Les Animaux Malades De La Peste Voltaire

L'apologue est donc un genre littéraire ou artistique qui a la particularité d'être accessible au plus grand nombre tout en délivrant un message ou une morale à un public plus averti. Au cours de l'histoire des auteurs célèbres comme La Fontaine ou Voltaire y ont eu recours, pour transmettre leurs idées ou émettre des critiques de la société dans laquelle ils vivaient. On attribue l’origine de l’apologue à Platon mais cela remonte surtout à l’Antiquité gréco-latine avec Esope et Phèdre (environ 15-50

appelle l’humanité. A travers Dreyfus Zola défend le peuple entier. Le droit au bonheur fait référence aux lumières. Zola s’est nourrit de Voltaire : « Lumière, droit au bonheur, la connaissance ». Il défend ici l’application des droits de l’homme. Il souligne directement le fait que la démocratie ne peut pas fonctionner. On peut penser aux animaux malades de la Peste (La Fontaine). Zola emploi l’écriture épistolaire pour défendre un homme et des idéaux. C’est un mode d’écriture engagé. Ce texte

les pérégrinations d’un jeune héros, Voltaire laisse libre cours à la critique de la guerre dans le 3e chapitre, ou bien encore à la défense des Droits de l’homme dans le chapitre où on rencontre « Le Nègre de Surinam ». La fable, qui est à l’origine un genre didactique, devient à son tour un texte argumentatif sous la plume de La Fontaine. Dans certaines d’entre elles, le poète fait la satire sociale et politique de son époque. Dans Les Animaux malades de la peste, Fables VII, il dénonce l’arrogance

passe donc ses journées à lire. C'est ainsi qu'il va écrire les 2 premiers tomes des essais qu'il publie en 1580. Mais Montaigne est malade, il voyage pour se soigner, en Suisse, en Allemagne, En Italie. Pendant qu'il voyage il apprend qu'il a été nommé maire de Bordeau, Grace à sa réputation de sage. Il fait merveille comme maire, il affronte une épidémie de peste, querelle entre catholique/protestant.Il est réelu en 1583. Mais il se retire en 1585 sur sa terre et définitivement, et rédige le 3e

Perrault dans « Le Petit Chaperon rouge «  critique l’éducation des jeunes filles de son époque .Une éducation qui ne les prépare pas à affronter la vie et ses dangers symbolisés par le loup.La Fontaine , dans de nombreuses fables comme « Les animaux malades de la peste « ou dans Le lion s’en allant en guerre «  critique le roi Louis 14 , monarque despote et tous ses courtisans qui se comportent en flatteurs , dans le but d’obtenir des faveurs .La Fontaine dénonce donc les excès du pouvoir et les dénonce

réflexion L’apologue comporte en effet plusieurs niveaux de sens. S’il séduit petits et grands, force est de constater que la richesse de sens échappe au lecteur naïf qui savourera uniquement le récit ou l’anecdote. La fable « Les Animaux malades de la peste » va au-delà d’une histoire pathétique et sanglante, de la mise à mort de l’âne, à cause de la connivence entre les courtisans, de l’injustice à la cour et de la justice tout court. La Fontaine fait réfléchir le lecteur au phénomène du bouc

l’ignore, derrière chaque animal d’une poésie de Jean de La Fontaine se cache un Homme. Dans les fables, deux types de personnages sont très souvent présents, l’un flatteur et malin, l’autre assez sot, étant lui-même la victime du premier. Evidemment l’auteur fait à chaque fois triompher le malin, le lecteur a donc une tendance naturelle (en général) à s’identifier à lui. Mais chaque comportement d’animal est calqué sur celui d’un Homme, y compris celui du sot, les animaux de La Fontaine sont nos reflets

de tout rapport humain en la stigmatisant dans des scènes types. Cette violence inscrite en l’homme lors de tout rapport humain est présente dans les textes étudiés sur la critique sociale : Les Animaux malades de la peste, Fables, Jean de La Fontaine et Fanatisme, Dictionnaire philosophique, 1764, Voltaire. Photo ou croquis de l’œuvre Le dessin de presse est en noir et blanc ainsi que l’illustration sur la fresque de Michel-Ange ; la photocopie a été distribuée aux élèves. Visuel page 188, manuel

Fables, nous fait comprendre directement quel rôle tiennent ses personnages et ce qu'ils représentent. Dans Les Animaux malades de la Peste on distingue facilement le roi à travers le lion, les courtisans par le biais du renard, du loup ou de l'ours, et dans l'âne un malheureux homme du peuple. Avec ce procédé, le lecteur participe à la découverte du sens caché du récit. Derrière les animaux et le fantastique se dissimule une vérité mais surtout une critique des hommes et de leur société. Masquer

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