Les Bleus du ciel

1888 à Paris, est un poète et inventeur français. Charles Cros possède son musée à Fabrezan. Oh ! La fleur de lys ! La noble fleur blanche, La fleur qui se penche Sur nos fronts pâlis ! Son parfum suave Plus doux que le miel Raconte le ciel, Console l'esclave. Son luxe éclatant Dans la saison douce Pousse, pousse, pousse. Qui nous orne autant ? La rose est coquette ; Le glaïeul sanglant Mais le lys est blanc Pour la grande fête. Oh ! le temps des rois, Des grands

| |Attitude/Expression |Neutre, mais attentive |Détendue et nonchalante | |Couleurs ou valeurs de gris |Couleur, camaïeu de bleus |Valeurs de gris | |Matière/Texture |Touches de couleur, coups de pinceau |Aucune | 2-

Victor Hugo (1802-1885), Les Orientales, 1829.. I : Le Feu du ciel II : Canaris III : Les Têtes du sérail IV : Enthousiasme V : Navarin VI : Cri de guerre du mufti VII : La Douleur du pacha VIII : Chanson de pirates IX : La Captive X : Clair de lune XI : Le Voile XII : La Sultane favorite XIII : Le Derviche XIV : Le Château-fort XV : Marche turque XVI : La Bataille perdue XVII : Le Ravin XVIII : L’Enfant XIX : Sara la baigneuse

picturale, elle est précieuse pour le peintre mais aussi pour l’auteur des Illuminations. Cette lumière s’exprime dans les termes cristal éclaire rayon. Quant au décor des canaux associe à l’image du bras de mer rappelle les villes Hollandaise avec leur ciel gris comme à Amsterdam. On observe les allusions à la peinture hollandaise du 17éme siècle avec notamment le peintre Vermeer b) Un tableau de mouvement On a le sentiment qu’un narrateur spectateur est place en retrais devant cette scène observant

serpent qui danse Que j'aime voir, chère indolente, De ton corps si beau, Comme une étoffe vacillante, Miroiter la peau ! Sur ta chevelure profonde Aux âcres parfums, Mer odorante et vagabonde Aux flots bleus et bruns, Comme un navire qui s'éveille Au vent du matin, Mon âme rêveuse appareille Pour un ciel lointain. Tes yeux où rien ne se révèle De doux ni d'amer, Sont deux bijoux froids où se mêlent L’or avec le fer. A te voir marcher en cadence, Belle d'abandon, On dirait un serpent qui danse Au bout

Robert de Lavalle avait toujours adoré l'altitude. Cette sensation grisante d'être au-dessus du monde, de faire partie du ciel et de chaque élément de l'air qui agite vos cheveux, et avec la sensation, au creux de l'estomac, d'être une infime particule immensément importante ; un sentiment de puissance et d'unité indescriptible à la fois, qui vous fait vous sentir au centre du monde. Ce soir-là, néanmoins, accroché désespérément au bord d'une gouttière presque effondrée, il n'avait pas vraiment

del mar ", " Familia de acrobatas con un mono " ou encore " Guernica " que je vais vous présenter aujourd’hui. Il aura fait " Pobres al borde del mar " pendant la période bleue de 1901 à 1904, dans laquelle il peignait ses tableaux dans des tons bleus pour représenter la misère et la douleur des gens qu’il voyait. Par exemples, des alcooliques, des travailleurs épuisés ou encore des gens pauvres. Puis " Familia de acrobatas con un mono " pendant la période rose de 1904 à 1905 dans laquelle il

ideal. I. Elements du mythe traditionnels 1. Conquetes de DJ il est un collectionneur volage: 4premiers vers. Il seduit les femmes des diff.cat. sociale ou l’article defini montre une general. de ces categories. 1ere figure: purete de la vierge, yeux bleus, <<bras parfumes>>,bercer  allure maternelle le nombre des femmes qu’il seduit montre qu’il est un prodigue. Argent: v9, temporelle et energique: v9 ni jours ni nuits. Il ignore complet. l’echelle sociale <<meprisais>> Valeurs morales: il mepris ps

dans ces vers s’applique davantage à elle qu’à ses interlocuteurs ou que ce qu’elle affirme soit ironiquement le contraire de la réalité. Par exemple aux vers 142 et 143 elle dit: «Voilà les contes bleus qu’il vous faut pour vous plaire. ; Ma bru, l’on est chez vous contrainte à se taire.». Les «Contes bleus» tels qu’elle les nomment, viennent en totalité d’elle-même, car le groupe à son opposé ne semble pas raconter de sornettes. De même que de dire que chez Elmire les personnes sont contraintes à

plutôt que le jour naisse ou meurt dans l'ombre, Que le ciel du vallon soit rayonnant ou sombre, Que l'alouette chante ou non à mon réveil. Mon cœur ne dépend plus d'un rayon de soleil, De la saison qui fuit, du nuage qui passe ; Son bonheur est en lui ; toute heure, toute place. Toute saison, tout ciel, sont bons quand on est deux ; Qu'importe aux cœurs unis ce qui change autour d'eux ? L'un à l'autre ils se font leur temps, leur ciel, leur monde ; L'heure qui fuit revient plus pleine et