Les Aventures de Robinson Crusoé

nom d’emprunt Nicolas Korpanoff et se fait passer pour un négociant. Alexandre II est le csar de Russie. Le Général Kissoff est à son service à Moscou. Son frère, le Grand-Duc gouverne en soutien à Irkoutsk. Deux journalistes vont suivre les aventures de Michel Strogoff pour les rapporter dans leurs journaux. Il y a le Français Alcide Jolivet, qui prétend travailler pour sa cousine Madeleine et l’Anglais Harry Blount qui écrit pour le Daily Telegraph. Nadia Fédor est une jeune fille rencontrée

Margaret Ogilvy. Son père était un ouvrier tisserand, tandis que sa mère, femme qui tenait le foyer familial d'une main de fer, lui lisait des histoires de fictions, surtout celles de Stevenson, qu'elle vénérait, mais aussi Les Mille et une nuits, Robinson Crusoe et bien d'autres. Elle lui transmit ainsi le gout de l’imaginaire et du fantastique. Il souffrit lors de son enfance d’un manque affectif de ses parents ; entre son père souvent absent et une mère autoritaire et ferme. Alors âgé de 7 ans,

moindre chose. Même que la plus part du temps il pleurait sans raisons. Le petit garçon jouait souvent avec le petit Rouget, le fils du concierge Colombe. Daniel adorait les histoires de Robinson Crusoé, il prenait la fabrique de son père pour une île déserte et passait toutes ses journées à y jouer. Lui était Robinson et son ami était Vendredi. Un jour Rouget lui avait appris un vilain mot et depuis lors il ne pouvait plus jouer avec lui. Et son perroquet était dès lors le nouveau ‘Vendredi’. Un

connaissance du lectorat, la nature profonde des sentiments d'une personne. Crébillon, [de son vrai nom Claude Prosper Jolyot de Crébillon, dit Crébillon fils -1707-177] dans « Les égarements du cœur et de l'esprit » (roman publié en 1736) raconte les aventures d'un jeune homme de dix sept ans, Monsieur de Meilcour : l'auteur nous fait voir avec complaisance les faux-semblants, les manipulations perverses de la séduction amoureuse ainsi que la corruption des cœurs de son époque... Le comte de Versac, un

d'abord la règle de droit et considère ensuite les faits dans la mesure ou il cadre ou pas avec la règle. Le littéraire au contraire, n'envisage l'aspect universel de ce qu'il raconte que par l'intermédiaire de cas particulier ( Daniel Defoe, Robinson Crusoé). Tout cela est bien simpliste et vrai. Il suffit d'assister à une audience pour voir ce quI se joue dans la pratique du droit sont des cas particuliers. b) Le thème « des fous du droit » Shakespeare, le marchand de Venise (1594)

l'histoire (Dictionnaire de l'Académie Française, 1835 : "le roman est une histoire feinte, écrite en prose, où l'auteur cherche à exciter l'intérêt, soit par le développement des passions, soit par la peinture des meurs, soit par la singularité des aventures"). Au XIXe , le roman rompt avec la seule illusion et revendique la recherche de la réalité (passant souvent par l'actualité) et de la vérité : il est le fidèle miroir de toute une société, racontant des vies fortement ancrées dans le réel. L'individu

instructif ? Visiter le monde sans bouger de chez soi, avouez que ce principe est très attrayant. Le lecteur découvre ainsi une multitude de paysages, animaux, à travers les yeux d’un personnage, rien qu’en s’identifiant à celui-ci. Dans le roman Robinson Crusoé de Daniel Defoe, le jeune anglais unique survivant d’un naufrage s’invente une vie solitaire sur une île déserte paradisiaque. Il fait ainsi partager ses visions et ses perceptions au lecteur : « Je vis une multitude de perroquets, et il me prit

sorte de créature dotée de qualités exceptionnelles. Ainsi, le lecteur ordinaire ne peut que voir en lui une image idéalisée bien éloignée de sa réalité forcément mediocre. Le prototype de ce lecteur que le personnage de fiction en proie à des aventures extraordinaire enchante : c’est bien entendu Emma Bovary. -au contraire on peut se servir des romanciers réalistes pour montrer qu’en s’attachant à des êtres médiocres, parfois franchement déplaisants, ils tentent d’abolir la distance entre personne

davantage aux sentiments des personnages comme dans « Roméo et Juliette » de Shakespeare. Cette histoire d’amour bien que tragique, émeut les cœurs et fait rêver. Les romans d’aventure de l’Odyssée d’Homère, avec le récit des folles aventures d’Ulysse en passant par Robinson Crusoe sur son île déserte jusqu’aux romans de Jules Verne, nous plongent dans un monde imaginaire et fantastique. Dans ces quatre cas, le lecteur s’évade et est happé par l’histoire, si bien qu’il peut oublier la réalité. Et on peut

faute peut amener à un châtiment : il n’a pas respecté le travail d’autrui. - Le troisième livre, de 12 à 15 ans. Education intellectuelle et technique. Emile s’initie aux métiers manuels. La seule lecture autorisée à l’enfant est celle de Robinson Crusoé. - Le quatrième livre, de 15 à 20 ans. Il est temps de donner à l’enfant une éducation morale et religieuse. Rousseau expose les principes auxquels il faudrait que Emile adhère dans La Profession de foi du vicaire savoyard. Plutôt que de donner