Les Animaux Baudelaire

Ce texte est tiré du recueil « Le Spleen de Paris » sous-titré « Les Petits Poèmes en Prose ». Il fut l'œuvre des dernières années de Charles Baudelaire, poète du XIXème siècle. Comme l'indique le sous-titre, Baudelaire expérimente une confrontation entre prose et poésie, apothéose dans son but qui est de décloisonner les genres littéraires. Le Spleen de Paris reste de la poésie, non pas par la forme mais avec le langage métaphorique et imagé comme c'est le cas dans Le Joujou du pauvre, dont nous

humides → symbole de la prison pourris placé à la rime → accentué et allitération en P assonance en ANT et en I. l’espérance renvoie celle du poète. Et ce poète est dans un état qui est celui de l'enfermement. De plus la chauve souris est un animal aveugle, qui vit de manière nocturne. On l'associe au vampire. Redondance en I fait penser au cri de la chauve souris. On est renvoyé à l'univers fantastique/ gothique. La troisième strophe. Renvoie à l'orage. Elle permet de faire le lien avec

son poème. Jacques : C’est aussi ce que je lui reproche ! Nulle place pour la réflexion poétique, ce texte n’est que rhétorique creuse. La recherche dans le style n’est que prétexte à cette rhétorique toute sèche. Où est la richesse de pensée de Baudelaire et de Mallarmé ? On en est loin. Il n’y a même pas de métaphore poétique, pas d’image, juste une description toute sèche d’une situation grotesque. Et puis, le sujet… n’est pas très poétique : quelle poésie trouver dans un hareng saur ? Même l’odeur

surnaturels,grâce, signe de bon présage ou messager de la mort, etc. Mais l'oiseau est sans aucun doute l'emblème par excellence de la liberté. Une liberté que les poètes ne pouvaient toujours pas atteindre mais dont ils rêvaient. C’est pour cela que cet animal est présent dans la poésie, pour symboliser cette liberté de penser et d’écrire et pour peut-être au bout du compte tout simplement représenter le poéte ? Quoiqu’il en soit cette anthologie qui regroupe 5 poèmes vous permettra de découvrir quelle

danse»». Baudelaire, Les Fleurs du mal, section «Spleen et Idéal», «Le Serpent qui danse» (p. 76-77, Ed. Le Livre de Poche, Coll. «Classiques de poche»). Problématique : En quoi peut-on dire que, dans ce poème, la femme est une véritable «fleur du mal» ? I) Une vision traditionnelle et «courtoise» de la femme 1) Une déclaration d'amour Le poète, qui emploie «je» pour faire référence à sa propre personne, tutoie la femme aimée : cela indique une intimité certaine. Baudelaire emploie le

Spleen, Les Fleurs du Mal (1857) Baudelaire Poésie- extrait 3 INTRODUCTION [contextualisation] Il s’agit d’un poème issu d’un recueil intitulé Les Fleurs du Mal publié en 1857 par Baudelaire et dont certains textes ont immédiatement été censurés. Baudelaire est un poète influencé par le lyrisme du romantisme et l’importance absolue de l’esthétique de l’écriture prônée par le Parnasse. Le recueil constitue une sorte de parcours initiatique où Baudelaire expose sa conception de l’être humain, à savoir

L'horlogein les Fleurs du mal 1857 Baudelaire : 1827 -1867 Baudelaire est un poète français, qui publie en 1857 Les fleurs du mal, recueil de poèmes qui se vit censuré plusieurs fois, à cause du choix épineux de ses sujets. C'est un homme lettré, cultivé, passionné par l'Art & critique reconnu de peinture. Il est envoyé par son beau père en voyage vers les Indes (voyage qui l'inspirera énormément), afin de le « rééduquer », jugeant ses comportements de jeune homme désinvolte et « anti-bourgeois »

est ici presque pathétique, et le regard que Baudelaire jette sur sa propre œuvre a quelque chose de misérable, comme un poète diminuant le mérite de son œuvre pour en attribuer tout le génie à Dieu, et ici une divinité fantastique et terrifiante. Charles Baudelaire doit son génie à quelqu’un d’autre, à la Lune, à Berthe. La dédicace apparaît alors comme une signature, comme si la Muse « Berthe » était entièrement à l’origine du poème, que Baudelaire n’en était que le servile dépositaire, dont l’individualité

26_fin : supplice et destinée d’Abel et Caïn. le poème se situe dans la section « révolte »( du recueil les fleurs du mal sortit en 1857)car il reproche dans celui si de ne pas être allé assez loin, de ne pas avoir tué dieu. Il a été écrit par Baudelaire. Il décrit ici en opposition avec la religion chrétienne le premier crime de l’humanité et donne grandement son avis sur le bon et le mal dans celui si. Il fait parti des poèmes ayant été condamnés suite au procès des fleurs du

récit qui fait état de l’âme et de la conquête du Beau. Baudelaire, l’auteur, devient l’alchimiste qui transforma la boue en or. Le XIXe siècle est la voix d’un renouvellement poétique et de bouleversement littéraire. Nombreux sont les auteurs qui prennent un nouveau souffle d’inspiration, Rimbaud, Mallarmé, Ponge ou encore