Les Courants Cinématographiques

au-delà de la consommation de biens uniformes, la mondialisation entraîne aussi une certaine uniformisation de la culture avec l'émergence de valeurs et de normes uniformes. Les influences culturelles concernent aussi bien les pratiques de la vie courante. On parle même de phénomène d’acculturation. C’est lorsque des cultures différentes entrent en contact les unes avec les autres, il peut en résulter plusieurs conséquences : le rejet pur et simple, la réinterprétation par la culture d’accueil ou

peut penser à l’œuvre cinématographique de Stanley Kubrick avec notamment Orange mécanique qui a fait connaître le roman de l’écrivain anglais Anthony Burgess, un conte philosophique et satirique de politique-fiction dont le ton est proche du Candide de Voltaire, et qui est traversé de références à Swift ; ou bien encore à Barry Lyndon, récit de la déchéance d’un « hors-la-loi » social, méprisant, amoral et arriviste d’après le roman de William Thackeray. Enfin certains courants littéraires ont affirmé

(1830-1904) se sert d’instantanés photographiques pour décomposer le mouvement des êtres vivants. En dissociant, en figeant, en analysant les poses successives de ses modèles, il peut capturer le détail des activités sportives ou des gestes de la vie courante. Par le biais de ces séquences rapprochées, il obtient avec précision les images de ce qu’on ne peut percevoir à l’œil nu. En arrêtant le temps et le mouvement, il réussit à voir l’invisible. Analyse des images Dans Animal Locomotion (1872-1885)

Le 5 août 1962, elle est retrouvée morte d’une surdose de barbituriques, à seulement 36 ans. Andy Warhol décide de réaliser un portrait, il choisit une photo en noir et blanc, de la promotion du film Niagara de 1953.  Style, mouvement ou courant : Chef de file du Pop art, Andy Warhol est en 1962 un artiste déjà reconnu. Les thèmes récurrents de l’œuvre de Warhol sont le succès, la consommation et la mort. Le pop art est un mouvement artistique qui apparait dans les années 1950-1960.

Guy de Maupassant : le thème de la folie et celui du désir. L’histoire démontre bien comment la délusion et l’obsession font partie de la vie courante de la folie. Aussi, il a été possible de montrer que le désir crée des tensions et des joies lorsqu’il est comblé. Le concept de la nécrophilie a été utilisé quelques fois dans des œuvres cinématographiques. Il y en est question dans le film « kissed », sorti en 1996. Par contre, dans ce film la nécrophilie d’une femme passe à un tout autre niveau

disque pour le son, seul. Plus de dix procédés différents sont proposés par des firmes américaines, japonaises, européennes, dont on peut prévoir que quelquesuns seulement subisteront à terme. Certains ont déjà été mis en marché, ou le seront dans le courant de 1971 (E.V.R. de C.B. S., Colorvision de Normende, Cartrivision d'Avco, Videoscope de Sony, V.C.R. de Philips). D'autres devraient apparaître en 1972 ou 1973 (Selectavision de R.C.A., Teldec de TelefunkenDecca). Avant 1975, en tout cas, ces systèmes

termes) Pourtant être maître de quelque chose c’est en effet disposer d’un pouvoir total sur cette chose, c’est pouvoir en user selon son bon vouloir jusqu’à la détruire ou l’aliéner. C’est avoir des droits sur elle. Ce qu’on entend dans le langage courant par maîtrise de soi-même évoque plutôt l’équilibre et la modération, la fuite des excès. Ce qu’il y a de commun dans les deux sens c’est qu’on ne maîtrise bien que ce que l’on connaît et il faut donc supposer pour se maîtriser, quelque soit le

le point de vue ou la perspective selon laquelle les événements qui composent l’histoire sont perçus et rapportés par le narrateur • FOCALISATION ZERO (ou : point de vue de Dieu, vision par en-dessus) Le narrateur est omniscient, il est au courant de tout ; il en sait plus que les personnages, les connaît du dedans et du dehors ; il connaît leur passé comme leur avenir ; leur vie intérieure est souvent connue grâce au monologue intérieur, très souvent au style indirect libre (qui rejoint dès

rôle de la bande sonore sont très différents d’un film à l’autre. Jean Renoir est l’un des premiers réalisateurs français du cinéma parlant. L’avènement du son a totalement modifié l’esthétique du cinéma et aux origines du parlant, les courants cinématographiques réservent une place nouvelle à la musique. Pour La Bête Humaine, Renoir demande au compositeur français d’origine hongroise, Joseph Kosma de réaliser la bande musicale du film. Le réalisateur a une visée bien précise pour la musique de

d’une conférence pour l’inauguration de la Cinémathèque du Museum of Modern Art de Princeton et publié par la même occasion sous le titre « On Movies » en 1936 , il a été, par la suite, repris, remanié, augmenté et enrichi par plusieurs revues cinématographiques mais toujours dans sa langue originale. Le titre a d’ailleurs changé presqu’autant de fois, faisant passer peu à peu le statut de l’article de « ouvert à tout public » à « lecteur averti ». Le texte aura finalement traversé presque quarante