Les Amoureux Rivaux

avec Gertrude Giorgi-Righetti (Rosine), Manuel Garcia (Almaviva), Luigi Zamboni (Figaro), Bartolomeo Botticelli (Bartolo), et Zenobio Vitarelli (Basile). Ce fut une succession de catastrophes: non seulement la cabale montée par Gasparo Spontini, rival de Rossini, fonctionne à merveille mais le ténor Garcia, qui avait voulu s'accompagner à la guitare (qui était désaccordée), fut sifflé. Rossini en habit noisette au clavecin d'accompagnement fut chahuté. Vitarelli trébucha et saigna du nez. Pour

Cyrano de bergerac Cyrano de Bergerac, capitaine de la compagnie des Cadets de Gascogne, est secrètement amoureux de sa cousine Roxane, mais son horrible nez l'empêche de déclarer sa flamme. Malheureusement Roxane en aime un autre, le beau Christian de Neuvillette, un Cadet de Gascogne. Pour exprimer ses sentiments à Roxane, Cyrano va, malgré lui, aider son rival à séduire leur bien-aimée en rédigeant à sa place des lettres d'amour. Ainsi Cyrano espère séduire Roxane à travers Christian

En insistant sur la rivale, il pique l’orgueil d’Araminte, c’est un moyen de persuasion.L8 « je les tromperais, me disait-il ; je ne puis les aimer, mon cœur est parti », ici Dubois imite Dorante se lamentant tout en usant d’un vocabulaire galant et d’hyperbole pour marquer

consacré pour une moitié environ à des répétitions d'Andromaque. Personnages [modifier] • Andromaque : Veuve d'Hector, prisonnière de Pyrrhus. • Pyrrhus : Fils d'Achille (qui a tué Hector), roi d'Epire. • Oreste : Fils d'Agamemnon, amoureux d'Hermione. • Hermione : Fille d'Hélène, fiancée de Pyrrhus. • Pylade : Ami d'Oreste • Cléone : Confidente d'Hermione • Céphise : Confidente d'Andromaque • Phoenix : Gouverneur de Pyrrhus. Résumé de la pièce [modifier]

temps que couvre l'action , les évènements se précipitent, des décisions irréfléchies sont donc prises - des conséquences extrêmes: morts et suicides II - La tragédie, c'est l'humain - Des sentiments vécus par tous les hommes comme le sentiment amoureux - les déchirements universels liés aux problèmes familiaux ou moraux  - des tragédies sans effusion de sang (Bérénice)+ Présence de confidents qui essaient de tempérer la violence par la sagesse de leurs conseils  Problématique: La tragédie

maîtriser, et lorsqu'il tue son rival, c'est en état légitime de défense.Lorsqu'Etienne arrive à Montsou, il est naïf, timide, n'a guère l'expérience des femmes, et confond Catherine avec un garçon. Leur amour se nourrit de jeux de regards, de malentendus, de désirs refoulés: jamais il ne la rejoindra dans son lit alors qu'il sait qu'elle l'attend. Il la possédera enfin, après avoir tué Chaval, au fond de la mine inondée, juste avant qu'elle n'expire. Le parcours amoureux a une issue tragique.

reçoit en 1637 son quartier de noblesse, mais ce n’est qu’en 1669 qu’il obtient enfin confirmation de son anoblissement. Toute sa vie, celui-ci mène une double carrière d’avocat et d’auteur dramatique. En 1667, Corneille voit apparaitre un terrible rival : Racine. En 1670, les deux auteurs se trouvent en concurrence lorsqu’ils créent simultanément une pièce ayant le même thème, celle de Racine rencontre un grand succès contrairement à celle de Corneille. Corneille n’écrira plus dès 1674. Le 1er

Plan I) Une scène de rencontre amoureuse ratée A. Le contraste entre la passion amoureuse de Britannicus et la froideur de Junie B. Une scène de dépit amoureux : de la passion à la plainte C. L'expression des reproches et de la jalousie II) Les effets tragiques et pathétiques d'une situation de triple discours A. Une situation de triple énonciation d'où naît l'incompréhension des amants B. Une situation pathétique pour les deux amants C. Une situation tragique pour Britannicus III)

concernant son entourage. Narcisse, à qui Britannicus confie tous ses secrets et qui est son conseiller est en fait utilisé par Néron comme espion. Dans cette scène, un aspect inattendu de Néron apparaît, qui contredit l’image du monstre : il est amoureux ! il n’en dort pas de la nuit ! Il s’inquiète de savoir si Junie aime Britannicus. il fait une longue description poétique de sa première vision de la jeune fille et du coup de foudre qui s’en est suivi v.385 à 409. Narcisse en perd la parole :

Racine, Phèdre, Acte IV, scène 6 (extrait). Phèdre Oenone, qui l’eût cru ? j’avais une rivale ! Oenone Comment ? Phèdre Hippolyte aime, et je n’en puis douter. Ce farouche ennemi qu’on ne pouvait dompter, Qu’offensait le respect, qu’importunait la plainte, Ce tigre, que jamais je n’abordai sans crainte, Soumis, apprivoisé, reconnaît un vainqueur ; Aricie a trouvé le chemin de son cœur. Oenone Aricie ? Phèdre Ah ! douleur non encore éprouvée ! A quel nouveau tourment je me