Les Conduites Collectives

La pauvreté conduit-elle à l’exclusion sociale ? En France de nombreux mouvements sociaux ont pour but de lutter contre l’exclusion et la pauvreté comme l’association Les enfants de Don Quichotte dont l’activité fut particulièrement médiatisée au cours de l’hiver 2006-2007. En effet, l’augmentation du chômage au cours des années 1980 ainsi que l’émergence d’une nouvelle pauvreté sont directement liées à la multiplication des phénomènes d’exclusion sociale que l’on peut définir comme le processus

encadrement dans le cadre du projet institutionnel répondant à une commande sociale éducative exprimée par différents donneurs d'ordre et financeurs, en fonction de leurs champs de compétences: intervention individuelle (administrative ou Judiciaire), collective ou territorialisée. Il intervient dans une démarche éthique qui contribue à créer les conditions pour que les enfants, adultes, familles et groupes avec lesquels il travaille aient les moyens d'être acteurs de leur développement et de renforcer

conscience de la faiblesse des consommateurs vis-à-vis des établissements de crédit ont conduit les juges, puis le législateur vers une meilleure protection des particuliers, au moment de la souscription d'un crédit. Il s'agissait au départ de prémunir les débiteurs contre des engagements inconséquents, voire complètement irréalistes. Néanmoins, cette tendance à la sur-responsabilisation des banques, semble avoir conduit à l'effet inverse : les banques Françaises, menacées de voir leur responsabilité

Mots pour Maux au Travail. Depuis, le harcèlement moral est devenu un thème d'actualité et on doit au livre de Marie France Hirigoyen d'avoir, à travers la description et la nomination de ce phénomène, déclenché une prise de parole publique et collective sur la souffrance au travail. Il ne s'agit pas selon nous d'un simple effet médiatique, mais plutôt d'un événement social que nous sentions poindre depuis un certain temps : on assiste à l'expression soudaine d'une souffrance qui était tue jusqu'à

modèle traditionnel de la négociation collective s’essouffle, l’Etat et les partenaires sociaux sont appelés à se moderniser. Problématique : Comment s’articulent la démocratie sociale et la démocratie politique ? Plan : Le rapport entre démocratie sociale et démocratie politique oscille entre complémentarité (I) et concurrence (II). [Pour information personnelle : cette dichotomie s’inspire de l’article de Mme M.-L. Morin, « La loi et la négociation collective, concurrence ou complémentarité ?

ou menace pour l’entreprise ?) LES RELATIONS COLLECTIVES AU TRAVAIL La négociation collective La représentation des salariés Les conflits collectifs L’adaptation du droit du travail aux spécificités du secteur d’activité à partir de quelques clauses d’une convention collective ou d’un accord d’entreprise. Les actions conduites par un syndicat représentatif, par exemple dans le cadre d’un conflit collectif : enjeux, forme et issue. La convention collective d’une entreprise connue. Le droit de grève

n'est donc pas une critique du travail mais de sa glorification c'est-à-dire de l'idée selon laquelle le travail serait une valeur supérieure, une dimension essentielle de l'homme par laquelle il parvient à produire son existence personnelle et collective. Le texte vise donc directement un certain type de discours qui sacralise le travail et qui considère qu'il est le moyen pour l'humanité de se dépasser, de se réaliser et d'advenir à elle-même. Nietzsche utilise volontairement un vocabulaire de

alors analyser les devoirs fondamentaux du citoyen : le devoir �lectoral, le devoir fiscal, le devoir de d�fense et le devoir de m�moire. Ces devoirs, qui ont conduit � une extension de l'intervention de l'Etat dans les diff�rentes sph�res de la vie sociale, suscitent des interrogations nouvelles sur les relations entre les contraintes collectives et les libert�s des individus. 1/ Devoir �lectoral�: Le devoir �lectoral est un fondement de la soci�t� d�mocratique r�sultant d'une conqu�te longue

identifier, il sera envisagé distinctement comme des valeursappartenant à la sphère privée et comme celles émanant de la sphère collective. Dans l’ensemble des documents il en découle une même idée : les valeurs des jeunes s’organisent autour de la sphèreprivée et relationnelle. H. Valade indique que les jeunes privilégient les valeurs de la sphère privée avant les valeurs collectives. Ils préfèrent ce qui est concret en rapport avec l’humain plutôt quedes enjeux théoriques, idéologiques lointains. Elle

p.11 1. Et pourtant, la confiance c'est vital « «Nous vivons une société de défiance, une crise des relations sociales minées par des mécanismes lourds de discrimination, d'individuation, d'exclusion et de mépris, une situation collective définitivement détériorée à laquelle il n'est plus possible d'apporter de remèdes. » » « (…) C'est dire combien cette confiance, son retour puis sa maintenance vont devenir de plus en plus essentiels pour que nos sociétés puissent envisager de poursuivre leur