Pepsine

avait é?té? ajouté? 1mL de solution de pepsine à? 5 mL d'albumine, il a pu ê?tre observé? que la solution é?tait semblable à? la solution té?moin, puisqu'elle é?tait blanchâ?tre et relativement opaque. Il est donc possible de dé?duire que la digestion de l'albumine par la pepsine ne s'est pas effectué?e, en raison de la grande ressemblance avec la solution té?moin. Il est simple d'interpré?ter ce ré?sultat, car en l'absence de HCl, le site actif de la pepsine n'est pas exposé?, ce qui l'empê?che de

d’albumine avec 1mL de solution de pepsine non bouillie. La solution n’a pas changé de degré d’opacité et le pH était de 7. Cela signifie que la pepsine non bouillie n’a pas hydrolysée l’albumine. Puisque la solution d’albumine avec la pepsine a aussi un pH de 7, la pepsine n’influence pas le pH et elle est donc aussi proche de 7. L’albumine n’a pas été hydrolysée, car la solution ne contient pas de HCl. Le HCl est essentiel lors de la digestion des protéines par la pepsine, car le HCl convertit le pepsinogène

par l'oesophage pour descendre dans l'estomac. Le bol alimentaire subit alors un brassage énergique, grâce aux contactions des muscles lisses. Les glandes de la paroi stomacale sécrètent du mucus, du suc gastrique et de l'acide chlorhydrique. La pepsine du suc gastrique commence la dégradation des protéines en milieu acide le mucus protège la muqueuse gastrique de l'acidité. ensuite les aliments alors transfomées en chyme, son éjectès progressivement de l'estomac dans l'intestin grêle par le sphincter

intestinal. La salive sécrétée dans la bouche possède une enzyme appelée amylase salivaire qui catalyse une hydrolyse de l’amidon en maltose. Dans l’estomac, le suc gastrique, qui a un pH égal à 2 et qui est donc très acide, à comme enzyme la pepsine, qui catalyse l’hydrolyse des protéines en polypeptides. Dans le pancréas, le suc pancréatique possède plusieurs enzymes comme une amylase, plusieurs peptidases et une lipase, qui s’attaquent aux sucres, aux graisses et aux protéines. Enfin, dans

principaux de ce rapport seront d'observer les conditions adéquates (pH, température,...) dans lesquelles ces enzymes peuvent fonctionner de manière correcte. Matériel et méthode: 6 éprouvettes à numéroter de C1 à C6, eau, albumine, NaOH, HCl,pepsine, chronomètre, installation spécifique à la température dont est responsable le groupe. Nous avons tout d'abord numéroté les éprouvettes de C1 à C6 avant de les remplir de la façon indiquée dans le tableau ci-dessous : Eprouvette Eau Albumine

avec Rasmol Document 2 : Modélisation spatiale de la pepsine (Une seule chaîne) avec Rasmol Question 1 : Préciser le niveau de structure des molécules représentées en justifiant la réponse. Question 2 : Décrire la structure de chacune des enzymes.   1 1 STL – CBSV    Thème 2 : Nourrir les cellules  avril 2015  Activité 2 : Etude de l’hydrolyse de quelques molécules par des enzymes digestives On étudie l’action de l’α-amylase et de la pepsine sur plusieurs substrats, dans les conditions physiologiques

tableau ci-dessous dans le but de déterminer les conditions nécessaires à la digestion par la pepsine. Tube 1 2 3 4 5 Substrat Albumine Albumine Albumine Amidon cuit Albumine Enzyme Pepsine Pepsine Pepsine Pepsine Pepsine Température (°C) 60 37 37 37 0 Milieu chimique HCl HCl NaOH HCl HCl a. Formuler l’hypothèse testée par cette expérience. (6 pts) La pepsine digère l’albumine en acides aminés à 37°C dans un milieu acide. b. Indiquer le tube dans lequel

petites et très nombreuses dans la paroi de l’estomac. Sécrétion : le suc gastrique est un suc digestif très acide. Enzymes contenues : la pepsine Rôle de la pepsine : hydrolyse des protéines en protéines plus petites la protéine est coupée au milieu de la chaîne d’acides aminés : Remarques : le suc gastrique contient de l’acide chlorhydrique : La pepsine n’est active qu’en milieu acide. L’amylase salivaire n’est plus active dans l’estomac. L’acide solubilise les sels minéraux (carbonates

comme au niveau de l’estomac où se déroulent des étapes importantes de la digestion. L’estomac sécrète le suc gastrique, à l’intérieur de celui-ci on retrouve l’enzyme nommée pepsine. Cette enzyme participe à la prédigestion des protéines. Cette digestion chimique s’explique par l’hydrolyse des protéines effectuée par la pepsine. Celle-ci va briser des liens, contrairement à la digestion mécanique qui n’en brise aucun. Cette enzyme brise les liaisons peptidiques engendrant comme produit la dégradation

peu d’activité | OESOPHAGE | -Passage du bol alimentaire = steak en morceaux très fins passe dans l’estomac | | ESTOMAC | -Acide chlorhydrique active le pepsinogène en pepsine et dénature les protéines -La pepsine hydrolyse les liaisons peptidiques et est très importante dans la dégradation du collagène -Cette pepsine assure 10 à 20% de la dégradation des protéines | -HCl inactive la lipase linguale : hydrolyse seulement 10% des lipides-Lipase gastrique : dégrade quelques TG en deux AG et