Les Amours Paysannes

Il s’agit d’un poème officiel écrit sur demande d’Henri III, c'est-à-dire de circonstance, ce roi venait de perdre sa maîtresse Marie de Cleves décédée à 21 ans en 1574. Cet extrait fait un parallèle avec la vie de Ronsard qui a été épris d’une paysanne Marie Dupin, morte en 1573. Ce texte est un sonnet, en alexandrin, mais avec une particularité des rimes, propre à Ronsard : ce sonnet n’est ni italien ni français. Comme on voit sur la branche au mois de Mai la rose En sa belle jeunesse,

indistinctement de « contes » ou de « nouvelles », l’auteur n’ayant lui-même jamais vraiment établi de distinction entre ces termes), Maupassant choisit des personnages simples, ordinaires la plupart du temps. On peut évidemment citer les personnages paysans (et normands) qu’il évoque par exemple dans « l’Aveu » ou dans « Histoire d’une fille de ferme ». Ces personnages (notons qu’il s’agit de femmes la plupart du temps) sont décrits de façon rapide, ils paraissent ne faire qu’un avec leur milieu : « Et

d’ailleurs deux jolis enfants et une jolie femme. Il lui prend un jour envie, pour faire effet sur l’opinion, et parce que son grandpère lui a dit avoir eu un précepteur dans sa jeunesse, d’en donner un à ses fils, et il pense au plus jeune fils du paysan Sorel, qui a appris le latin auprès du curé et se destine à être prêtre. Il l’habillera en noir, lui donnera 300 fr. par an, et les enfants de M. de Rênal iront à la promenade sous la conduite de précepteur, ce qui vexera beaucoup M. de Vollenod

A) chronologie du roman 1862 Louis, né d'un chef de service à la préfecture de Bordeaux, mort jeune, et d'une mère d'origine paysanne, riche; le père de cette dernière était berger, mais propriétaire de ses pâtures. Baptisé. Les parents achètent difficilement un vignoble, Calèse. première communion Etudes au Lycée. Prépare l'Ecole Normale. Hémoptysie. Convalescence d'un an à Arcachon. Commence à courir. Se sait riche. Vit à Bordeaux dans un hôtel sur les boulevards. 1879-1880: faculté de Droit

latiniste et futur prêtre. Mme de Rênal, femme naïve, timide et réservée, semble approuver son projet. Craignant que Valenod, le directeur du dépôt de mendicité, ne le devance, le maire va le lendemain à sa scierie voir le père Sorel qui, en paysan madré, se garde de donner son accord définitif. Le père Sorel surprend son fils, Julien, occupé à lire tout en haut de la charpente et, d'un coup violent, envoie le livre (Le Mémorial de Sainte-Hélène) dans le ruisseau et risque de faire subir

la prose poétique, l’eau est présentée comme 1 symbole poétique mélancolique mais aussi destructrice ; elle coule et détruira les illusions de Jeanne. Le thème de la mort est présentés dès le début du roman avec l’évocation des amours tragiques de Pyrame et Thisbé, amours qui anticipent la fin tragique de Julien et de la comtesse de Fourville, son amante. La fiction développe l’art de l’illusion Le romancier s'ingénie à faire oublier l’irréalité du personnage pour le doter au contraire de tout

court, une intrigue dans le cadre des peurs du millénaire. Facile à lire. Les Pérégrines de Jeanne Bourin : l’histoire de plusieurs sœurs qui partent vers Jérusalem pour suivre l’appel à la croisade de 1094. Leurs aventures parmi les croisés, leurs amours, leur rencontre avec les byzantins et les arabes. Pour lecteur averti. La Chambre des dames de Jeanne Bourin : histoire d’une famille française au XIIIème siècle, et en particulier d’une mère et de sa fille. Un livre très bien documenté sur le

mimé, dont les parties récitées et les parties chantées étaient jouées avec accompagnement de gestes par deux jongleurs qui se partageaient les rôles. Le thème principal pourrait provenir du roman Flore et Blancheflor  (1170 env.). Il raconte les amours contrariées de deux adolescents, qui, après diverses aventures, se marient - comme dans les romans dits idylliques. Le cadre géographique est méditerranéen. Aucassin est fils du comte de Beaucaire, Nicolette est une captive sarrasine, fille du roi

tendre ». Dans la même veine précieuse, on trouve aussi des romans pastoraux : L’Astrée d’Honoré d’Urfé (1567-1701) est celui qui a connu à l’époque le plus grand succès. Les personnages, Astrée et Céladon, y illustrent un idéalisme éthéré : leurs amours illustrent le goût de la préciosité pour l’analyse des sentiments.  2. Les héros joyeux des romans comiques.  A l’opposé des héros « parfaits » des romans précieux, on trouve les personnages réalistes des romans comiques, dont les aventures

qu’ils veulent. Villon a défié tout le monde, au XVème siècle en «écrivant ce qu’il voulait. Alors, pourquoi est-il considéré comme le premier vrai poète ? · Indépendant · Détaché des courts · Ca tient à la sincérité de la poésie (il écrit sur ses amours, ses tracas) · CENTRE SUR LE JE ! Ruteboeuf est le premier à voir le lyrisme de Villon. Genre poétique : · La complainte · Loi (léguer) · La ballade LYRISME : qui exprime des sentiments personnels Ruteboeuf et Villon vont dans le lyrique