rivaux. Mais peu après le mariage, lors d’un bal, la princesse fait la rencontre du de Nemours, un des plus prestigieux seigneurs de la Cour : le coup de foudre est réciproque.. Mme de Chartres découvre cette passion avant sa fille

jouées uniquement à la Comédie Française, avec des réflexions sur la langue française en elle-même. - 1763 : Décès de Marivaux, qui laissera un bien maigre héritage financier à sa fille. II – Idées et Ecriture - « Les amoureux de Marivaux sont les premiers amoureux parfaitement purs de notre théâtre, car ils n’ont pas à lutter avec les lois de la cité ou de l’honneur comme dans Corneille, avec la fatalité comme dans Racine, avec des pères avares ou des tuteurs jaloux comme dans Molière. Non