Les Conséquences Du Risque De Liquidité Dans La Stratégie De L Entreprise

Gestion des risques: histoire, définition et critique Georges Dionne Janvier 2013 CIRRELT-2013-04 Bureaux de Montréal : Bureaux de Québec : Université de Montréal C.P. 6128, succ. Centre-ville Montréal (Québec) Canada H3C 3J7 Téléphone : 514 343-7575 Télécopie : 514 343-7121 Université Laval 2325, de la Terrasse, bureau 2642 Québec (Québec) Canada G1V 0A6 G1V 0A6 Téléphone : 418 656-2073 Télécopie : 418 656-2624 www.cirrelt.ca Gestion des risques: histoire, définition

confiance envers le système bancaire, entraînant un risque de banqueroute mondiale des banques. C’est dans ce contexte de crise financière majeure que les entreprises doivent évoluer aujourd’hui. Les entreprises en difficulté ont plus que jamais besoin de financements adaptés et les entreprises encore en bonne santé ont toujours besoin de financement leur permettant de se développer. Mais quels choix de financement s’offrent donc à toutes ces entreprises ? C’est à cette question que nous tenterons de

L’analyse financière 1 Institut d’Administration des Entreprises de Lille Master 2 Finance et Développement des Entreprises Relations avec les investisseurs – Hager JEMEL L’ANALYSE FINANCIERE THIBAULT BAILLOEUIL CAMILLE HASQUETTE MAMADOU-BADA BAH ARNETTE-CARELLE NOULA L’analyse financière 2 INTRODUCTION 3 I. Importance que revêt l’histoire de l’analyse financière 4 II. L’analyse financière (Utilité, documents produits, techniques d’analyse) 4 a) L’utilité b) Les documents produits

l’expérience enrichissante et pleine d’intérêt qu’ils m’ont fait vivre durant ces deux mois au sein de la Banque Marocaine pour le Commerce et l’Industrie, en l’occurrence : Monsieur BIAZ Thami, Directeur de la plate forme Direction du Réseau Entreprises et commerce international, pour son accueil et la confiance qu’il m’a accordée dès mon arrivée dans la banque ; Monsieur OUAKRIM My Said, Responsable du pôle engagement PME-PMI, mon encadrant professionnel qui n’a pas hésité à me prêter une oreille

accordent des crédits aux entreprises et aux ménages. Elles font partie, au même titre que les sociétés d'assurance et les organismes de placement collectif en Bourse, de ce que les économistes appellent les intermédiaires financiers. Ces derniers ont pour fonction de collecter l'épargne des agents économiques ayant une capacité de financement (la plupart des ménages et certaines entreprises) pour la distribuer aux agents ayant un besoin de financement (l'État, la plupart des entreprises et certains ménages)

prudentielle de gestion de risques et d’erreurs de gestion caractérisées par des décisions d’octroi de crédit basées sur des critères subjectifs tels que l’apparence familiale, politique ou religieuse. Cette phase de turbulences vit la fermeture de prêt de 50% des banques et une prise de conscience nette sur la nécessité de maitriser les risques bancaires. Diverses techniques de mesure de gestion de ces risques ont été élaborées au fil des années par les banques. Mais ces risques ont connu de nombreux

réglementation prudentielle internationale  L’accord de Bâle I : Le ratio Cooke Adopté en 1988 par le comité de Bâle, le ratio Cooke, définit le montant des fonds propres minimum que doit posséder une banque en fonction du risque pour se couvrir contre les risques de contrepartie. Dans sa version préliminaire, le calcul de cette norme se base sur un système de pondération. Le succès de ce ratio s’explique, en grande partie par sa simplicité méthodologique et sa mise en œuvre aisée, ce qui contribue

générale À la conséquence de plusieurs crises financières des grandes firmes, tels que Enron, Worldcom, Parlamat et Vivendi, qui ont déstabilisé le monde économique ces dernières années, la gouvernance d’entreprise s’est soulevée au premier plan des inquiétudes des dirigeants, actionnaires, académiciens, professionnels, gouvernements et organisations internationales. Ces différents scandales sont dus à une faiblesse et à une inefficacité des systèmes de contrôle des entreprises. Les défaillances

d'exercice de l'activité des établissements de crédit PARTIE II : Les risques bancaires et l'accord de Bâle C hapitre I : Inventaire des risques Section 1 : les risques traditionnels Section 2 : les risques de nature qualitative Section 3 : les risques opérationnels C hapitre II : Les principes de l'accord de Bâle I Section 1 : les grands traits de l'accord de Bâle I Section 2 : le processus de gestion des risques -3- Section 3 : règlementations et exigences prudentielles Section

et de régulation ont été relâchés. Dans un tel environnement, et dans le souci de faire face aux conséquences de l’éclatement de la bulle technologique (Crise d’Internet) et avec la mise en place d’une politique favorisant l‘accès à la propriété immobilière pour tous les américains ce qui a conduit à une distribution massive et agressive des prêts immobiliers. Il résulte de cette situation une liquidité abondante, une expansion des crédits et de la consommation tout en restant dans un univers non inflationniste