Les Corons

Louis est un jeune homme qui passe sa vie entre les corons, le Café des Amis et le quartier des mineurs de charbon. Un soir, Abraham, le père de Louis, lui annonce qu’il est Juif. Ne sachant ce que cela veut dire, Louis se rendit au Café des Amis, pour y travailler chaque jour comme d’habitude. Mais, étant curieux, Louis demanda à un joueur, Biélot, ce qu’était un Juif. A partir de là, les ennuis commencèrent. Abraham et Hannah voulaient que Louis s’enfuit s’ils étaient arrêtés par les Nazis. Alors

 corons qui sont tous identiques quel que soit le nombre d'enfants qu'elles contiennent. Chaque coron est composé de trois pièces. Ce qui entraîne entassement et promiscuité avec le quotidien des voisins. La misère du logement s'amplifie à mesure que la grève continue puisque les Maheu sont obligés de vendre le peu d'objet qu'ils possèdent afin d'acheter de la nourriture. Au début du roman, avant le début de la grève, les mineurs ont déjà du mal à "joindre les deux bouts", ils ont du mal

Germinal d’Emile Zola Résumé : Première partie : Le roman commence par l’arrivée d’Etienne à la fosse du Voreux où il rencontre Bonnemort. L’histoire va commencer à s’intéresser à la famille Maheu qui vit dans une petite maison du coron. Cette famille est composée des deux parents (Maheu et Maheude) et des sept enfants. Etienne trouve un travail comme haveur et il est intégré dans l’équipe de Maheu et de Chaval. Il se lie d’amitié avec Catherine et rend jaloux Chaval car ils s’entendent bien

mécontentement des mineures s’accroit et la révolte d’Etienne commence à gagner Maheu. Etienne met en place un fond de secours. Etienne se documente auprès de Pluchart sur la politique et rêve de révolution pacifique. Son influence s’étend à tout le coron. La colère des mineurs s’accroît encore quand la compagnie annonce un nouveau mode de payement qui est une baisse de salaire déguisée. Etienne est décidé à agir et convainc les mineurs de faire la grève. Etienne est au sommet de sa popularité et tout

anciennes où il n'y avait ni eau chaude ni chauffage ou encore de tout à l'égout. Il existait différentes sortes de maisons. Au fil du temps, les cités pavillonnaire, cité jardin, baraquement, cité moderne et ceux que l'on peut encore apercevoir: les corons. Corons( photo pris sur internet) | On commencé à travailler à l'age de 8 ans jusque 14 ans. les filles et les garçons faisaient le triallage puis les garçons commencaient à descendre dans la mine et les filles s'occupaient de nettoyer les lampes

peut-être le plus célèbre. L'action se déroule dans le bassin houiller du nord de la France, lors d'une grève provoquée par la réduction des salaires. Outre tous les aspects techniques de l'extraction minière ainsi que les conditions de vie dans les corons, Zola nous y montre les débuts de l'organisation politique et syndicale de la classe ouvrière, mais aussi ses divisions entre marxistes et anarchistes. Le roman prémonitoire a précédé de vingt ans la catastrophe de Courrières, lors de laquelle 1099

négatives à l’égard des patrons : personnifications et hypallages de « la Compagnie » qui « mange » la famille Maheu et de « la Régie » dont les « ventres […] suaient l’argent », mais aussi à l’égard de ses collègues parqués « ainsi que du bétail dans les corons ». Les premières expriment une rage au premier degré, le but est de dévaloriser le patronat. Les secondes, cependant, sont à prendre au troisième degré : ce n’est pas la pensée d’Étienne, mais il ne cherche pas non plus à dire l’inverse – c’est la

d’espoir ou fécondité dernier sursaut avant la dégénérescence ? Dans Germinal, comment cela se manifeste-t-il ? La promiscuité, dans les mines, autant que dans les corons « animalise » l’homme. Elle lui interdit tout contrôle de ses pulsions. C’est pourquoi il y a autant d'accouplements dans Germinal. En effet, on observe que les corons reproduisent schématiquement la mine. Il y aurait donc comme un déterminisme de la promiscuité. Et dans l'état d'aliénation où se trouve le mineur, s'il est vrai qu'il

quotidienne des mineurs. • Il s’agit d’une photo provenant du site : http://www.communes.com/nord-pas-de-calais/nord/denain_59220/cartes-postales-anciennes,2.html • Les patrons charbonniers firent construire des cités ouvrières appelé « des corons », ce sont des logements aligner et semblables, avec peu de pièces, assez petites, sans aucun confort et des conditions sanitaires déplorables. C’est maisons près des mines permettait aux propriétaires des mines d’avoir une main d’œuvre plus fidèle

de Zola, nourrie par une documentation livresque abondante, mais aussi par la documentation rassemblée sur le tas lors de son voyage à Anzin en 1884. Le monde des mineurs, leur environnement, leur mode de vie sont donc un matériau pris sur le vif. Corons, cabarets, fosses, tout a été vu, mis en fiches, retranscrit et retravaillé dans l'espace fictionnel. Là s'inscrit l'ambition scientifique du romancier, l'expérimentation d'une réalité par l'écriture. Zola a su rendre ce pays minier, continent noir