Les Classes Ouvrieres

Le bilan des grèves comme mode d’expression ouvrière est globalement positif. Une majorité de grève se terminent, en dépit de la période de crise qui fait monter le taux d’échec, par un succès ou un compromis. Les grèves poussent aussi à l’organisation et au développement d’un syndicat, même si l’adhésion n’est parfois qu’un feu de paille. « La grève est l’occasion du premier syndicat jamais crée » (Noiriel). En effet, partir de 1870, l’ensemble des pays occidentaux est confronté à un mouvement

luttes de classes », impliquant l’existence de groupes sociaux, c’est-à-dire d’ensembles d’individus possédant des caractéristiques communes et un sentiment d’appartenance, étant identifiés comme appartenant à ce groupe en conséquence de ces attributs partagés, et proposant alors une société structurée par l’existence de classes sociales (ici appelées en-soi, déterminées par ce sentiment d’appartenance). Max Weber, économiste et sociologue du XIXe et XXe siècle, définit quant à lui les classes sociales

et 19 éme : révolut° industrielle : Nvelle catégorie sociale les ouvriers (luttent condit° de travail) 1) Apparit° de classe ouvrière 1830-1890 Avant 1789 : 400 000 ouvriers 1870 : 3 millions Ouvriers qui travaillent ds de petites manufactures du textile Gds foyers industriels : Nord à St Etienne, Le Creuzot. 13 à 14h/ jrs de travail 7/7, mal logés. 2) Classe ouvrière urbaine 1889-1939 L’industrie se modernise →exode rural + immigrat° polonais, italien (besoin de main d’œuvre). Prolétaire

Les ouvrières au XIX°s Définir les termes du sujet : Ouvrière : femme qui loue ses services moyennant salaire pour un travail industriel ou agricole. Donc pas que l’industrie. Pluriel : renvoie à l’ensemble des ouvrières. Pas un destin individuel en particulier mais étudier ce groupe en tant que tel ; voir par exemple ses rapports avec d’autres groupes sociaux, son insertion dans la société… Voir aussi les nuances qui peuvent exister au sein de ce groupe : la question de la diversité XIX°s : délimiter

pièce est créé par la variété de sketches et monologues humoristiques qui démontrent la vie quotidienne de la classe ouvrière québécoise. L’humour dans la pièce est aussi grandement dû aux thèmes et aux vieilles expressions québécoises qui semblent être oubliés de nos jours. Les Fridolinades est un voyage dans le temps qui intègre les spectateurs dans les racines culturelles de la classe ouvrière québécoise. En premier lieu, globalement la pièce était très drôle dû aux multiples sketches et monologues

l’enseigne, comme la science des affaires importantes leur manque, elles 1 s’occuperont au dehors de futilités et de minuties ; et, comme elles sont dépourvues de jugement de raison, forcément, elles s’attacheront à ce qui est léger et vain»1. Les ouvrières : une armée de réserve Au XIXe siècle, l’industrialisation mobilise une main-d’œuvre abondante et le nombre toujours plus important de femmes qui vont travailler dans les entreprises, les ateliers, les charbonnages, les verreries,… va modifier la

recherche sur les liens sociaux) qui est un laboratoire étroitement lié à la formation du Master. Ses recherches portent sur les classes populaires et le monde du travail dans la société française contemporaine. Il enquête aujourd’hui sur les conducteurs de la RATP. De 1980 à 1985, il est alors enseignant dans le Nord-Pas-de-Calais, et choisit de vivre dans une cité ouvrière du bassin minier du Nord de la France pour faire une enquête ethnographique urbaine sur ce qu’il intitule Le monde privé des

manufactures royales avec leurs privilèges : c’est aussi la suppression du statut professionnel ainsi que l’interdiction formelle de constituer quelque association que ce soit, ouvrière ou patronale, permanente ou temporaire. Le droit individualiste de la Révolution Française s’oppose donc à l’action collective ouvrière, sous sa forme temporaire telle que la grève, ou durable telle l’action syndicale.. Le Livret Ouvrier Institué en 1803 et 1804, il est obligatoire et restera en vigueur

française ? Doc 3 P 21. Ce document est une affiche de la CGT datant du 1er mai 1912 qui met en valeur une des revendications ouvrière ( congés payant, augmentation des salaires.. ) : la journée de 8heures. Le taux de syndicalisation est faible car les ouvriers se divise entre réformistes, il s'agit de ceux qui veulent des lois pour améliorer les conditions ouvrière et les révolutionnaires ( anarchistes/communistes). Sur cette affiche on peut voir l'opposition entre une journée longue ( 10/12h)

toute société jusqu'à nos jours est l'histoire de luttes de classes. Homme libre et esclave, patricien et plébéien, baron et serf, maître de juran​de et compagnon, bref oppresseurs et opprimés, en opposition cons​tante, ont mené une lutte ininterrompue, tantôt ouverte, tantôt dissimulée, une lutte qui finissait toujours soit par une transformation révolutionnaire de la société tout entière, soit par la dispa​rition des deux classes en lutte. Dans les premières époques historiques, nous constatons