Les Caprices De Marianne

d’ Alfred de Musset, Le Voyage de Monsieur Perrichon d’Eugène Labiche et En attendant Godot de Samuel Beckett. Il ne faut jurer de rien est une oeuvre écrite par Alfred de Musset en 1836, Musset a aussi écrit La nuit vénitienne en 1830, Les Caprices de Marianne en 1833 et Fantasio en 1834. Le Voyage de Monsieur Perrichon est une pièce de théâtre mise en scène par Eugène Labiche en 1860, ses principales sont Monsieur de Coislin (1838) , Un chapeau de paille d’Italie (1851) et La Cagnotte (1864).

le contraste entre ce souhait et la réalisation de ce souhait, tout cela afin de faire ressortir l’amertume et le regret d’avoir voulu cet enfant. Lectures cursives et documents : Le Misanthrope Acte I scène 1 (extrait), de Molière Les Caprices de Marianne Acte I scène 1, de Musset En attendant Godot (début), de Beckett Bérénice (préface), de Racine Cromwell (préface), de Hugo Roméo et Juliette Acte V scène 3, de Shakespeare Ruy Blas Acte V scène 4, de Hugo

sa vision romantique, Musset avait tendance à être optimiste et cela se reflétait dans ses poèmes (il s'opposait à Baudelaire dans ce domaine). Ses principales œuvres: - Contes d'Espagne et d'Italie, son premier recueil (1829) - Les Caprices de Marianne (1833) - On ne badine pas avec l'amour (1834) - Les Confessions d'un enfant du siècle (1836) Œuvre : C’est un texte très court qui présente une définition de l’art poétique. Ecrit en 1839, il paraît en 1852 dans un recueil intitulé poésie

qui entend la ruse → succide ! Camille et Perdican se séparent… Pessimisme radical. (désenchantement) « Les caprices de Marianne »(1833) : Cœlio (intello, timide) est amoureux de Marianne, demande à son ami Octave (libertin) de séduire Marianne à sa place. Cela marche. Octave arrive à avoir un rendez-vous pour Cœlio, et lors du rendez-vous, Cœlio se fait assassiner par le père de Marianne. Ressemble beaucoup à Lorenzaccio. Grandes références : Brutus 1, Brutus 2, Erostrate, Hamlet, Brutus 1, c'est

1836 Chute d'un ange, 1838 Recueillements poétiques, 1839 Alfred de Vigny, avec Poèmes antiques et modernes, 1826 Stello, 1832 Chatterton, 1835  Servitude et grandeur militaires, 1835 Les Destinées, 1864 Alfred de Musset, avec Caprices de Marianne, 1833  On ne badine pas avec l'amour, 1834 Lorenzaccio, 1834 La Confession d'un enfant du siècle, 1836 Les Nuits, 1835-1837 Gérard de Nerval, avec Sylvie, 1853 Les Chimères, 1853  Aurélia, 1853  Pandora, 1853 Et Georges Sand

d’un récit qui montre à la fois le travail de l’auteur et la réflexion de l’auteur sur son travail ; c’est l’introduction dans l’œuvre d’une conscience critique. La Vie de Marianne et le Paysan parvenu sont deux romans de la maturité, 2 jumeaux qui offrent une variante nouvelle de la structure permanente de Marivaux. Marianne est à la fois celle qui vit ses aventures et celle qui les raconte. Marivaux s’arrête avec prédilection à ces moments où l’être, dupe de la comédie que lui joue son cœur, la

donner à l’homme le rire fort et saint » (Romain Rolland, Histoire de l’opéra en France, 1897). 4 Pour d’autres critiques, elle révèle en Molière le poète qui se cache derrière le moraliste : « On a voulu n’y voir qu’une concession faite aux caprices du roi et à la mode. Les contemporains sont unanimes à dire au contraire que Molière joua dans ce domaine un rôle d’initiateur, qu’il attachait un grand prix à cette tentative, qu’il rêvait de réaliser enfin cette fusion des arts qu’Athènes et

théâtre Les Caprices de Marianne de Musset paru au XIX siècle. Dans un Naples imaginaire, Cœlio est un jeune amoureux qui rêve de conquérir Marianne. Cette dernière est unie au juge Claudio dans un mariage très conventionnel et imposé. Elle est extrêmement froide, irréprochable et dévouée à ses devoirs d'épouse fidèle. C'est un parangon de vertu. Cependant, au cours de la pièce, cette jeune femme va tomber amoureuse d'Octave, ami de Cœlio. Tout comme la princesse de Clèves, Marianne est l'objet d'un

parole, en effet le théâtre est une œuvre qui s’interprète à l'orale, de plus le spectateur se focalise sur l'acteur qui lui, peut clairement exprimer ses sentiments via son jeu d'acteur, on peut citer l'exemple du Texte B, du Corpus : «Les Caprices de Marianne » Au début de la scène d'exposition, le personnage principale parle seul face au publique et il créait un dialogue avec lui pour exprimer ce qu’il ressent et pense. Il peut donc toucher puisqu'il fait comme une confidence au publique.  L’acte

Ses personnages souffrent de l'indifférenciation entre l'être et le paraître et de ce « masque social » qui leur colle à la peau. Ils expérimentent tous le drame du dédoublement. Pièces d'Alfred de Musset : La Nuit vénitienne (1830) Les Caprices de Marianne (1833) Fantasio (1834) Lorenzaccio (1834) On ne badine pas avec l'amour (1834) 3. Alfred de Vigny (1797-1863) En 1829, Alfred de Vigny adapte en français l'Othello de Shakespeare, écrit une pièce historique puis s'affirme comme un des