Les Belles Histoires

Récits mythiques et contes. Qu’est-ce qu’un mythe ? Un mythe est un récit fondateur, c’est une histoire qui a du sens, qui porte un sens caché souvent. Tous ces récits, qui posent le sens de la vie de l’homme sur terre, ont à voir avec les mythes. Mythes religieux comme par exemple le christianisme. Mythe veut dire récit mensonger. De l’imaginaire au mensonge, glissement qui s’effectue. La fable recouvre un peu aussi le mythe. Différence entre « fable » et « Fable ». a) Récit fabuleux

Bel-Ami est un roman réaliste de Guy de Maupassant publié en 1885 sous forme de feuilleton dans Gil Blas et dont l’action se déroule à Paris au XIXe siècle. Ce roman retrace l’ascension sociale de Georges Du Roy de Cantel (ou Georges Duroy), homme ambitieux et séducteur (arriviste - opportuniste), employé au bureau des chemins de fer du Nord, parvenu au sommet de la pyramide sociale parisienne grâce à ses maîtresses et à la collusion entre la finance, la presse et la politique. Sur fond de politique

 il nous est plus facile de s’évader et de s’imprégner du roman si l’on se  sent proche du personnage principal. ​ Le livre du voyage​ , de Bernard Werber où, “La  particularité de ce voyage, c’est que tu en es le héros principal.” nous permet de vivre cette  histoire à notre aise, celle­ci étant notre propre histoire.    L'identification aux héros nous offre une perspective d'évasion qui nous donne une  pleine aisance et une certaine affection à la lecture, cependant, elle n'est pas suffisante pour  apprécier pleinement le roman.    En d'autres termes

1. Le roman et le héros A- Des destins d'exception * Les histoires des romans doivent sortir de l'ordinaire Cf. la vie de Julien Sorel dans Le Rouge et le Noir de Stendhal. * Ex : les romans d'apprentissage. Le héros, jeune homme souvent plein de grâces (Cf. Julien Sorel assimilé à une « jeune fille déguisée »), est à la conquête de la capitale (héroïsme) => paysan (Julien Sorel ou Duroy de Bel Ami) ou aristocrate ruiné (Cf. Rastignac), il est désireux d'échapper à son milieu

récit édifiant[1] ». L’« imaginaire diabolique » du début du XVIIe siècle signalerait-il l’émergence d’une culture littéraire nouvelle ? Argumentez en proposant un parcours en trois parties : analysez pour commencer la dédicace « Au lecteur » des Histoires tragiques de François de Rosset, puis les adresses au lecteur et les figures du « public » qui jalonnent les récits du recueil. Enfin, comparez les résultats de votre enquête à d’autres formes d’écriture. Appuyez-vous sur au moins trois des six auteurs

Le corpus présente quatre incipits dont celui de L’Etranger d’Albert Camu, datant de 1942. Le second texte s’intitule Un balcon en forêt et a été rédigé par Julien Gracq en 1958. Le troisième est Bel-Ami de Maupassant paru en 1885 et enfin le dernier dont le titre est La vie de Marianne a été rédigé en 1742 par Pierre Carlet de Chamblain de Marivaux. Voyons par le biais de chacune de ces œuvres le statut obtenu par le narrateur mais aussi quel est le point de vue narratif adopté. Nous étudierons

Jules Michelet – Histoire de France est née en Ile-de-France pendant la deuxième moitié du XIIème siècle ; elle se répand rapidement au nord de la Loire et s’impose en Europe jusqu’au milieu du XVIe siècle, lorsque se développe l'architecture classique, sous l'influence de la Renaissance italienne. Le mot « gothique » est utilisé pour désigner cette architecture a posteriori, dans une acception péjorative. L'art gothique était l'art des Goths, en fait des « barbares » qui auraient oublié les

Introduction: Le fait de lire, se plonger dans une histoire, un autre univers, est un fabuleux moyen de s'evader mentalement, de se liberer l'esprit de notre réalité, si dure et si oppressante soit elle. Mais la question qu'il faut se poser est : " La fonction de la littérature est elle de nous faire rêver ?" La litterature, etant cet ensemble d'oeuvres nées du langage, peut elle réellement laisser vagabonder notre imagination sur le chemin fantasmé de mondes magiques et inconnus ou bien préfére

Histoire Contrairement à Une vie, dont le rythme lent s’accordait parfaitement à la vie étriquée de Jeanne, Bel-Ami a pour cadre un monde parisien trépidant dans lequel le héros, arriviste et séducteur, veut se frayer un chemin. Véritable « homme fille », changeant et inconstant dans le domaine de l’amour comme dans celui des idées, Georges Duroy se sert de son corps et des femmes pour s’élever, d’où le surnom de Bel-Ami, que Lorin, fillette de Clotilde de Marelle, l’une de ses maîtresses, lui a

entrer dans ses belles histoires, bien écrites, et qui nous détendent. Ayant visité le château et ses jardins il y a longtemps, ce livre donne envie d’y retourner afin d’en faire le tour en repensant à toutes les anecdotes que nous avons lues. Aucun guide ne pourrait remplacer cette approche de la petite histoire, parallèle à la grande, sérieuse et instructive, certes, que nous avons apprise par ailleurs. L’auteur le dit lui-même : « A côté des la Grande Histoire, la Petite histoire à Versailles