Les Chouans Résumé

place d’une valeur sacrée = la propriété et les libertés individuelles. Le directoire a pour rôle de maintenir la république en la défendant, donc de mobiliser les massas pour sauver la patrie. D’autant plus qu’il y a des soulèvements intérieurs (chouans). Le directoire laisse de plus en plus de libertés aux généraux. Des officiers non nobles vont monter en grade. L’armée et ses généraux sont glorifiés. Ceci va favoriser la montée de Bonaparte (général à 26 ans). Ces militaires se comportent de

dans les caractéristiques du territoire. 1. Le mystère de la stabilité électorale Analyse classique : le travail d’André Siegfried, Tableau politique de la France de l’Ouest. Moment fondateur dans la science po française. Ouvrage souvent résumé à cette formule : « le granite vote à droite, le calcaire vote à gauche » = mystique du sol. « Le granite produit le curé, le calcaire l’instituteur ». Mais la géologie et le vote ne sont que les extrémités d’une chaîne causale. Il ne s’agit pas de

révolution. Comme le fédéralisme les vendéens s'opposent au pouvoir révolutionnaire parisien. Mais les racines sociales de cette opposition est bien différente. C'est le paysan pauvre des campagnes. Ce n'est pas une révolte royaliste, contrairement aux chouans (royalistes insurgés c/ la révolution en Anjou : Normandie/Bretagne, dirigés par officiers royalistes). Issue d'une révolte paysanne qui débute en mars 1793 au moment d'une réquisition d'homme pour la guerre, les paysans refusent de rentrer dans

BSHPF, 1937, p. 265-301. [3] Adrienne Durand-Tullou, Le Loup du Causse. La légende d’uncompagnon de Rohan (1594-1638), Payot, 1994. [4] J.-R. Armogathe, Missions et conversions dans le diocèse deMende au xviie siècle, 1629-1702, thèse, EPHE, 1972 ; résumés dansRevue du Gévaudan, 1971, p. 91-109, et 1972-1973, p. 223-232. [5] J. Garrisson, B. Vogler, « La genèse d’une société protestante ;étude comparée de quelques registres méridionaux et palatins vers 1600 », Annales ESC, 1976, n° 2, p. 362-388 ; D

l’intérieur, puisque depuis mars 1793, les armées républicaines devaient faire face aux révoltes des Vendéens. Non seulement sa population avait refusé les armées révolutionnaires, mais en plus elle les combattait. On retrouve aussi en Bretagne, les Chouans qui sont des insurgés royalistes qui attaquent les autorités civiles. Les contre-révolutionnaires d’insurgeaient systématiquement contre les soldats de l’armée de la République de la française. Il devenait nécessaire de sauver le salut public, c’est-à-dire

leur apporte sa confirmation, comme un suzerain à ses vassaux, et peut confisquer leur pouvoir en cas de faute. Avec lui le Saint-Siège revendique « l’imperium mundi » c’està-dire une chrétienté formée de royautés vassales de saint Pierre. Ce texte résume tout à fait cette ambition. Doc. 3 : Les revenus de l’Église et leur utilisation Il ne s’agit pas d’un document historique mais d’un schéma construit d’après les connaissances des historiens afin de montrer le rôle social de l’Église et les moyens

ses soldats arrivent au village du Coudray, la fusillade éclate : des brigands tentent d’abattre le chef du détachement républicain. La riposte est immédiate : Brutus Hugo, qui a entendu les balles siffler à ses oreilles, supprime lui-même le chef chouan, nommé La Perdrix. Hugo et ses hommes partent ensuite occuper le château de Châteaubriant, à une trentaine de kilomètres. Ils s’y installent le 26 novembre 1795. Sophie Trébuchet, rue de Couéré Ce jour-là, dans la rue de Couéré, proche du château

ses soldats arrivent au village du Coudray, la fusillade éclate : des brigands tentent d’abattre le chef du détachement républicain. La riposte est immédiate : Brutus Hugo, qui a entendu les balles siffler à ses oreilles, supprime lui-même le chef chouan, nommé La Perdrix. Hugo et ses hommes partent ensuite occuper le château de Châteaubriant, à une trentaine de kilomètres. Ils s’y installent le 26 novembre 1795. Sophie Trébuchet, rue de Couéré Ce jour-là, dans la rue de Couéré, proche du château

BSHPF, 1937, p. 265-301. [3] Adrienne Durand-Tullou, Le Loup du Causse. La légende d’uncompagnon de Rohan (1594-1638), Payot, 1994. [4] J.-R. Armogathe, Missions et conversions dans le diocèse deMende au xviie siècle, 1629-1702, thèse, EPHE, 1972 ; résumés dansRevue du Gévaudan, 1971, p. 91-109, et 1972-1973, p. 223-232. [5] J. Garrisson, B. Vogler, « La genèse d’une société protestante ;étude comparée de quelques registres méridionaux et palatins vers 1600 », Annales ESC, 1976, n° 2, p. 362-388 ;

(1834) • La Peau de chagrin (1831) • Illusions perdues (1843) • Le Lys dans la vallée (1835) • Eugénie Grandet (1833) • La Recherche de l’Absolu (1834) • Le Colonel Chabert (1832) • La Femme de trente ans (1832) • Le Chef-d’œuvre inconnu (1845) • Les Chouans (1827) Note: This book is brought to you by Feedbooks. http://www.feedbooks.com Strictly for personal use, do not use this file for commercial purposes. 2 Chapitre 1 Où la passion va-t-elle se nicher ? Vers le milieu du mois de juillet