Les Animaux Personnifiés Dans La Fable

raccourci, la fable propose de raconter une histoire divertissante dans le but d’enseigner au lecteur une leçon, une morale. « La Laitière et le Pot au lait » est une fable originale car La Fontaine n’en a pas puisé l’inspiration dans la littérature antique (Esope ou Phèdre), mais dans une nouvelle du XVIe siècle « Comparaison des alquemistes à la bonne femme qui portait une potée de lait au marché » de Bonaventure des Périers. Le récit met en scène une jeune femme, et non des animaux personnifiés comme

Les Fables de La Fontaine I. Les caractéristiques des Fables 1. Qu'est-ce qu'une fable ? • La fable raconte une histoire courte et drôle qui a pour but d'apprendre quelque chose au lecteur tout en le distrayant. Les personnages sont typiques, parfois incarnés par des animaux. • La fable se compose souvent de deux parties, très inégales cependant : « le corps est la fable, l'âme la moralité », écrit dans sa préface La Fontaine. Le récit imagé permet ainsi de saisir une règle morale abstraite. • Les

le but que celui-ci accorde à son travail. Dans l’extrait que nous allons analyser, Jacques Moussarié commence son propos par «  il n’a jamais voulu donner de leçons (l.1). Donnons, dès maintenant, pour plus de précision, la définition d’une fable. La fable est une histoire imaginaire généralement rédigée en vers dont le but est d’illustrer une morale. L’auteur met en avant le dégoût de La Fontaine pour les pédants, ces auteurs qui se complaisent à faire l’étalage de leur érudition littéraire.

d’exclamation « O Allah ! » …) [à rapprocher de Candide de Voltaire] - le loup => personnification (doué de parole) [à rapprocher du genre de la fable et des contes de fée qui mettent souvent en scène des animaux] => l’ennemi de l’homme par excellence devient l’instrument de la dénonciation - les soldats et les cadavres : si le loup est personnifié, les hommes semblent comme animalisés dans le déchaînement bestial de leur barbarie. II) Qui délivre un enseignement a) la dénonciation de la guerre

Messieurs les Chevaux, payez-moi de ma peine. Ainsi certaines gens, faisant les empressés, S'introduisent dans les affaires : Ils font partout les nécessaires, Et, partout importuns, devraient être chassés. Etude I - La vivacité de la fable provient de sa variété - Les vers 1 à 5 expriment fortement l’effet de lourdeur du coche par une accumulation emphatique « montant, sablonneux, malaisé », « Femmes, Moine, vieillards », « suait, soufflait, était rendu », ce qui provoque un effet d’attente

Quand la torpeur d’une 30 nouvelle nuit de miel a pesé sur mes paupières, j’ai craint les vrilles de la vigne et j’ai jeté tout haut une plainte qui m’a révélé ma voix… La problématique se noue autour de cette complexité générique qui mêle conte, fable, poème en prose et réflexion : comment l’analogie avec le rossignol permet-elle à la narratrice de célébrer sa libre écriture ? (ou son écriture détachée de ses chaînes passées ?) I. Un texte très poétique et sensible qui brouille les frontières

partie de ces animaux que les traditions populaires et littérairesont dotés très tôt de caractéristiques symboliques : le premier personnifie souvent les traversviolents du genre humain, le second sa roublardise ou sa malice. Ces deux prédateurs comptentparmi les animaux les plus représentés et les plus mémorables des douze livres des Fables deLa Fontaine (seize occurrences pour le Loup, vingt pour le Renard), parues entre 1668 et 1694.[Particularité du texte] Or, dans la troisième fable du livre III

de la belette ». Décalage entre le sérieux du dédicataire et la légèreté de la fable. Il se dénigre en tant que poète « je vous sacrifierai 100 moutons c’est beaucoup pour un habitant du Parnasse ». Décalage « Vous n’avez pas le temps de lire/le fait qu’il lise quand même. Donc une sorte de piège. Captatio Benevolentiae : « Son sujet vous convient ; je n’en dirai pas plus » Il y a-t-il une moralité dans cette fable ? Oui. Le fabuliste parle de façon générale au présent : « Nous sommes tous d’Athènes

-Versification -Assouplit l'alexandrin (déplacement de la césure, rejets) -Utilisation du vers libre (variétés des mètres et des rimes). -Rend la Fable célèbre + ouvre la voie à l'apologue. -Dénonce certains aspects de la société : Rapports de pouvoir et la nature humaine -Récits éducatifs, moralisateurs. -Utilisation d' animaux personnifiés : BUT => dénoncer, mettre en garde et critiquer la société du XVIIe (Roi + sa Cour + monarchie absolue + abus de l'Église), mettre en évidences les

points d’exclamation « O Allah ! » …) [à rapprocher de Candide de Voltaire] - le loup => personnification (doué de parole) [à rapprocher du genre de la fable et des contes de fée qui mettent souvent en scène des animaux] => l’ennemi de l’homme par excellence devient l’instrument de la dénonciation - les soldats et les cadavres : si le loup est personnifié, les hommes semblent comme animalisés dans le déchaînement bestial de leur barbarie. II) Qui délivre un enseignement a) la dénonciation de la guerre