Les Classes Sociales à La Belle époque

théâtre. Il est à la fois réel et irréel : réel par ses liens avec le vêtement d'une époque, irréel parce qu'il est chargé d'une signification plus forte : il permet d'aider à la lecture de l'acte théâtral sans l'encombrer d'aucune valeur parasite. En premier lieu, le costume permet au public de différencier chaque personnage, mais aussi de le reconnaître. En effet, au cours d’une pièce, les comédiens ne changent pas de costumes ou très peu pour ne pas troubler le public. Ils réfèrent à une réalité

de la belle époque . De façon précise, elle se distingue par sa brièveté : deux décennies à partir de 1895 et le caractère limité de l’espace où elle s’applique : c’est-à-dire la France, ce qui conduit certains historiens comme Georges Dupeux à se poser la question d’un “privilège français” pour ces années-là. I- L’apparence de la prospérité économique A- Une certaine idée de la stabilité Le salaire moyen a connu une véritable hausse depuis le Second Empire (de 0,45 francs à 0,70

contrecarrer toute cette violence ? Victor Hugo a dit : « Ouvrez des écoles et vous fermerez des prisons. ». Selon lui, l’instruction est l’un des moyens qui aurait le plus de chance de limiter la violence. Effectivement, cet homme a vécu peu de temps après les philosophes du siècle des lumières et en a été inévitablement influencé. Il a hérité de la même pensée, pensée qui prône la raison au dessus de la passion. « Osez penser ! » était leur slogan. A cette époque l’enseignement n’était prodigué qu’aux enfants

commente ou à l’œuvre sur laquelle on disserte : · les exemples peuvent prendre la forme de reformulations, de citations, de repérages de procédés· on attend que les fondamentaux du vocabulaire littéraire soient connus · on attend que quelques exemples soient analysés de manière précise· Une phrase de conclusion et qui amorce le paragraphe suivant · Selon la nécessité, des connecteurs logiques adaptés au propos COMPETENCES MISES EN PRATIQUE :· Savoir élaborer et formuler un argument soumis à une thèse·

Masarykova univerzita Filosofická fakulta Ústav románských jazyků a literatur Bakalářská diplomová práce 2013 Jaroslav Stanovský Masarykova univerzita Filosofická fakulta Ústav románských jazyků a literatur Francouzský jazyk a literatura Jaroslav Stanovský « Prince Jhésus qui sur tous a maistrie... » : la poésie de François Villon et la mentalité du Moyen Âge Bakalářská diplomová práce Vedoucí práce: prof. PhDr

QU’EST-CE QU’UNE ŒUVRE D’ART ? Sujets : -L’art nous détourne-t-il du réel ? -Peut-on prouver qu’une œuvre d’art est belle ? -L’œuvre d’art peut-elle nous apprendre quelque chose ? -Suffit-il d’être doué pour être artiste ? -L’art peut-il se passer de la référence au beau ? INTRODUCTION/PROBLEMATISATION. Qu’est-ce qu’une œuvre d’art ? Comment la distinguer d’un objet technique, d’un produit industriel, d’un produit de l’artisanat ? Plusieurs critères sont avancés :

Le personnage est un individu qui a une place plus ou moins importante dans un récit. Dans un roman traditionnel, il est identifié comme une personne dont les traits se définissent au cours du récit et sous la plume de l’écrivain. Ca peut être un personnage fictif ou tire profit de ses expériences personnelles et se construit lui-même en fonction de ses connaissances et de son milieu on parle donc plus d’un individu. En effet, un personnage est essentiel au roman pour la fonction qu’il apporte et

vêtements et s'enfuit" (Gauvain, Le chevalier à la charrette, Chrétien de Troyes) Il est au moins deux sortes de mots dont nous connaissons mal le sens: ceux qui, inséparables du quotidien - comme costume - devraient cependant lui échapper par leur histoire ou par l'ampleur de leur contenu, et ceux qui viennent des disciplines spéculatives - comme symbole ou signifiant. [ tous les discours autour de nous, du Café du coin au conseil de classe ou à la télévision sont pollués de termes volés aux

Il s'agit d'un extrait d'un roman d'Emile Zola appartenant au cycle des Rougon-Macquart (1873), Le ventre de Paris. L'action se déroule au marché des Halles, à Paris, un matin, en 1858. Les personnages sont : la bonne de Madame Taboureau ("l'Auvergnate"), "la belle Normande", poissonnière de son état et sa mère, "la mère Méhudin". La bonne de Madame Taboureau est venue acheter une barbue pour le dîner du soir, sa patronne recevant "des cousins de Blois, un notaire avec sa dame". Problématique

ressentir malaise et indignation devant tant de méchanceté gratuite et de faiblesse. Et l’auteur parvient en même temps a témoigner d’une réalité sociale dans la campagne française de l’entre deux guerres : les oppositions de classes entre une famille noble qui n’est plus que l’ombre d’elle-même, une femme issue de la bourgeoisie qui rêvait d’un mariage synonyme d’ascension sociale et un couple de socialistes engagés. Les références du texte sont celles de l’édition Press-Pocket n° 1440. Ce roman