Les Chiens de paille

en bas de, en haut de, au-dessous de, au-dessus de, au milieu de, autour de.. h - la ferme : N: animal, bête, poule, coq, poussin, canard, oie, pigeon, dindon, cygne, vache, bœuf, cheval, poney, âne, mouton, agneau, chèvre, cochon, lapin, chien, chat, ferme, tracteur, chariot, machine.. i - le zoo : N: zoo, animaux, bêtes, éléphant, girafe, rhinocéros, hippopotame, kangourou, zèbre, singe, ours, panda, loup, renard, crocodile, lion, tigre, panthère, cerf, aigle, cigogne, hibou,

l’Eglise, le Château, le Moulin et le Four. Les maisons sont construites soit en bois, soit en torchis ( mélange de paille et de terre ). Les toits sont en chaume, mais seront ensuite remplacés par l’ardoise. Il n’y a que deux pièces, l’une servant de chambre et l’autre de grenier. A côté de la pièce principale se trouve l’étable. Les paysans ont peu de meubles. On dort sur un matelas de paille ou sur une peau de bête. Les paysans travaillent beaucoup et leur seul souci est de nourrir leur famille. Ils

d’or, outre la valeur de l’animal et les frais de poursuite. TITRE VI : DU VOL DES CHIENS Article 1 Quiconque aura dérobé, ou tué un grand chien, conducteur de meute, sera condamné à payer 1.800 deniers, ou 45 sous d’or, outre la valeur de l’animal et les frais de poursuite. Article 2 Quiconque aura dérobé, ou tué un grand chien, non conducteur de meute, un chien pour la chasse du sanglier, ou un chien lévrier qu’on nomme aussi argutaire, sera condamné à payer 600 deniers, ou 15 sous d’or

connu du XXIe siècle, il use de l’allégorie du hamster dans sa cage pour décrire la situation des plus démunis à notre époque, ce poème est donc tout à fait d’actualité et c’est cela qui m’a séduis dans celui-ci. Hamsters, réveillez-vous la paille vous attend, là-bas et les regards qui vous fustigent lorsqu’on recherche l’absolu Une maison, de beaux vêtements, des voyages… Réveillez-vous et brisez l’algorithme du monstre qui vous écrase ! La marguerite un jour n’aura plus de pétales Le

Brille-Babil représente un Goebbels au service de Staline. Malabar : Stakhanov. Moïse : l'église orthodoxe. M. Frederick : Hitler. Les espèces Les hommes : la classe patronale et les capitalistes. Les cochons : la direction du Parti. Les chiens : la police politique. Les chevaux : le prolétariat ouvrier et militant. Les moutons : les masses. La chatte : les hédonistes et les profiteurs apolitiques. Les pigeons : ceux qui répandent les théories communistes dans tous les pays. Les animaux

sensations et ses besoins, comme un chien affamé ou ennuyé du repos, demande à manger ou à se promener. Les mots, les langues, les lois, les sciences, les beaux-arts sont venus ; et par eux enfin le diamant brut de notre esprit a été poli. On a dressé un homme, comme un animal ; on est devenu auteur, comme porte-faix. Un géomètre a appris à faire les démonstrations et les calculs les plus difficiles, comme un singe à ôter ou mettre son petit chapeau et à monter sur son chien docile. Tout s'est fait par des

de nourriture. Mais la grande pitié de Gervaise était surtout le père Bru, dans son trou, sous le petit escalier. Il s'y retirait comme une marmotte, s'y mettait en boule, pour avoir moins froid ; il restait des journées sans bouger, sur un tas de paille. La faim ne le faisait même plus sortir, car c'était bien inutile d'aller gagner dehors de l'appétit, lorsque personne ne l'avait invité en ville. Quand il ne reparaissait pas de trois ou quatre jours, les voisins poussaient sa porte, regardaient

humaines ». Et dans le texte de L'Assommoir, le père Bru, pauvre entre les pauvres que la courageuse Gervaise prend en pitié, dans son réduit sous l'escalier, vit comme un animal: il se blottit « comme une marmotte [... ] sur un tas de paille ». Il est « comme un chien pour elle, une bête hors de service, dont les équarrisseurs ne voulaient même pas acheter la peau ni la graisse. » Si l'époque du roi Soleil laisse des paysans affamés, fouillant la terre pour manger des racines, la France déjà urbanisée

l’écurie apposition du nom ‘’la sellerie’’,  ‘’à quatre vitres’’ complément du nom ‘’fenêtre’’, qui donnait dans l’écurie proposition subordonnée relative du nom ‘’une porte’’, de Crooks complément du nom ‘’le lit’’, en une longue caisse remplie de paille complément du nom ‘’le lit’’, de cuir neuf complément du nom ‘’des bandes’’, dont le rembourrage en crin d’échappait complément du nom ‘’un collier’’, dont le revêtement de cuir avait craqué complément du nom ‘’une rêne’’, de savon complément du

Séance 1 : Explication de texte 1 : Autoportrait poétique : « Moi, comme les chiens… », Les Chants de Maldoror (1869), Lautréamont / Prolongement pour ouverture : « Spleen » (« Quand le ciel bas et lourd […] »), LesFleurs du mal (1857), Baudelaire Objectif : étudier un autoportrait à la fois poétique et monstrueux Isidore Ducasse publie, sous le nom de Lautréamont, Les