Les Baumettes

pour le front et des travailleurs à l'arrière. * 2nd guerre mondiale En septembre 1939, le gouverneur général d'Indochine Georges Catroux est chargé de recruter de gré ou de force 20 000 ouvriers indochinois. Ils sont débarqués à la prison des Baumettes à Marseille et envoyés principalement en Camargue pour développer la riziculture32. Dans la Résistance, le groupe Francs-tireurs et partisans - Main-d'œuvre immigrée (FTP-MOI), est créé en 1941. Ils sont dirigés d'abord par Boris Holban, puis par Missak

métiers: Prêtre catholique évangélique puis médecin et enfin écrivain humaniste. Il passe son enfance en Touraine où il rencontra des personnes qui lui inspireront des personnages de ses livres. Après avoir été novice au couvent des cordeliers de la Baumette, il devient moine, en 1521, chez les cordeliers de Fontenay-le-Comte. Il y apprend le grec, ce qui est très mal perçu, et se verra confisquer ses ouvrages. En 1524 il passe chez les bénédictins de Maillezais où il peut reprendre l'apprentissage du

exécution publique, celle d’Eugen Weidmann, le 7 juin 1939 .Pendant l’Occupation ,les hommes sont guillotinés dans la cour de la prison de la Santé ,les femmes ,dans celle de la prison de la Petite-Roquette .Et c’est finalement à Marseille,aux Baumettes,qu’a lieu la dernière exécution capitale,celle d’Hamida Djandoubi, le 10 septembre 1977.

capitales tout en étant membre de la Communauté européenne, ancêtre de l'Union européenne. Contrairement à ce que rapporte souvent la presse, ce n’est pas Christian Ranucci, mais Hamida Djandoubi qui, guillotiné le 10 septembre 1977 à la prison des Baumettes de Marseille, est la dernière personne à avoir subi la peine de mort en France. Histoire : Époque gauloise  Certains condamnés étaient conduits au lieu de supplice qui était le bord d'une falaise d'où ils étaient précipités. César rapporte que

snchal de Lern. On ne sait rien de son enfance ni de sa jeunesse. Il reoit une ducation qui le conduit, sans vocation, ltat monastique. Le jeune Franois commence ses tudes labbaye des bndictins de Seuilly. En 1510, il devient novice au couvent de la Baumette, prs dAngers, puis prtre et frre franciscain (moine). Il se livra ltude approfondie des langues anciennes latin, grec et hbreu. Rabelais constitue avec quelques rudits locaux un petit groupe dhumanistes, qui lisent les textes anciens et sont en

poursuivant cependant les exécutions dans l’enceinte des prisons jusqu’en 1977. La dernière personne à avoir été exécutée en France est Hamida Djanboudi, un immigrant tunisien condamné pour homicide et guillotiné le 10 septembre 1977 à la prison des Baumettes, à Marseille. Hamida Djandoubi est aussi la dernière personne à avoir été exécutée dans un pays de l’Union européenne.Le dernier condamné a mort aux Etats-Unis s’apelle Reginald PERKINS. Les pays ayant recemment aboli la peine de morts sont

------------------------------------------------- LES PRISONS La façon de vivre des détenus De la prison de Fresnes à Paris à la prison des Baumettes a Marseille on s’aperçoit qu’il y a une surpopulation des prisons et que le niveau de vie des incarcérés n’est pas toujours très bonne. Les documents ici soumis à notre analyse abordent tous ce thème, ainsi : dès 1829, Le dernier jour d’un condamné écrit par Victor Hugo et paru dans les éditions Hatier fait une description des

est mort à Paris le 9 avril 1553. Son père est avocat et sénéchal de Lerné (Un sénéchal est un officier au service d'un roi)  Le jeune François commence ses études à l’abbaye des bénédictins de Seuilly. En 1510, il devient novice au couvent de la Baumette, près d'Angers, puis prêtre et frère franciscain ( est un ordre religieux catholique né en Italie ). Il se livra ensuite à l’étude et approfondie des langues anciennes comme : le latin, grec et hébreu. A l'encontre des préceptes(enseignement) chrétiens

pensée toute l'après-midi. Mon rôle consisterait, éventuellement, à recevoir les déclarations du condamné. Je me prépare. Une voiture de police vient me chercher à 4 heures et quart. Pendant le trajet, nous ne prononçons pas un mot. Arrivée aux Baumettes, on ouvre la porte de la cellule. J'entends dire que le condamné sommeillait, mais ne dormait pas. On le "prépare", C'est assez long, nous attendons. Personne ne parle. Ce silence, et la docilité apparente du condamné, soulagent, je crois, les assistants

établissements préfèrent- de façon évidemment raisonnable- ignorer ces réseaux. Parfois même, dans des cas extrêmes, on a rapporté que les gardiens servaient de passeur pour faire entrer ou sortir la drogue (comme, par exemple, un surveillant des Baumettes à Marseille condamné à 5 ans de prison ferme pour trafic divers- shit mais aussi portables..), en l’échange d’argent ou de produits quelconques (cigarettes..). Mais ces transactions peuvent aussi se faire par le parloir, en l’absence occasionnelle