Les Bleus du ciel

pouvons d’abord apercevoir un cyprès se découper devant un petit village pas totalement endormi : l’arbre est large à sa base, mais devient de plus en plus filiforme à mesure qu’il grandit dans le ciel. Un clocher se profile derrière les habitations, accompagné de quelques arbres et d’une imposante colline. Le ciel lui, semble tourmenté par des voluptés de lumière, ou peut-être par le vent, représenté par des vagues pareilles à celles des océans. La lune et onze étoiles sont entourées par des halos de lumière

• Les dictées du lundi, mardi et jeudi se font sur ardoise. Un élève la fait derrière le tableau ce qui permettra une correction collective avec la participation de chacun. • Le vendredi la dictée fait office de bilan et se fait au propre sur le cahier du jour. La correction peut se faire collectivement. • Chaque mot erroné est à recopier sur la ligne de dessous en entier. A partir de 5 fautes, l’élève recopie la dictée intégralement pour une meilleure lisibilité. Dictées Période 1  Mots

le degré du bleu du ciel.C’est un petit carton avec différentes nuances de bleus. Il y juxtapose des petits carrés de bleu numérotés de 1 à 16, Chacun jouxtant un espace évidé à travers lesquels on peut voir le ciel et choisir sa nuance. Les carrés sont peints à l’aquarelle et à l’encre diluée, et l’échelle des nuances est au préalable soigneusement choisie et testée. Parvenu au sommet du Mont-Blanc, le savant mesure un ciel très foncé entre 1 et 2, à Chamonix son fils l’estime entre 5 et 6, tandis

tristesse L'âme triste est pareille Au doux ciel de la nuit, Quand l'astre qui sommeille De la voûte vermeille A fait tomber le bruit ; Plus pure et plus sonore, On y voit sur ses pas Mille étoiles éclore, Qu'à l'éclatante aurore On n'y soupçonnait pas ! Des îles de lumière Plus brillante qu'ici, Et des mondes derrière, Et des flots de poussière Qui sont mondes aussi ! On entend dans l'espace Les choeurs mystérieux Ou du ciel qui rend grâce, Ou de l'ange qui passe,

fenêtre Et que l'ombre s'amasse au fond du corridor, - Quelque ville mauresque, éclatante, inouïe, Qui, comme la fusée en gerbe épanouie, Déchire ce brouillard avec ses flèches d'or ! Qu'elle vienne inspirer, ranimer, ô génies, Mes chansons, comme un ciel d'automne rembrunies, Et jeter dans mes yeux son magique reflet, Et longtemps, s'éteignant en rumeurs étouffées, Avec les mille tours de ses palais de fées, Brumeuse, denteler l'horizon violet ! Textes 4 et 5 : Théophile Gautier, Premières poésies

Planque. C’est une composition horizontale qui respecte la règle des tiers, avec le ciel dans le tiers supérieur, l’horizon étant placé sur la ligne de force, et la prairie du premier plan dans la partie inferieure avec le muret qui la borde au niveau de la ligne de force inferieure. On retrouve dans cette construction un contracte chaud froid entre les tons rouges orange bruns du village encadré par le bleu du ciel et le vert de la prairie. La lumière du soleil provient de la droite du tableau

Bible. Dans Le Feu du Ciel il parle de Sodome et Gomorrhe, deux villes détruites par Dieu lui-même, selon la Bible. D’autre part il y a aussi un lieu imaginaire mentionné dans Rêverie, lorsque le personnage en question ce trouve au sommet d’une colline dans un espace indéfini et regarde au loin Les couleurs : Un poème où j’ai pu relever des couleurs est L’enfant. Lors de la description de l’enfant le bleu revient très souvent tout come le doré. « Un enfant aux yeux bleus » ; « Pour que dans

| Ma bohème Je m'en allais, les poings dans mes poches crevées ; Mon paletot aussi devenait idéal ; J'allais sous le ciel, Muse ! et j'étais ton féal ; Oh ! là ! là ! que d'amours splendides j'ai rêvées ! Mon unique culotte avait un large trou. - Petit-Poucet rêveur, j'égrenais dans ma course Des rimes. Mon auberge était à la Grande-Ourse. - Mes étoiles au ciel avaient un doux frou-frou Et je les écoutais, assis au bord des routes, Ces bons soirs de septembre où je sentais des gouttes

conservée aujourd’hui au musée d’Orsay à Paris. Cette peinture représente un des thèmes personnels de Gustave Courbet : les paysages de mer. En effet, on voit une falaise au bord de la manche. Sur plusieurs de ses œuvres, Gustave Courbet peint un ciel qui recouvre les ¾ de la peinture, ce qui différencie ces peintures de paysage, aux peintures de scène de genre qu’il a peint auparavant. La mer fait, elle aussi, partie intégrante du tableau : c’est un élément difficile à représenter à cause des mouvements

aussi distinguer un arrière-plan, celui du rêve « L’Iran », « le puits sombre ». Hugo insiste beaucoup sur les couleurs avec une nette préférence pour le « bleu » dont nous notons cinq occurrences et avec la redondance au vers 26 « bleu comme tes yeux bleus » et « le blanc » au v.11 et au v.21, qui est valorisé grâce à l’antéposition de l’adjectif qualificatif. Et le choix de l’aubépine dont l’origine latine est « épine blanche » vient encore insister sur cette teinte. Les deux couleurs qui commencent