Les Bandits

fait la connaissance de Carmen, une jolie gitane. Cette fois, c'est José Navarro qui le sauve du guet-apens dans lequel Carmen voulait le faire tomber. Quelques mois plus tard, le narrateur rend visite à José, la veille de son exécution. Le bandit lui raconte son histoire : brigadier des dragons, il est devenu déserteur, meurtrier, contrebandier et voleur par amour pour Carmen. Puis délaissé par la belle gitane, il l'a tuée ... Quelques jugements sur Mérimée et ses nouvelles Mérimée

prisonnier de la caverne et au retour des 40 voleurs, il fut tué. Ce fut Ali Baba qui découvrit le corps de Kashim à l’intérieur de la caverne et, même s’il prit des précautions pour ne pas attirer l’attention des gens, il fut vite repéré par les bandits. A deux reprises, ces derniers tentèrent de tuer Ali Baba, mais à deux reprises, l’esclave d’Ali Baba, qui était d’une extrême vigilence, réussit à les déjouer. Fou de rage, le chef des voleurs décida donc d’agir lui-même.

de vigoureuse campagnes de presse. -Les jeunes fugitifs compare a un gibier, (comme une bête traquée ) -les poursuivants sont comparés à des chasseurs( la meute des honnêtes gens , qui fait la chasse , sont bredouilles -vers 1,6,12,18,27,30 : bandit ! Voyou ! Voleur ! Chenapan ! : c'est la meute des honnêtes gens qui le dise (gardiens , artiste , rentiers ) - le poète éprouve de la sympathie a l 'écart du jeune fugitif . En effet , alors que les poursuivant conspuent le jeune fugitif , il parle

Soufflard empereur ! », Victor Hugo rapproche un nom d’assassins brutal et primaire avec celui d'une haute fonction, montrant par là la bassesse dans laquelle est tombée la haute fonction (« et l'argent dans les poches » : les militaires sont des bandits mercenaires achetés). Des scènes de débauches, avec une gradation dans la violence et dans la bassesse, montrent l'inhumanité barbare : « Des vaincus qu'on fusille, hommes, femmes, enfants ». L'auteur fait une énumération de crimes (« Du sang

L’homme à terre n’a aucune chance d’être sauver. Cela montre les craintes des artistes et de leurs contemporains. L’homme détroussé : Deux individus se ruent sur le peu qu’il reste au voyageur. Un troisième personnage observe et monte la garde. Les bandits le blessent à nouveau. L’homme au centre est recroquevillé pendant l’attaque. Le voyageur blessé : Ce vitrail représente un homme dont la main est posée sur sa joue (signe exprimant la douleur pour les artistes de l’époque). Derrière lui, à sa gauche

marient. Horace doit partir en Normandie en compagnie de ses amis pour aller chasser. Pauline inquiète par des bandits qui sévissent dans la région décide de le rejoindre. Horace n’appréciant guère la surprise décide de s’absenter quelques jours. Durant cette période, Pauline vit des moments de terreur et finit par découvrir son mari et ses amis cachés, elle comprend donc qu’ils sont les bandits recherchés. Elle assiste à un meurtre, et de peur qu’elle dévoile la vérité, son mari l’enferme dans un cachot

maintienne, il y aura des exécutions capitales inutiles. Puisque de toute façon, un risque de mort est couru, il est préférable qu'il le soit par les criminels, plutôt que par les gens honnêtes. Saint Thomas d'Aquin nous dit d'ailleurs que lorsqu'un bandit est pendu, c'est à cause des autres, pour que la crainte des châtiments arrêtent les méfaits. De la même manière, Montagne disait qu'on ne corrige pas celui qu'on pend, on corrige les autres par lui. La peur est un mobile très puissant et est souvent

eut une idée. Il avait repérer l'alarme incendie et un extincteur:il allumerait l'alarme pour distraire les voleurs puis il les aveuglerait avec l'extincteur et les assommerait. Il exécuta son plan. Malheureusement, il se dirigeait vers l'un des bandit quand un autre malfaiteur qui était resté caché tira. Alexandre ressentit une douleur intense et s’effondra ,inerte. Les cambrioleur prirent l'argent et s'enfuirent,laissant les cadavres. On retrouva plus tard le fameux journal d'Alexandre où

l'enfant pâle, Brusquement reparu, fier comme Viala,-Vint s'adosser au mur et leur dit: Me voilà. La mort stupide eut honte, et l'officier fit grâce. -•••- Enfant, je ne sais point, dans l'ouragan qui passse Et confond tout, le bien, le mal, héros, bandits, Ce qui dans ce combat te poussait, mais je dis Que ton âme ignorante est une âme sublime. Bon et brave, tu fais, dans le fond de l'abîme, .:,'> Deux pas, l'un vers ta mère et l'autre vers la mort ; L'enfant a la candeur et l'homme a le remord, Et

ou contre son gré. diptyque. Le roman picaresque espagnole se donne comme mission de critiquer les différences : institutions, société à partir de l’observation du picaros. Avec Gil Blas, la visée semble plus modeste, moins moralisatrice, les bandits qui vivent souterrain se comportent comme des gentils Hommes, bien élevés et recommandables. Leur univers n’a rien de choquant. La visée de cet extrait réside dans une farce comique, séduisante. LESAGE nous incite à rire des mésaventures de cet