Les Crises de l'âme

rôle des paysans après la seconde guerre mondiale où ils ont réussi à nourrir la population française et celles d'ailleurs grâce à l'exportation. Dans la seconde partie du 20e siècle, on passe dans la surabondance. Puis, commence les différentes crises : la vache folle, les OGM, la listériose, l'alimentation polluée des poulets. Les gens se rendent compte que l'homme s'est pris pour un inventeur fou en jouant avec les règles de la nature et créant des horreurs comme les vaches cannibales, qui

les grecs de l’antiquité, tant que les péchés d’une âme n’ont pas été racheté, l’esprit peut revenir sur terre et affliger ses descendants jusqu’à ce que l’âme coupable soit délivrée grâce à des messes et des bonnes œuvres. L’âme s’attache au lieu de ses forfaits et y apparait à ceux qui l’habitent. Depuis toujours la croyance est telle que l’âme assassinées une sans repos jusqu’au jour où le meurtrier est punis et la victime a obtenue des funérailles honorables. Au XVIIème siècle, les fantômes sont

constellé », « Soleil noir » ; à travers le monde : « Prince d'Aquitaine », « Pausilippe », « mer d'Italie » ; et dans les légendes de l'Antiquité et des Dieux : « Amour », « Phébus », « Lusignan », « Orphée ». Il évoque à la fin de son poème, ses crises de folie : « Et j'ai deux fois vainqueur traversé l'Achéron » ce qui montre l'étendu de son mal. Il a tendance à projeter ses lecteurs loin de là où ils sont et de les faire rêvés comme par exemple dans Fantaisie. Il nous porte au château de Louis

par les guerres : le traité de Paris, le 10 mai 1763, met fin à la Guerre de Sept Ans entre l'Angleterre (alliée la Prusse) et la France (alliée à l'Autriche, la Russie, la Suède et la Pologne). Ce traité consacre l'échec de la France. En raison des crises économiques, le pouvoir absolu du roi est de plus en plus contesté : ex. la tentative d'assassinat du roi par Damien, en 1757. Avant la fin du siècle, l'esprit révolutionnaire est de plus en plus manifeste : ex. Le Mariage de Figaro de Beaumarchais

l’insatiabilité politique des deux hommes va bouleverser l’âme de la cité. D’une certaine manière, la vie des champs permet d’écarter ce qui trouble l’âme. Pour Virgile il y a une crise de l’ensemble des citoyens qui sont victimes collectivement d’âme. Pour Virgile il y a une crise de l’ensemble des citoyens qui sont victimes collectivement d’une perte de raison. L6 « on ne provoque pas l’ennemi à regret, mais on le combat à grands cris ». Il y a une forme de fanatisme et de déraison. Cette déraison

déchiffrer Homère, ces gens-là ! Ces diacres ! ces bedeaux dont le groin renifle ! Crânes d’où sort la nuit, pattes d’où sort la giffle, Vieux dadais à l’air rogue, au sourcil triomphant, Qui ne savent pas même épeler un enfant ! Ils ignorent comment l’âme naît et veut croître. Cela vous a Laharpe et Nonotte pour cloître ! Ils en sont à l’A, B, C, D, du cœur humain ; Ils sont l’horrible Hier qui veut tuer Demain ; Ils offrent à l’aiglon leurs règles d’écrevisses. Et puis ces noirs tessons ont une

traversaient, argentaient, rendaient luisante, restait suspendue autour et au-dessus des berges, enveloppait tout le cours tortueux de l'eau d'une sorte de ouate légère et transparente. Le prêtre encore une fois s'arrêta, pénétré jusqu'au fond de l'âme par un attendrissement grandissant, irrésistible. Et un doute, une inquiétude vague l'envahissait ; il sentait naître en lui une de ces interrogations qu'il se posait parfois. Pourquoi Dieu avait-il fait cela ? Puisque la nuit est destinée au sommeil

Homère, ces gens-là ! Ces diacres ! ces bedeaux dont le groin renifle ! Crânes d'oùsort la nuit, pattes d'où sort la giffle, Vieux dadais à l'air rogue, au sourcil triomphant, Qui ne savent pas même épeler un enfant ! Ils ignorent comment l'âme naît et veut croître. Cela vous a Laharpe et Nonotte pour cloître ! Ils en sont à l'A, B, C, D, du coeur humain ; Ils sont l'horrible Hier qui veut tuer Demain ; Ils offrent à l'aiglon leurs règles d'écrevisses. Et puis ces noirs tessons

vers. Je suis le premier qui ai fait descendre la poésie du Parnasse, et qui ai donné à ce qu'on nommait la muse, au lieu d'une lyre à sept cordes de convention, les fibres mêmes du coeur de l'homme, touchées et émues par les innombrables frissons de l'âme et de la nature. Quoi qu'il en soit, mon père, qui était trop poli pour s'ennuyer de mauvais vers au foyer même du poëte, donna quelques éloges aux rimes du vieillard, siffla ses chiens, et me ramena à la maison. Je lui demandai en chemin quelles

est époux et père; mais ces portions de vérité ne sont guère amenées que pour faire des textes de scènes et des occasions de talent. II y a bien encore, dans cet être tout idéal, des pensées qui ont dû passer par la tête de tous les condamnés, des crises de douleur qui ont dû faire trembler les membres et claquer les dents de quelque malheureux sur la paille de son cachot, des soupirs qui se sont perdus et étouffés sous les murs de Bicêtre; et ces choses-là, vivement saisies par le poète, remuent