Les Apports De Emery Et Trist

théories traditionnelles du management 1. L’école classique Les auteurs de « l'école classique du management » ont en commun la volonté d'énoncer des règles rationnelles1 et générales de conduite des organisations. Les éléments de réponse qu'ils ont apportés font encore référence dans la pratique quotidienne de nombreuses organisations, que ce soit dans le domaine de l'organisation du travail, notamment productif (Frederick W. Taylor) et bureaucratique2 (Max Weber), ou pour ce qui touche à des principes

|normal | | A l’issue de plusieurs expériences, ils se rendent compte que les ouvrières réagissent positivement au fait que l’on s’occupe d’elles, indépendamment des améliorations ou désagréments apportés (c’est ce qu’ils appelèrent « l’effet Hawthorne »). 1. Les cinq traits caractéristiques de l’organisation La définition de Bernoux est intéressante pour mesurer l’importance des acteurs dans les organisations. Cet auteur identifie cinq traits

donner des ordres ou des directives. - coordonner : harmoniser pour faire converger vers le même objectif. - contrôler : vérifier si l’entreprise ne s’écarte pas de l’objectif fixé. ( Critiques L'analyse des fonctions est un apport essentiel. Cependant, Fayol a ignorer certaines fonctions importantes dans l'entreprise aujourd'hui, comme la recherche-développement. De plus, il a insuffisamment mis l'accent sur les fonctions commerciales dans l'entreprise. ← Les principes de

- commander grer les hommes, donner des ordres ou des directives. - coordonner harmoniser pour faire converger vers le mme objectif. - contrler vrifier si lentreprise ne scarte pas de lobjectif fix. ( Critiques Lanalyse des fonctions est un apport essentiel. Cependant, Fayol a ignorer certaines fonctions importantes dans lentreprise aujourdhui, comme la recherche-dveloppement. De plus, il a insuffisamment mis laccent sur les fonctions commerciales dans lentreprise. Les principes de FAYOL 1

combinaison de ces trois composantes fonde la motivation de l’individu dans une situation de gestion. G. ADAMS ET LA THÉORIE DE L’ÉQUITÉ L’équité est selon Adams un rapport entre ce qu’une personne réalise en situation et ce que son travail lui apporte. C’est la comparaison contribution / rétribution : • L’individu a une idée de ce qui représente une juste récompense de son travail. • Il détermine lui-même ce qui est juste en comparant ce qu’il donne (effort, compétences…) avec ce

doit prévoir des passerelles afin que chaque division soit représentée « consultativement » dans les autres divisions. Il pense que la décentralisation procure initiatives, responsabilités, efficacité et réduit considérablement le temps de réponse apporté à tout problème. La condition pour que " ça marche " c'est la coordination et la circulation horizontale des informations. On imagine le caractère révolutionnaire de ces idées entre 1925 et 1935 au temps du Taylorisme-roi. 9 Alfred Pritchard Sloan

doit prévoir des passerelles afin que chaque division soit représentée « consultativement » dans les autres divisions. Il pense que la décentralisation procure initiatives, responsabilités, efficacité et réduit considérablement le temps de réponse apporté à tout problème. La condition pour que " ça marche " c'est la coordination et la circulation horizontale des informations. On imagine le caractère révolutionnaire de ces idées entre 1925 et 1935 au temps du Taylorisme-roi. 9 Alfred Pritchard Sloan

formulation des stratégies, sur la démocratie et l'aliénation dans les organisations, et sur d'autres sujets. La structure paraît être à la base de nombreuses questions qu'on se pose sur les organisations). De cette façon, si aucun travail ne m'a apporté plus de frustration, aucun résultat ne me donnera vraisemblablement jamais autant de satisfaction. L'image est peutêtre trop nette - le monde réel n'est pas aussi limpide que celui qui est décrit dans ce livre. Mais J'image est présentée telle qu'elle

Fayol (1841- 1925) Weber (1864- 1920) Mayo ( 1880- 1949) Maslow (1908- 1970) Herzberg (1923- 2000) Mac.Gregor (1906- 1964) Moréno (1892- 1974) Léwin (1890- 1947) Merton (1910- 2003) Crozier (1922-) Selznick Blau (1918- 2002) Gouldner (1920- 1980) Emery L.Trist Friedman Simon (1916- 2001) Cyert (1921-) March (1928-) Mintzberg (1939-) Crozier (1922-) Friedberg (xxxx-) Woodward (1916- 1971) Laurence (1922-) & Lorsch (1932-) Perrow (1925-) Burns Stalker Mintzberg (1939-) Stratégor Chandler (1918-) Williamson

appliqué chez Ford. On se rend compte d’un problème d’absentéisme et de « turn over » important. On est obligé de former de nouvelles personnes. Saturation de la standardisation des produits et des services. Décisions stratégiques centralisées. Les apports et les limites du taylorisme : c’est un modèle d’organisation qui améliore la gestion de la production en vu de l’augmentation de la productivité. Il y a une recherche de compatibilité entre les intérêts des entreprises et ceux des salariés avec une