Les Amours Paysannes

Fontaine présente un homme malheureux : « Un Malheureux appelait tous les jours » qui rencontre la Mort mais qui décide de vivre plutôt que de mourir, il nous fait part ici de la vie difficile de certains paysans et des souffrances que leur cause leur travail. Le fabuliste expose dans ses fables des paysans typiques du XVIIème, comme on peut le voir dans « La laitière et le pot au lait » où La Fontaine s’exprime avec un vocabulaire très concret qui fait apparaître les animaux de la ferme, qui à la différence

simple pagne de bananes, qui danse de façon suggestive sur un rythme de charleston et qui à l’époque à fait scandale (extrait) avant de faire rapidement place à l'engouement général des parisiens pour le jazz et les musiques noires. La chanson « J'ai deux amours » en 1930 la consacre comme une star de la vie parisienne, une vedette complète. De fait, apparait une soudaine passion pour les Etats-Unis, ses valeurs, sa culture. C’est cette influence américaine, le grand spectacle, les comédies musicales, qui font

la Bible et des et des allégories, -le théâtre dans le théâtre & Bienséance) textes de l’Antiquité, -création de mots nouveaux la complexification de - parallélisme & symétrie -interpellation du lecteur l’intrigue romanesque Ronsard (Odes, 1550 ; Amours de Cassandre,1552 ; Sonnets pour Hélène, 1578) ; Du Bellay (Les Regrets, 1558 ; Les Antiquités de Rome, 1558), Baillif, Jodelle.. D’Urfé (L’Astrée,1607-1619) ; D’Aubigné (Les Tragiques, 1616) ; Corneille (L’Illusion Comique,1636) ;Viau (Œuvres poétiques

(Canteleu). Le lendemain, du Roy annonce à sa maîtresse Clotilde de Marelle qu’il épouse Madeleine Forestier. Ils se marient en secret à la mairie et rendent visite en Normandie aux parents de Georges. Madeleine est déçue car elle tombe sur une famille de paysans qu’elle imaginait plus noble. partie 2 - chapitre 2 Les deux mariés vivent désormais dans l’ancienne habitation de Mme. de Marelle, rue de Constantinople. Madeleine annonce à Goerges la visite du comte de Vaudrec. Madeleine et Georges rédigent ensemble

entre champs et routes car sa résidence au manoir du Mesnil-au-Val, proche de Cherbourg (8 km) et de Valognes (15 km) lui permet d’être en mobilité fréquente, sur de courtes distances. La vie de ce gentilhomme est faite de rencontre tant avec les paysans et artisans qui le servent qu’avec des officiers (avocats, notaires…)qui passent par le Mesnil-au-Val ainsi il reste toujours en contact avec ce milieu. L'ouverture sociale de Gilles de Gouberville concernent des échelons élevés de la société comme

l’avarice 1. Dénonciation d’un vice L’avarice est considérée, selon la tradition catholique, comme un des sept péchés capitaux 2. Faire réfléchir en utilisant le rire Molière s’est inspiré de “_L'aululaire”_ de Plaute [vers -190]) où le vieux paysan Euclion a perdu l’«aulula», la marmite, remplie d’or qu’il avait trouvée dans sa demeure. Le sujet aavitdéjà été repris par Pierre Larivey dans “_Les esprits_” (1579), le personnage s’appelant Séverin. “_La belle plaideuse_” (1654) de Boisrobert lui

deux styles d’écritures que tout oppose. Charles Baudelaire, poète français du XIXème siècle, a écrit en 1855 « Remords Posthume » puis en 1866 « A celle qui est trop gaie ». Le premier est dédié à Jeanne Duval et le second à madame Sabatier, deux amours de Baudelaire. Cependant, loin d’être des poèmes d’amour traditionnels, ces deux textes sont des critiques et des mises en garde assez violentes et directes. « Remords Posthume » aborde le thème du temps qui passe. En effet, à l’aide d’une prolepse

page 33 : vivre dans la guerre, la corvée de ravitaillement ; page 36 : le départ seul en mission ; page 38 : la halte chez les paysans ; page 41: la rencontre de Robinson à proximité de Noirceur-sur-la-Lys, le désir d'être faits prisonniers ; page 44 : repoussés par le maire, l'errance jusqu'à l'aube, la séparation. LA GUERRE, L'ARRIERE Chapitre 5, page 48 : les amours avec Lola, les beignets, la peur de vieillir ; page 55 : le Bois ; page 57 : le parc de Saint-Cloud, le Tir des Nations, crise

ses, l’actu alitéet les d ifférentes mœurs. • • * Id enti ficati o n d u lecteur àDuroy : • • On sait qu eDuroy est n éd an s u ne famille de paysan s as sez pauvres . C etteci rco nstance permet au lecteu r de s’i dentifi er d avantageau p erso nn aged eDu roy, car q ui ne rêverait p as d’u ne telle évo lu tio n s o ciale? En effet, de fi ls d e paysan s, il pas se àchef d e larédacti on d u jou rn al La Vi eFran çai se. • • Il y a égal ement les fo calis atio ns q ui p ermettent au lecteur de

vin. Nous boirons tous, l’ouvrier, le patron Et l’usurier de nos sous escroqueur, Et le soldat qu’emporte le clairon ! Donc, fais en paix ton commerce, troqueur, Et toi, noircis tes feuilles, chroniqueur. Fume l’andouille et garnis le saloir, Bon paysan courbé sous le devoir, Ou travailleur des bois, rude sylvain Toujours cognant sous le feuillage noir : C’est Rabelais qui nous verse du vin. Qui que tu sois, artisan, bûcheron, Humble mercier fait pour chanter le chœur Sur le théâtre où déclame Néron