Les Contemplations Elle était Déchaussée Elle était Décoiffée

Séquence 3 : La poésie du XIXe siècle à nos jours Les Contemplations (1856)Texte 1 : « Elle était déchaussée, elle était décoiffée » :Introduction : Ce texte est extrait de la partie « Aurore »de la célèbre œuvre Les Contemplations du grand écrivain et politicien français, Victor Hugo, publié en 1856. Victor Hugo s’inspire des différents moments de sa vie qui l’ont affecté autant positivement que négativement et qui lui ont permis d’évoluer et de faire de lui

d’interrogation) ; * la présence d’adverbes d’intensité ; * l’emploi de figures de style (comparaisons, métaphores, …) ; * etc. Termes liés : l’élégie, le pathétique, le pathos (émouvoir les passions du lecteur). Victor Hugo (1802-1885), Les Contemplations (1856), Livre V, XXIV : En 1843, Victor Hugo perd sa fille Léopoldine, qui s’est noyée dans la Seine à Villequier. J’ai cueilli cette fleur pour toi sur la colline. Dans l’âpre escarpement qui sur le flot s’incline, Que l’aigle connaît seul

Commentaire 1ère Partie « Elle était déchaussée elle était décoiffée » Victor Hugo Plan détaillé Introduction : situer le poète dans son époque ; présenter le recueil puis la poésie. I- Le lyrisme 1) La femme et le poète : l’homme parle, la femme se regarde.« moi » « je » « elle » la femme n’est pas nommée ; le poète utilise les pronoms moi et je. 2) Les jeux de regards : ils sont déterminants pour la naissance des sentiments « elle me regarda pour la seconde fois »

Victor Hugo « Elle était déchaussée, elle était décoiffée… » Elle était déchaussée, elle était décoiffée, Assise, les pieds nus, parmi les joncs penchants ; Moi, qui passais par là, je crus voir une fée, Et je lui dis : Veux-tu t’en venir dans les champs ? Elle me regarda de ce regard suprême Qui reste à la beauté quand nous en triomphons, Et je lui dis : Veux-tu, c’est le mois où l’on aime, Veux-tu nous en aller sous les arbres profonds ? Elle essuya ses pieds à l’herbe de la rive

analytique Elle était déchaussée, elle était décoiffée... Victor Hugo Cette impression découle à la fois du personnage féminin, un peu mystérieux, du rôle actif joué par la Nature dans le scénario amoureux, de la mise en scène du "coup de foudre". C'est un des rares poèmes du recueil où la douleur n'est pas témoignée. biographie voir fiche Thèmes INFO : - L'invitation à l'amour - La nature - La sauvagerie, l'absence de société -Les Contemplations sont un recueil à caractère

Les poèmes de Les poèmes analysés sont : - À une passante de Charles Baudelaire. - Une allée du Luxembourg de Gérard de Nerva. - Elle était déchaussée, elle était décoiffée de Victor Hugo. - À la promenade de Paul Verlaine. - A la poursuite du cheval de René Depestre. - La Fille de Michelle Houellebecq. Les poèmes de cette anthologie ont tous pour thème la rencontre amoureuse. Parmi eux certains expriment une rencontre vécue et d'autres une rencontre attendue, utopiquement imaginée. La

nous retrouvons Les Contemplations , publié en 1856, un recueil de poèmes divisé en deux tomes de trois livres chacun, dans lequel l'auteur mêle sa vie mouvementée à de nombreux thèmes universels tels que les souffrances, l'amour, les passions et la mort. Tout au long du premier livre, "Aurore", Victor Hugo fait l'éloge d'une jeunesse retrouvée à travers ses souvenirs, notamment dans le poème écrit en 1853 intitulé "Elle était déchaussée"  soumis à notre étude. Dans celui-ci

Hugo : « Elle était déchaussée, elle était décoiffée… » Intro : V. Hugo appartient au XIXème siècle et au romantisme. Le recueil poétique Les Contemplations se divise en deux parties : « Autrefois » et « Aujourd'hui ». La mort de Léopoldine, fille de V. Hugo, trace la frontière entre ces deux mondes. Dans la première partie, « Autrefois », les poèmes chantent la joie de vivre. Ce poème de style très romantique décrit le bonheur de la rencontre amoureuse. Ier axe : L'invitation lyrique à l'amour

Elle était déchaussée, elle était décoiffée... Hugo Situation - Ecrit en 1853 - Fait parti du recueil " Les contemplations ", marqué par le deuil de sa fille et son exil. - C'est un des rares poèmes du recueil où la douleur n'est pas témoignée. Texte Elle était déchaussée, elle était décoiffée, Assise, les pieds nus, parmi les joncs penchants ; Moi qui passais par là, je crus voir une fée, Et je lui dis: Veux-tu t'en venir dans les champs ? Elle me regarda de ce regard suprême Qui

Elle était déchaussée, elle était décoiffée... Elle était déchaussée, elle était décoiffée, Assise, les pieds nus, parmi les joncs penchants ; Moi qui passais par là, je crus voir une fée, Et je lui dis : Veux-tu t'en venir dans les champs ? Elle me regarda de ce regard suprême Qui reste à la beauté quand nous en triomphons, Et je lui dis : Veux-tu, c'est le mois où l'on aime, Veux-tu nous en aller sous les arbres profonds ? Elle essuya ses pieds à l'herbe de la rive ; Elle me regarda