Les Caractéristiques Du Capitalisme Actionnarial Ou Patrimonial

L’administration bureaucratique Sociologue allemand, professeur d’économie politique, il approche la notion d’organisation et plus précisément l’entreprise à partir des sciences humaines et sociales (… « Ethique protestante et l’esprit du capitalisme-1905 »… « Economie et société » -1922… ); Il va en particulier analyser les interactions individus-autorité en cherchant à dépasser la simple vision mécaniste de l’organisation. Il va ainsi définir « des idéaux type » c’est à dire des situations

(1864-1920) L’administration bureaucratique Sociologue allemand, professeur d’économie politique, il approche la notion d’organisation et plus précisément l’entreprise à partir des sciences humaines et sociales (… « Ethique protestante et l’esprit du capitalisme-1905 »… « Economie et société » -1922… ); Il va en particulier analyser les interactions individus-autorité en cherchant à dépasser la simple vision mécaniste de l’organisation. Il va ainsi définir « des idéaux type » c’est à dire des situations

chapitre 3. Un modèle unique : le capitalisme ? .................................................55   Document de travail résevé aux élèves de l’Intec – Toute reproduction sans autorisation est interdite chapitre 2. Les faits économiques et sociaux pendant les trois révolutions industrielles .........................................................................................49 Section 1. Section 2. Section 3. Section 4. Les caractéristiques du système capitaliste ..........

esprit du capitalisme, Gallimard. • Coriat B., Weinstein O.(1995) – Les nouvelles théories de l’entreprise, L.G.F, . • Crozier M., Friedberg E.(1977) – L’acteur et le système, Seuil. • D’Iribarne Ph.(1989), – La logique de l’honneur, Seuil. • Friedberg E.(1993) – Le pouvoir et la règle, Seuil. • Le Joly K., Moingeon B. (2001), Gouvernement d’entreprise : débats théoriques et pratiques, Ellipses. • Paugam S. (2000), Le salarié de la précarité, PUF. • Plihon D. (2003), Le nouveau Capitalisme, La

Par ce biais les salariés sont présents dans la gestion de l’entreprise, ils se sentent concernés par son devenir, ce qui les pousse à s’investir davantage, ils sont actionnaires de l’entreprise. On va vers un capitalisme patrimonial et non plus seulement vers un capitalisme actionnarial. Au sein même de l’entreprise il y a certes une confrontation entre l’intérêt économique et les aspirations sociales, mais le droit du travail contribue à organiser et valoriser l’entreprise, qui devient une

sur trois concepts : asymétrie d’information, complémentarités et spécificité des actifs utilisés. Les entreprises créent de la richesse en rendant complémentaires des actifs parce qu’elles leur ajoutent des caractéristiques spécifiques au processus productif mis en œuvre. Ces caractéristiques n’ont pas de valeur marchande et ainsi, la valeur de chaque actif pour l’entreprise est toujours supérieure à sa valeur de revente. La spécificité d’un actif se définit alors par la différence entre sa valeur

création et d’accumulation de ces ressources. De ce point de vue, une convergence fondamentale entre la théorie évolutionniste et la théorie des ressources est la reconnaissance de l’hétérogénéité des firmes : celles-ci n’ont pas toutes les mêmes caractéristiques et les mêmes capacités, y compris dans une même industrie. L’accent placé sur la création interne de ressources s’accompagne logiquement d’une problématique de production, contrairement aux approches contractuelles qui s’intéressent au processus

des valeurs de l'organisation et de la motivation des salariés. *Joseph A. Schumpeter (@1950) D'origine autrichienne, Schumpeter est considéré, avec Keynes, comme un des grands économistes du XXe siècle. Ses travaux portent sur la dynamique du capitalisme et l'innovation technique, vues comme un processus de renouvellement permanent porté par un groupe social particulier d'entrepreneurs innovateurs. Une conception marxiste de l’entreprise moderne L'entreprise sans usines ou la captation de

pas l’équilibre éthique, d’où une résilience1 partielle. La microfinance comme actif financier (fonds d’investissement, introduction en bourse) s’apparente à un isomorphisme mimétique. Ici, l’exigence de rentabilité maximale (création de valeur actionnariale, maximisation du cours boursier) approfondit la commercialisation de la microfinance et l’écarte de façon quasi irréversible de l’équilibre éthique. La résilience est presque nulle dans ce cas. La microfinance bancaire correspond à l’intervention

maintien   ou   l’aggravation   ne   peut   résulter   que   de   dysfonctionnement   des   marchés   ou   de   défaillances   institutionnelles.   Il   existerait   ainsi   une   variété   optimale   de   capitalisme   à   laquelle   tous   les   pays   devraient   se   conformer.   Seules   des   interventions   discrétionnaires   et   donc   inappropriées   des   gouvernements   et   des  défaillances  institutionnelles