Les Contes Cruels

l'auteur cherche à montrer que le mal reste humain et que le pire des criminels est bien un homme. Les auteurs s'interrogent donc, dans les deux cas, sur la part d'ombre de l'humanité en essayant de comprendre ce qui pousse les hommes à ces actes cruels. D'autre part, les écrivains peuvent vouloir remettre en cause et dénoncer la cruauté et la monstruosité de l'homme. Le but peut être de corriger l'homme et le ''purger'' de ses émotions violentes, c'est à dire provoquer la catharsis. On retrouve

cherche à distraire, à amuser, à faire rêver (ex. les contes) • Enseigner : la narration a une fonction didactique (ex. les fables de La Fontaine) A ce moment, l’heure sonna, dehors, à l’église, dans le vent nocturne. - Qui est là ? demandai-je à voix basse. La lueur s’éteignit : j’allais m’approcher… Mais la porte s’ouvrit largement, lentement, silencieusement. (Villiers de l’Isle-Adam, Contes cruels, « L’Intersigne ») [pic] [pic] [pic]

points) Sujet 1 : Vous ferez le commentaire littéraire du récit « Aventure indienne » depuis « Il avança avec la foule jusqu'à la place publique » jusqu'à la fin « Sauve qui peut ! ». Sujet 2 : Dissertation Par quels moyens les fictions littéraires (contes, apologues, fables) peuvent-elles se révéler puissantes et efficaces pour défendre une cause ? Vous répondrez à cette question en un développement composé, structuré, en vous appuyant sur les textes de ce corpus, mais aussi sur les œuvres que vous

personnage cruel. Il est là pour faire peur et terroriser ses futures proies. En effet, il se régale des enfants égarés, des grands-mères, mais aussi des animaux plus faibles que lui. Nous pouvons donc dire que la première idée qui nous vient à l’esprit sur le loup est qu’il est méchant et qu’il fait peur. Depuis des siècles, ce mythe voyage à travers les écrits. Le loup dans des extraits De la Fontaine. Dans les fables de La Fontaine, le loup est toujours un personnage ignoble, cruel, menteur

abrégée Ecole des Loisirs)*** Maupassant, Bel ami ** F.Mauriac, Le Sagouin *, Thérèse Desqueyroux * ; Le Noeud de vipères ** G.Sand, La petite Fadette *; La Mare au diable* H.Troyat, Aliocha * J.Vallès, L'Enfant ** Villiers de l'Isle-Adam, Contes cruels ** E.Zola, Au bonheur des dames **; Nana **; L'Assommoir ** ; Germinal.*** Récits d' aventure : Cendrars, L'Or ** J.Giono, Le Hussard sur le toit *** ; Regain* ; L'Homme qui plantait des arbres * Enquêtes policières : H.Balzac, Une ténébreuse affaire

auxquels il peut parfois se mêler. a Le merveilleux Dans le récit merveilleux, le surnaturel est accepté comme quelque chose de « normal », il fait partie du cadre de référence de l’histoire et ne trouble pas particulièrement les personnages. Les contes de fées ou les romans de fantasy relèvent du merveilleux. a La science-fiction Dans la science-fiction, l’histoire se déroule dans le futur ou dans un autre monde. Il n’y a pas de surnaturel à proprement parler, puisque les éléments qui semblent

apostrophes au vers 1 montre que l’auteur s’adresse à la France comme à une personne. Les répétitions au vers 7 amplifient le caractère pressant de l’appel. De plus le rythme des alexandrins est régulier (3+3+3+3). Enfin, les mots « France » et « ô cruelle » sont détachés rythmiquement ce qui montre aussi que l’auteur fait un appel. b. Une allégorie de la culture et de la civilisation Une allégorie est une personnification d’une abstraction. L’auteur met la France au sommet de la culture (vers

Physique Psychologie Mode de vie Fonctions Divertissement Faire peur Pas d’autres ?? INTRODUCTION A travers ce dossier, nous allons présenter l'évolution des ogres dans les contes et dans quelques films, en retraçant leur histoire depuis l'Antiquité jusqu'à nos jours. Nous commencerons par étudier leurs différentes origines, puis leurs évolutions et enfin voir les fonctions et les influences qu'ils exercent sur les hommes.

de l’eau, « estuaire » et ajouter celui nouveau de « sel ». C’est comme dans un conte où l’extraordinaire joue un rôle important : la particularité du cadre : « un jour de terre gonflée de sel et d’estuaires couleur de sang ». C’est comme dans les contes de fées. Le cadre est angoissant, inquiétant et cela est d’autant plus bizarre et surprenant que c’est bien la narratrice, étant le personnage principal de ce récit, qui en parle. Le terme « mon histoire » peut aussi porter le sens d’affabulation

ferez jamais d’autres, deux monstres que vous êtes. Mais vous serez punies. Défense de jouer et au pain sec! Jugeant la punition trop douce, les parents s’accordèrent un temps de réflexion et reprirent, en regardant les petites avec des sourires cruels: - Non, pas de pain sec. Mais demain, s’il ne pleut pas... demain... ha! ha! ha! demain, vous irez voir la tante Mélina! Delphine et Marinette étaient devenues très pâles et joignaient les mains avec des yeux suppliants. - Pas de prière qui tienne