Les Courants Cinématographiques

création À l'Ouest, rien de nouveau (All Quiet on the Western Front) est un film américain réalisé par Lewis Milestone, sorti le 21 avril 1930, d'après le roman d'Erich Maria Remarque (titre original, Im Westen nichts neues).Style, mouvement ou courant : film réaliste, en noir et blanc. Contexte historique du film : L'action se déroule en Allemagne. Le réalisateur nous montre l’horreur de la Grande Guerre ( 1914-1918), les conditions de vie des soldats sur le front.(guerre de position) Eléments

quotidien, urbain et industriel : palissades, barils, objets en plastique, détritus, voitures ou sigles de la circulation... Compressions de César, accumulations d’Arman, décollage et lacération d’affiches de Hains et Villeglé, assemblages d’objets courants en plastique de Raysse, tableaux-pièges de Spoerri, sculptures auto-destructives de Tinguely, Tirs de Niki de Saint Phalle… recèlent une véritable radicalité aujourd’hui oubliée. Le Nouveau Réalisme a été fondé en octobre 1960 par une déclaration

des consommateurs a) L’évolution des installations cinématographiques pour le 3D puis l’évolution du cinéma maison (d’après les annexes 1 et 5) En janvier 2010, on comptabilise un total de 798 écrans livrables en dématérialisé ce qui a fait de la France le premier pays au monde sur le secteur du réseau dématérialisé. Pour l’évolution du cinéma maison en 3D, le processeur Sensiomd 3D propulse à des années-lumière du cinéma maison courant car il permet d’utiliser un projecteur actuel pour visionner

arts du spectacle vivant, arts du visuel) b) Contexte historique : - Quels évènements importants, quels faits historiques, quels changements dans la société, quels systèmes politiques ont pu inspirer ou motiver l’artiste ? - Quels courants artistiques, quels styles, quelles personnes ont pu marquer l’artiste et influencer son parcours ? - Des évènements de sa vie privée ont-ils été déterminants ? - Comment l’œuvre a-t-elle été accueillie à sa sortie ? DESCRIPTION 1/

Intelligence a souligné l’émergence d’un courant baptisé « la trash attitude », consistant en l’utilisation des messages et/ou visuels morbides, violents et/ou cyniques. Le sanguinolent serait tendance, de même que la référence à la mort (mort-vivants, couronnes mortuaires, etc.), à la maladie et, plus largement, les imaginaires propres aux films d’horreur. Cette tendance se développe probablement en résonance avec une certaine culture cinématographique et télévisée qu’affectionnent tout particulièrement

années 50 aux débuts des années 80, les productions inspirées par ce mythe se multiplient : Carmen fille d’amour de Scotese, Carmen Jones d’Otto Preminger, Carmen de Granada de Micheli, Carmen 63 de Gallone avec Lino Ventura… Un nouveau tournant cinématographique est pris en 1983 avec La tragédie de Carmen de Peter Brook, le Prénom Carmen de Jean-Luc Godard et la magnifique version dansée du Carmen de Carlos Saura. Enfin, 1984 voit la consécration musicale de l’adaptation de l’opéra de Bizet dans le Carmen

CYBERPUNK D’abord perçu comme n’étant qu’un dérivé de la science fiction, dont le but était d’imaginer l’avenir de la société d’information, le cyberpunk devint peu à peu un courant littéraire autonome en raison de son actualité. Ce mouvement fut popularisé dès le début des années 1980 grâce à des courants littéraires et cinématographiques décrivant un monde lugubre, souvent post-apocalyptique, où la société est contrôlée, via une technologie futuriste, par une multinationale totalitaire. On y décrit souvent

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cinéphiles, pose dans les différentes œuvres de notre corpus, la question cruciale du rapport entre le factuel et le fictif ou, mieux, entre le vécu et le rêve. Ces personnages ne parvenant pas à établir la ligne de démarcation qui sépare le fait cinématographique de leurs illusions, le récit suggèrera une confusion entre le cinéma et la « réalité ». D’où une perte de repères et les dérives qui les conduisent à des troubles de personnalité et à des comportements criminels. i Abstract In this

« vertu ». Mais le virtuel s’oppose t-il seulement à l’actuel ? Et qu’en est-il de l’image ? Une image, du latin imago, désigne la représentation (notamment visuelle) d'un objet par différents moyens ou supports. L’association, maintenant d’usage courant, (2) du virtuel à l’image dans le terme « image virtuelle », est beaucoup plus récente puisqu’elle date de 1858. En effet, c’est à la fin du 18ième siècle que le terme virtuel sera repris dans le vocabulaire scientifique et, avant la création d’images