Les Beautés De La Guerre Candide

Régence 1723 règne de Louis XV 1774 règne de Louis XVI   1789 : Révolution 1799 : Bonaparte (18-Brumaire) Histoire littéraire Le siècle des "Lumières", des philosophes Montesquieu, Lettres Persanes 1721 Voltaire, Zadig 1747 Voltaire, Candide 1759 1750 à 1765 publication de l'Encyclopédie Rousseau Discours sur l'origine de l'inégalité 1755 Rousseau Le Contrat Social 1762 Diderot LE XVIIIème SIECLE : Le siècle des Lumières       Siècle des Lumières, terme qui désigne le XVIIIème

livre. L’action se déroule, en 1558, à la cour du roi Henri II. Mademoiselle de Chartres, jeune orpheline de seize ans élevée par sa mère selon de rigoureuses règles de morale, paraît pour la première fois au Louvre. Le prince de Clèves, ébloui par sa beauté, la demande en mariage. Mademoiselle de Chartres accepte ce mariage de raison. Trop tard, la Princesse de Clèves rencontre le duc de Nemours. Naît entre eux une passion immédiate et partagée, à laquelle sa mère, Madame de Chartres la conjure de renoncer

Voilà mon homme aux pleurs ; il gémit, il soupire.Il se tourmente, il se déchire.Un passant lui demande à quel sujet ses cris.C’est mon trésor que l’on m’a pris.- Votre trésor ? où pris ? - Tout joignant cette pierre.- Eh ! sommes-nous en temps de guerre,Pour l’apporter si loin ? N’eussiez-vous pas mieux faitDe le laisser chez vous en votre cabinet,Que de le changer de demeure ?Vous auriez pu sans peine y puiser à toute heure.- A toute heure ? bons Dieux ! ne tient-il qu’à cela ?L’argent vient-il

faut, pour les gens faire taire, Rire en pleurant et très amèrement De triste cœur chanter joyeusement. Christine de Pisan (1364-1430) J’aime une amie entièrement parfaite, Tant que j’en sens satisfait mon désir. Nature l’a, quant à la beauté, faite Pour à tout œil donner parfait plaisir ; Grâce y a fait son chef d’œuvre à loisir, Et les vertus y ont mis leur pouvoir, Tant que l’ouïr, la hanter et la voir Sont sûrs témoins de sa perfection : Un mal y a, c’est qu’elle peut avoir

Grace à ce passage, le lecteur peut presque marcher dans ces rues car il réussi à imaginer le paysage que l’auteur veut lui montrer. Dans les poèmes, l’organisation aussi et le choix des mots est très important. Cela contribue à la rythmique et à la beauté des images utilisées comme dans soleil couchant de Victor Hugo qui nous parle de la fuite du temps. Il y a encore un facteur qui nous pousse dans l’imaginaire, qui nous pousse à rêver. C’est le fait que l’auteur nous guide à travers son livre. En

celui dont on pourrait rêver, s'engager pour un monde meilleur est presque une obligation. Etre un écrivain engagé, c’est aussi s’impliquer dans l’action, dans la vie. Jean Paul Sartre, par exemple, a fait la guerre. (Bien que, plus tard, dans Les séquestrés d’Altona, il ait écrit « La guerre, on ne la fait pas : c’est elle qui nous fait »). Il a donc été directement impliqué dans l’actualité. D’autres ont écrit des thèses, comme Luther avec ses Quatre-vingt-quinze thèses dénonçant les indulgences

L’emploi du superlatif absolu permet de dresser un portrait qui incarne la perfection. Il y a une harmonie entre l’apparence physique et la nature profonde du duc de Nemours, c’est très lié à l’époque du XVIIème siècle où on pensait encore que la beauté physique était le reflet de l’âme. 3) Pour renforcer le coté exceptionnel de ce portrait, il faut montrer que le point de vue est partagé de toute la cour. En une seule phrase Mme de la Fayette va montrer que cette attirance est universelle :

privé. Ces maisons en effet changent d'habitants, par tirage au sort, tous les dix ans. Les Utopiens entretiennent admirablement leurs jardins, où ils cultivent des plants de vigne, des fruits, des légumes et des fleurs d'un tel éclat, d'une telle beauté que nulle part ailleurs je n'ai vu pareille abondance, pareille harmonie. Leur zèle est stimulé par le plaisir qu'ils en retirent et aussi par l'émulation, les différents quartiers luttant à l'envi à qui aura le jardin le mieux soigné. Vraiment, on

livre. L’action se déroule, en 1558, à la cour du roi Henri II. Mademoiselle de Chartres, jeune orpheline de seize ans élevée par sa mère selon de rigoureuses règles de morale, paraît pour la première fois au Louvre. Le prince de Clèves, ébloui par sa beauté, la demande en mariage. Mademoiselle de Chartres accepte ce mariage de raison. Trop tard, la Princesse de Clèves rencontre le duc de Nemours. Naît entre eux une passion immédiate et partagée, à laquelle sa mère, Madame de Chartres la conjure de renoncer

rêver le lecteur car l’utopie désigne d’abord un pays imaginaire, qui n’existe pas, projetant ses membres dans une société future idéale, qui réaliserait le bonheur de chacun. L’Eldorado, dans Candide de Voltaire, est un exemple de monde utopique. « C’est probablement le pays où tout va bien » déclare Candide (chapitre 17) qui découvre un monde idyllique et luxueux où les richesses semblent offertes par la nature, sans effort ni souffrance. Ce décor paradisiaque laisse donc rêveur. Il attise l’esprit