Les Châtiments Fable Ou Histoire

lutherienne : revenir à la lecture individuelle des textes. Luther va apporter une critique radicale du système des indulgences. Systeme des indulgences : fin du moyen age est très marquée par un sentiment de culpabilité, hantise du pêché, peur du châtiment, de la colère de dieu, du jugement dernier. Se voit très bien dans la peinture de l’époque. Peur très marquée àlaquelle va répondre une sorte de pratique de l’eglise : celle des indulgences. C’est un rachat d’une faute, d’un pêché. C’est du commerce

avec l'arbitraire qui le fonde. L'hypocrisie des ecclésiastiques, leur corruption, entraînent une défiance à l'égard des religions, souvent mises à plat et universellement condamnées : le fanatisme musulman, dont la Loi ne sait s'imposer que par la fable et la superstition, rejoint l'intolérance de toute religion, quelle qu'elle soit. Les prêtres donnent eux-mêmes de leur culte une image indigne, pervertis par l'oisiveté et les contraintes du célibat. Nos épistoliers multiplient donc les appels

dernière, il écrira « Les contemplations » et notamment le célèbre poème : « Demain dès l’aube … ». En exile à Jersey à partir de 1851 à cause du coup d’état de Napoléon III, il ne reviendra à Paris qu’en 1871. Durant son exile, il écrira les « Châtiments » dans lesquelles il ne cessera de critiquer Napoléon III. En 1851, pour fêter ces 80 ans, on créera l’Avenue Victor Hugo. Contre la richesse il ne cessera de soutenir les pauvres. Il décédera en 1885, à Paris, à l'âge de 83 ans. LES THEMES

XVIème siècle : L’Humanisme s’inscrit dans le contexte histoire de la Renaissance. C’est un mouvement littéraire et culturel qui place l’homme au centre de ses préoccupations. Il vise à l’épanouissement de la personne humaine, au développement de l’esprit. Il prône un retour aux sources de la culture de l’antiquité Grec et Latine. Rabelais : C’est un médecin de profession, mais il prend plaisir à écrire des fictions, invente des histoires de géant qui vont devenir pour lui, un moyens d’exprimer

bons et les méchants= par exemple dans La Condition Humaine, les révolutionnaires vont pouvoir porter un message précis sur le monde à transformer, comme par exemple le personnage de Kyo. - L’auteur est très libre dans le choix des péripéties de son histoire, des retournements et donc de la morale = libre dans l’écriture (ex :​ Germinal ​ de Zola). L’auteur peut simplifier et grossir pour rendre sa démontration plus évidente : l’avarice d’Harpagon dans ​ L’Avare​ est considérablement grossie par rapport

Orientales en 1829, Les Feuilles d'automne en 1831 et Les Rayons et les Ombres en 1840. Il est élu à l'Assemblée Constituante en 1848, il s'exile à Bruxelles puis à Jersey et s'installe finalement à Guernesey ou il y resta 15 ans, il écrira Les Châtiments en (1853), c'était un poête, romancier et dramaturge. Montesquieu : 1689/1755, Charles-Louis de Secondat, baron de la Brède et de Montesquieu, est le fils d'un magistrat issu de la vieille noblesse, il écrit en 1721, Les Lettres persanes proposent

s'ajoute à sa volonté d'authentifier ces lettres et de se présenter comme un simple traducteur. Artifice bien connu de l'époque par lequel Montesquieu prévient les accusations de légèreté ou d'invraisemblance et excuse l'audace de la satire. XI - XIV Histoire des Troglodytes. Voici le premier apologue. La narration s'étale sur quatre lettres, ce qui permet de l'émailler d'un discours où le philosophe pose et illustre la notion fondamentale de vertu : « l'intérêt des particuliers se trouve toujours dans

voir au ciel les tableaux célestes des guerres et massacres dont le livre des Fers fait la description et d’entendre un ange lui décrire l’avenir jusqu’à la fin des temps (1191-1146) ; un épisode mythologique s’intercale avant la conclusion. Le châtiment suit le crime : Vengeances recense les morts cruelles des bourreaux : un long exorde (1-140) décrit conditions de l’accès à l’inspiration prophétique, puis les morts des adversaires de la première Eglise pdt l’Ancien Testament sont décrites (141-448)

Dieu et au saint Prophète, en exterminant tous les chrétiens, qui, de leur côté, ne sont guère plus tolérants. Songez qu’elle a créé et qu’elle perpétue, dans une même contrée, des divisions qui se sont rarement éteintes sans effusion de sang. Notre histoire ne nous en offre que de trop récents et de trop funestes exemples. Songez qu’elle a créé et qu’elle perpétue, dans la société entre les citoyens, et dans la famille entre les proches, les haines les plus fortes et les plus constantes. Le Christ a

qui est arrivée jusqu’à nous. Le petit volume de Charles Perrault intitulé Contes de ma mère l’Oye, ou Histoires du temps passé (1697) fut publié sous le nom de son jeune fils, Perrault d’Armancourt. Perrault avait déjà 69 ans. Le genre des contes de fées est à la mode dans les salons mondains : les membres de la haute société assistent aux veillées populaires et prennent note des histoires qui s’y racontent. Ce recueil se compose de huit contes merveilleux : La Belle au bois dormant, Le Petit