Les Aventures de Robinson Crusoé

milieu du 19ème siècle, le récit de voyage se détache de plus en plus de l’autobiographie qui, avant l’esthétisation du Voyage, occupait une place primordiale dans le récit où «... l’auteur, le narrateur et le voyageur sont la même personne. Leur aventure ne commence pas par une naissance mais par un départ …doit s’achever par un retour. »16 Après le 18ème siècle, le référentiel n’est plus le fantasme central du récit. Le regard du voyageur- narrateur veut affirmer son indépendance vis-à-vis du réel

extraordinaires. Les romans de Jules Verne sont ainsi autant de Voyages extraordinaires, pour reprendre le titre de la célèbre collection qui réunit les romans de cet auteur du XIXe siècle. Bien souvent, un héros entraîne le lecteur dans ses aventures. Dans Vingt mille lieues sous les mers, c’est par exemple l’énigmatique capitaine Nemo qui joue le rôle de guide dans les fonds sous-marins. Les lieux décrits sont alors aussi fascinants que le personnage créé par Jules Verne ! D’autres romanciers

plus important qu'elle ! ? INACCESSIBLE ! Les émotions : Fortes « ! » découverte de l'amour, du manque découverte du désir : « baiser aux lèvres » sensualité besoin de reconnaissance Lassitude jeu de séduction recherche d'une aventure, conquête amoureuse, victoire, ou défaite ?! L'ivresse : réseau lexical de l'ivresse « griser », « champagne » « embaume » … 2-le refus de s'engager Réponse de la fille peut être positive mais le poète passe à autre chose, il compte renouveler

des récits de voyages. Il apparaît au 16e siècle : il est, en quelque sorte, un personnage fait à partir des nombreuses descriptions des hommes primitifs vivant dans un paradis. Récit du mythe du bon sauvage : Daniel Defoe (1660-1731) | Robinson Crusoé (1717) | Montesquieu  (Charles de Secondat, baron de La Brède et de) (1689 - 1755) | Lettres persanes (1721) | Marivaux (Pierre Carlet de Chamblain) (1688 -1763) | L’Ile aux esclaves (1725) | Voltaire (François Marie Arouet, dit) (1694 -

Zadig accepte de répondre aux officiers mais il se promet ensuite « de ne point dire ce qu’il avait vu » (l. 74). Quelle que soit l’attitude adoptée par le héros, la justice le condamne de façon expéditive et arbitraire. Le parallélisme de ces trois aventures souligne la naïveté du protagoniste qui répète les mêmes imprudences. Ses démêlés avec la justice engendrent une suite de condamnations : Zadig est accusé de vol, il est « condamn[é] au knout » et exilé (l. 28-29) ; il est ensuite accusé de mensonge

peuplera d’autres comédies, des opéras, des romans. C’est le propre des personnages mythiques de déborder ainsi leur berceau natal et d’acquérir une dimension et des significations que leur auteur n’avait pas soupçonnées. Tels furent après Don Juan, Robinson Crusoe et Werther. Pour Don Juan, le sexe est une force anarchique qui affronte l’ordre sous toutes ses formes, ordre social, ordre moral et surtout religieux. Les comédies où il apparaît ressemblent toutes à une chasse à courre où il joue le rôle du

à remplacer l’expérience directe qui elle seule engendre une connaissance efficace. Cette remarque permet de comprendre comment, plus tard, Rousseau peut tourner son enfant vers les livres d’histoire et même vers une fiction aussi patente que Robinson Crusoé. C’est que dans certaines circonstances les livres peuvent guider, mais seulement guider, la réflexion de l’enfant qui, elle, s’appuiera sur son expérience. Mais l’éducation par les choses est plus complexe encore. Car elle inclut la célèbre

réputation est surtout due à la publication des aventures des deux amis insupportables Max et Moritz. Son style et sa façon d'écrire sont largement imités, surtout par le Britannique Hanry Ross et la scénariste française Marie Duval, les créateurs du personnage d'Ally Sloper , un personnage paresseux et débrouillard conçu pour le journal Judy. Très apprécié, Sloper devient en 1884 la star d'un hebdomadaire ; bon marché qui est consacré entièrement à ses aventures. Le Ally Sloper's Half Holidau. En Grande-

philosophique qui est souvent utilisé dans la littérature historique comme synonyme du XVIIIe siècle en Europe et particulièrement en France. Le pluriel du terme met en évidence la dimension optimiste d'un courant de pensée complexe. Il s'agit d'une aventure de la "conscience européenne" commencée bien avant le XVIIIe siècle mais d'un point de vu plus large Le siècle des Lumières tire son nom du mouvement intellectuel, culturel et scientifique aux multiples manifestations connues sous le nom de Lumières

série du Club des Cinq (page 26) à Fahrenheit 451 (chapitre 22) en passant par La Prose du Transsibérien, La Métamorphose, Eugénie Grandet (page 65), La Mare au diable, Vingt Mille lieues sous les mers, etc. sans compter les allusions subtiles à Robinson Crusoé (chapitres 22 et 23). Le chapitre 26 a un titre particulièrement évocateur : « Dans les livres, il y a encore des livres… ». Il méritera une étude complète et pourra déboucher sur des recherches et exposés sur « les bibliothèques » dans les romans