Les Années Folles Et Les Femmes

progressivement se faire remplacer et oublier par l’aristocratie à cause de l’émergence du bleu. Elle restera la couleur des habits des papes et des cardinaux du Moyen-Âge jusqu'à ce qu’elle soit jugée ostentatoire et immorale associée à la beauté des femmes et donc remplacée par le noir dans le clergé. Cette couleur deviendra donc symbole de féminité, et sera portée lors des mariages. Le blanc couleur déjà présente dans la trichromie de l’Antiquité, va conserver son statut de pureté, d’humilité et

de la mode et l'analyser à partir du XIXe siècle avec le créateur Charles Frédéric Worth qui eut le premier l'idée, vers 1858, de faire défiler ses modèles sur de vraies femmes (alors appelées sosies) dans des salons où les clientes venaient choisir. La fin du XIXè siècle va marquer une ère de révolution industrielle. Les femmes obtiennent le droit de travailler, les inégalités salariales et sociales se renforcent. L'ouvrière du XIXe siècle est avant tout l'ouvrière du textile. En 1866, 70 % des

1924  :  Manifeste  du  surréalisme   1929  :  Krach  de  Wall  Street  met  fin  aux                       d’André  Breton.  Libérer  les  formes   «  années  folles  »  (impact  Europe  +  Fr)       psychiques  du  contrôle  de  la  raison       et  des  valeurs  reçues.     1932  :  New  Deal  de  Roosevelt     1934

la libération de la femme, la mini-jupe a été inventée par une anglaise : la créatrice de mode Mary Quant. Au début des années 1960, elle ose pour la première fois fabriquer et vendre une jupe dont l'ourlet est 20 cm au-dessus du genou. Cette invention choqua d'abord puis a connu un retentissement très important car elle révèle pour la première fois aux hommes les jambes des femmes. En France, le couturier André Courèges a été le premier à l'utiliser dans ses défilés dès 1962. Associée au collant,

« On ne nait pas femme, on le devient » Simone de Beauvoir-Deuxième Sexe « portant sur la défense d'apprendre à lire aux femmes », l'instruction en France comme ailleurs gagne du terrain, non sans difficultés. Les préjugés sexistes persistent, le désir féminin d'apprendre est d'autant plus vif. Les partisans comme les adversaires de l'éducation des filles pressentent que le droit au savoir contient en germe l'autonomie ainsi que le pouvoir féminin. Durant cette période, la femme a bien une

1999) - se sont historiquement concentrées sur les trois premiers points, en valorisant les femmes et la féminité pour des raisons plus politiques que scientifiques. La part des men’s studies est d’ailleurs aujourd’hui toujours plus réduite que celles des women’s studies, non sans provoquer une paradoxale perte de sens : « Quand les théories féministes se centrent essentiellement sur les expériences des femmes, la conception du genre en tant que processus relationnel est perdu » (Messner & Sabo, 1990

entières à ce sujet pour prouver sa foi pour les femmes, son amour et sa passion... Seulement, je loue beaucoup les qualités de la femme, sa beauté et la domination qu’elle exerce sur l’homme mais il faut savoir qu’elles sont utilisées dans les poèmes également pour leur naïveté, voir même leur duplicité ; BAUDELAIRE notamment écrit de cette façon sur le sexe opposé. * Il a donc été primordial que je fasse des recherches sur des poèmes dont les femmes en étaient le sujet principal. Je n'ai donc

n'était pas rare au Moyen Age que des homosexuels, qu'ils soient hommes ou femmes, soient arretés, passés à la question puis éxecuter pour en faire un exemple. L'execution était tout bonnement barbare, les hommes étaient supendus par les pieds à une potence et pourfendus de l'entre-jambe jusqu'au crâne, les femmes pouvaient quant a elles être enfermées dans une “dame de fer” ou elles mouraient lentement et devenaient folles au fil des jours. Enfin il existait aussi le supplice du pieu sur lequel on

pour exprimer son désir de partager le sort de sa sœur. Celle-ci refuse, la jugeant intéressée (terrorisée à l'idée de se retrouver seule survivante de sa famille). Créon, exaspéré par ce comportement, les traite de folles et les fait placer en réclusion, là où doivent se tenir les femmes. Puis voici Hémon, le fiancé de la condamnée. Le jeune prince s'enhardit à déclarer à son père qu'il se trouve dans l'abus de pouvoir en piétinant « les honneurs que l'on doit aux dieux », commettant ainsi une « faute

vocation a 2 femmes sa mère qui était couturière et qui l'a initie au metier et la marquise de casa torres dont l’élégance le fascine. Elle lui confira certain de ses vêtements a copier alors qu'il n'avait que 13 ans. 1917 : Il ouvre sa propre maison de couture à San Sebastian a l'age de 20 ans. Il en ouvrira d'autres a Madrid et barcelone. La plupart porte le nom Eisa inspire du nom de sa mère Eisaguirre. Lorsque la guerre civil éclate il quitte l'espagne pour paris. Dans les annees 20 il achetait