Les Contes Reflet Société

symbolique qui se rapporte a un évènement ou un homme que l’on tend a sacraliser. Il reflète des structures invariantes et universelles de la personnalité et des sociétés humaines. Le mythe exprime des modèles de conduites ( ex : la légende de Francis Bouygues, parti de rien pour fonder son empire, offre un véritable modèle de conduite à tous les salariés) L’occident a généré de nouveaux mythes dans notre société moderne, fondés sur la croyance au progrès et l’aspiration au bonheur 1- L’entreprise

plaisant ». Pour les contemporains de La Fontaine, les deux genres participent également de la « feinte » — la fable par statut, le conte par prédilection — et leur finalité avouée est celle de « plaire », de « divertir ». Bien sûr, il existe aussi des contes « sérieux », c’est le cas des « histoires tragiques » mises à la mode par Bandello et par son émule Rosset, mais Furetière fait la part belle dans sa définition à la tradition de la « burla », représentée par les exemples de Noël du Fail, de Bonaventure

Otto Rank – Don Juan et Le Double (1932) 3 Table des Matières Avant-propos Le Double 1 2 3 4 5 6 7 Le Problème du Moi Le thème du Double dans la littérature Le dédoublement de la Personnalité L’ombre, représentation de l’âme Le reflet, symbole du narcissisme La conception dualiste de l’âme et le culte des Jumeaux La croyance à l’immortalité de l’âme Don Juan 1 2 3 4 5 6 7 8 9 Le développement du personnage de Don Juan dans la littérature La division de la personnalité en maître

Les auteurs du XVII sont appelés des philosophes. ( philo = aimer, & sophe = sagesse ) ils vont éclairer l'ignorance de leur siècle gràce aux lumières de la raison. Critiquer les institutions : la société ( mal hiérarchisée, ceux qui la commande ne le mérite pas, & c'est une société inégalitaire) La monarchie ( ils reprochent qu'elle soit absolue : un seul homme qui tient tous les pouvoirs, de droit divin, tyrannique...) la religion ( omni présente, autoritaire, injuste, mensongère

rural. Les paysans vivent pour la plupart de manières très difficiles sur des exploitations qui ne sont souvent pas la leur : ce sont des métayers à qui les terres appartiennent aux bourgeois. C’est cette atmosphère que Maupassant décrit dans ses contes et nouvelles souvent situés en Normandie. Les bourgeois : plus particulièrement la haute bourgeoisie, cette catégorie qui est l’élite possède tout les pouvoirs et est bénéficiaire de l’industrialisation. C’est ces personnages qui sont fortement

synthèse de tout ce qu’il appréciait, il a crée des personnages qui reflètent ce qu’il ressentait et ce qu’il admirait comme style. « ... mon truc à moi ce sont les monstres. Déjà, môme, je les aimais. Je me sentais proche d'eux : en marge de la société et incompris, comme eux. De plus, j'ai toujours eu un faible pour les outsiders, ceux que l'on pense méchants alors que, en fait, ils ne le sont pas. Ce sont des personnages attachants, très intéressants à explorer. » Ses personnages:

de journaliste et d’écrivain. Il collabore à différents journaux à partir de 1878, et publie en 1880, année de la mort de Flaubert, Boule de suif, qui connaît immédiatement le succès. Il devient un écrivain riche et célèbre, et fréquente la haute société, qu’il dépeindra sans complaisance dans Bel-Ami (1885). Son œuvre est marquée par l’ambivalence : elle est empreinte de gaieté pittoresque et de triste cruauté, de descriptions réalistes et d’histoires fantastiques. Il a toujours refusé d’appartenir

littérature est souvent le reflet de la réalité et de là, elle est empreinte des caractéristiques de la société qui l’a vue naitre. Le texte littéraire est, de ce fait ; porteur de la vision qu’a un écrivain sur sa société. Cette dernière révèle à chaque fois une culture donnée, un mode de vie. Cette « présence » de la société et de sa culture dans un texte littéraire est appelée « modèle culturel ».Un modèle culturel regroupe toutes les références culturelles relatives à une société. En d’autres termes

Dissertation. Sujet : Un bon personnage de roman est-il un reflet de la réalité ou une construction imaginaire très élaborée ? "Qu'un auteur utilise un personnage de roman pour traduire ses idées et conceptions de la société, rien de plus normal de naturel même. Cependant, ce n'est pas une nécessité car pour construire son personnage et lui donner vie, le romancier peut puiser à bien d'autres sources d'où l'extrême diversité de ce genre littéraire." André MAUROIS (écrivain critique du XX

Balthazar (1980) Gilles et Jeanne (1983) La Goutte d'Or (1985) La Couleuvrine (1994) Eléazar ou la Source et le Buisson (1996) Contes et nouvelles Le Coq de bruyère (nouvelles) (1978) La Fugue du Petit Poucet (1979) Pierrot ou les secrets de la nuit (1979) Barbedor (1980) Le Médianoche amoureux (1989) Sept contes (1998) Essais Le Vent Paraclet (1978) Le Vol du vampire (1981) Vues de dos (1981). Photographies Édouard Boubat Des clefs et