Les Beaux Quartiers

élèves). Visite du musée Salvador DALI à Figueras. Déjeuner (Restauration rapide). A Barcelone, visite du Village Espagnol, conçu pour l’Exposition Universelle de 1929. Dîner et nuit à l’auberge de jeunesse. Jour 3 : Petit déjeuner. Visite guidée du quartier gothique .Déjeuner (panier repas). Découverte du musée PICASSO.Temps libre. Dîner et nuit à l’auberge de jeunesse. Jour 4 : Petit déjeuner. Visite guidée sur le thème de GAUDI afin de découvrir ses œuvres insolites. Détente dans le ParcGUELL. Déjeuner

le sauvegarder et le protéger le patrimoine. * Instaurer une mémoire collective. * découvrir des lieux rarement accessibles * connaître son histoire Pratiques internationales : Projet: « Le jeu de la gallina », Lieu : Quartier Saint-Jacques (Quartier urbain en difficulté), Perpignan (France). Date : Le projet été réalisé en 2005,2006. En 2008, le projet été complété et repris pour d’autre classes du cartier et de la ville. En 2010, Extension avec le jeu de l’oie à taille humaine.

métier du monde a encore de beaux jours devant lui. On n’a plus le «bousbir» (célèbre quartier de maisons closes) d’antan, cette antre de la prostitution légalisée du temps du Protectorat installée dans l’ancienne médina de Casablanca, où les soldats français, et autres marocains en mal de plaisir, venaient se divertir, mais le commerce du sexe fleurit toujours dans toutes les villes du pays. «Durant les années 1970, raconte ce témoin sexagénaire, il n’existait pas de quartier où il n’y avait pas une

œuvres, se cache dans le décor, comme là où il se cache dans un rayon de boisson dans hypermarché. Le contexte : Liu Bolin (né en 1973 dans la province de Shandong) est un artiste chinois. Il obtient sa licence aux Beaux-Arts du Collège de Shandong Arts en 1995 et son Master de Beaux-Arts de Beijing en 2001. Artiste contestataire connu internationalement pour ses photos de lui-même dissimulées dans des paysages, il expose dans les musées à travers le monde. Connu en tant « qu'homme invisible »

sa jeunesse où il a grandi dans un quartier populaire de Marseille où ses parents d'origine italienne tenait un bar, ce qui influença sur son niveau de vie et le fait qu'il ne put travailler avec des matériaux nobles comme le marbre et il se résigna aux métaux et aux objets peu cher comme les matériaux de récupération. En 1935, il est admit à l'école des Beaux-Arts de Marseille avant de monter à Paris en 1943 pour entrer à l'Ecole nationale supérieure des beaux-arts. En 1945, il épouse Maria Astruc

plus on descend dans les étages de la pension et inversement. I. Architecture et classes sociales A l’époque, les pensions de famille occupaient une place importante, en particulier dans la capitale. On les trouvait dans presque tous les quartiers. Elles étaient des petits hôtels meublés sans apparence et sans aucun luxe. Certains pensionnaires ne prenaient que les repas quant à d’autre ils occupaient des chambres et y vivaient. Les pensions n’étaient pas souvent mixtes, et ne possédaient

correcteur : 1 Les deux documents reflète la même réalité (croquis Paris et texte Lyon). On remarque dans les deux cas qu’à l’ouest ce sont surtout les beaux quartiers qui existent depuis le XIXème siècle. Les habitations sont anciennes et les loyers élevés. La gentrification a commencée 1960 et continue à ce jour permettant une rénovation des quartiers et l’extension d’une population plutôt aisé qui s’étend maintenant sur une partie Est de Paris ainsi que sur Lyon. Ces loyers n’étant plus accessible

amies. À la ligne 30, on relève un indice : La chambre d'hôtel se trouve dans les grands boulevards qui ont été tracés par Haussmann en ayant pour but de modernisée la ville, ce sont des symboles du Régime. Zola fait donc mourir Nana dans un des quartiers les plus modernes de l'époque. La dernière phrase de cette citation "À Berlin! à Berlin! à Berlin!" , nous apprend que c'est le moment où Napoléon III déclare la guerre, ce qui produit une ambiance incontrôlable dans les boulevards. Tout cela nous

y compris les « classes privilégiées » souvent in étudié, n’étant pas touchées par les problèmes économiques. Alors que les Pinçon considèrent bien la ville comme un tout, un système d’interactions. Ils se sont d’abord intéressés aux beaux quartiers parisiens car ils étaient l’un des facteurs principaux de la ségrégation urbaine. Leur rencontre avec Paul Rendu, lui-même issu de la bourgeoisie ancienne, n’a fait que les conforter et les encourager dans leur choix de travailler sur la bourgeoisie

avaient un pas plutôt rapide, ils étaient assez bien habillés et avaient tous la main à l’oreille. « Sans doute, ces gens parlent à des gens de la plus haute importance ; ils doivent être fort riches, dit Candide, nous devons être dans un des plus beaux quartiers de la ville. ». Il y avait des magasins en tout genre, coiffeurs, cabinets ; ils remarquèrent également des petites boules grises qui volaient de gauche à droite. Elles semblaient les fixer d’un mauvais œil. Au vu des regards suspicieux de Candide