Les Corons

par l’aisance financière. Il appartient à des familles commerçantes très attachées au libéralisme et avec leur argent, investissent dans l’industrie : on parle de bourgeoisie d’affaire. Ainsi la famille Schneider, avec ses usines au Creusot crée les corons (quartiers ouvriers). Au cours des années 30, 200 familles sont reconnues comme actionnaires de la Banque de France et accusées de détenir toute la richesse du pays qu’ils ne font fructifier qu’a leur seul profit grâce à leurs influences politiques

d'apitoyer les Grégoire sur son sort : l'épicier Maigrat qui est un ancien de la compagnie, lui refuse tout crédit. Elle y retourne tout de même et apprend que le commerçant veut que Catherine vienne chercher elle-même ses provisions. Parallèlement ,au coron, les commérages évoquent les mœurs et les liaisons des voisins. Mme Hennebeau, femme du directeur de la mine, qu'elle trompe avec Négrel, fait visiter le logement des Maheu à des Parisiens. Le soir, les mineurs rentrant chez eux pour manger la soupe

refuse. La Maheude tente éperdument d'apitoyer la famille Grégoire, car elle ne peut avoir les marchandises de l'épicier qui refuse tous crédit. Elle retourne chez Maigrat, qui exige que Catherine vienne chercher elle-même les provisions. Au coron, les commérages évoquent les mœurs et les liaisons des voisins. Mme.Hennebeau, femme du directeur de la mine, qui trompe son marie avec Négrel, fait visiter le logement des Maheu à des Parisiens. Les mineurs commencent à rentrer de la mine. Il

sexuels (adultère et inceste). C'est pourquoi on verra, dans la période suivante, se développer un urbanisme ouvrier dont la finalité sera d'améliorer ce fameux « état physique et moral » en mettant en place le « désentassement » (maisons individuelles, corons des pays miniers, chambres séparant les parents des enfants, jardins censés lutter contre l'entassement du cabaret à la fois malsain et politiquement dangereux). B – L'hygiène individuelle Le monde ouvrier est une partie importante de ce capital

désormais à l'union des travailleurs du monde entier. Etienne se met à lire, sans méthode, des journaux engagés, diverses brochures ou traités d'économie politique, et même un livre de médecine. Il endoctrine les Maheu et révolutionne peu à peu le coron : tous l'écoutent, espérant dans leur vie " une trouée de lumière". Il prophétise une société future idéale, de nature communiste, reposant sur l'abolition de la propriété privée des moyens de production : "Etienne chevauchait sa question favorite

XIXe siècle Pour son roman, Émile Zola compila une importante documentation qui confère à l’œuvre une valeur documentaire. Le film en profite et renforce son authenticité grâce aux importants moyens dégagés pour la reconstitution. Les costumes, les corons, la mine… sont autant d’éléments qui plantent un décor sans doute très proche des conditions réelles. Hormis ce contexte matériel, le quotidien des ouvriers trouve également ses sources dans le roman et dans l’histoire. Ainsi, Germinal dresse un portrait

1885. Ce dernier est le 13 ème volume de la série Les Rougon-Macquart, qui est l’histoire sur plusieurs générations de familles aux origines modestes. C’est œuvre relate une grève provoqué par la baisse des salaires et des conditions de vie dans les corons menée par Etienne Lantier,( embauché en tant que herscheur à la mine de Montsou) et qui repose sur la lutte ouvrière et la division entre les marxistes et les anarchistes. A travers ses description détaillées, Zola nous montre les conditions de vie

racines traçantes font gonfler une plante. Au choc émotionnel succède la prise de conscience. Même la plus grande désillusion peut nous amener à construire des barrages...Les images du monde clos et étouffant de la mine, du bétail parqué dans les corons, des esclaves condamnés au bagne, à l'abattoir ne doivent pas être interprétées comme un échec. Germinal est un roman pessimiste, comme tous les romans du feuilleton des Rougon-Macquart. Pas un seul roman n'échappe à la règle. Tous se terminent mal

désormais à l'union des travailleurs du monde entier. Etienne se met à lire, sans méthode, des journaux engagés, diverses brochures ou traités d'économie politique, et même un livre de médecine. Il endoctrine les Maheu et révolutionne peu à peu le coron : tous l'écoutent, espérant dans leur vie " une trouée de lumière". Il prophétise une société future idéale, de nature communiste, reposant sur l'abolition de la propriété privée des moyens de production : "Etienne chevauchait sa question favorite

nous trouvons d’après l’historien anglais Andrew Prescott « free-stone mason », maçon de pierre franche, c’est à dire l’ouvrier tailleur de pierre à ne pas confondre avec le poseur de pierre ou ligier. Ce mot se trouve dès 1325 dans les archives des Coroners de Londres, il deviendra par abréviation « free mason » franc-maçon. Si pour le carré long les explications sont relativement simples, pour les pierres les choses sont beaucoup plus compliquées. En effet tous les SS ∴ et les FF∴ connaissent la pierre