Les Crédits Font Les Dépots

CHARTE RELATIVE AUX CONVENTIONS DE COMPTE DE DEPOT PREAMBULE La loi 2001-1168 du 11 décembre 2001 portant mesures urgentes de réformes à caractère économique et financier, dite « loi Murcef », a posé des principes de contractualisation, de transparence tarifaire et de médiation dans le cadre des relations entre les banques et leur clientèle. Dans le but de mettre en œuvre ces principes, les établissements de crédit et les organismes visés à l’article L.518-1 du Code Monétaire et Financier s’engagent

COMPTABILISATION DES OPERATIONS SUR PRODUITS DERIVES………………………………………………………...……..11 CHAPITRE 1 : PRINCIPES GENERAUX DE COMPTABILISATION…………………………12 Section 1 : Comptabilisation de l’engagement……………………………………………………12 Section 2 : Comptabilisation des dépôts de garantie…………………………………………….15 Section 3 : Comptabilisation des primes d’options……………………………………………....15 Section 4 : Comptabilisation des résultats…………………………………………………..……16 CHAPITRE 2 : TRAITEMENT COMPTABLE DE QUELQUES PRODUITS DERIVES……..21

l’encadrement du crédit : Les autorités monétaires fixent de manière autoritaire le montant des crédits que les banques peuvent accorder sur une période déterminée et encadrent son évolution en limitant son taux de variation. Ce dispositif contraignant alloue à chaque banque une enveloppe de crédits à octroyer, tout dépassement de ladite enveloppe fait l’objet de sanction. Avec l’encadrement du crédit l’état contrôle = * L’évolution globale du crédit. * La répartition du crédit entre les agents

comptes bloque ou à terme D. Les comtes d’épargne (sur carnet livrer) II. Distribution de crédits A. Selon la durée B. Selon la fonction et l’objet 1) Le crédit de la compagne 2) Facilité de caisse 3) Crédit d’exploitation 4) Le financement en besoin de fond de roulement 5) Le crédit d’investissement C. Selon la forme 1) Le découvert 2) Le crédit d’immobilisation de créance commerciale Conclusion Préambule * Le principe de l'intermédiation

agrégats vont du plus restreint au plus large : De M1 (agrégat ne comprenant que les montants immédiatement exigibles comme les sommes placées dans les comptes courants) à M3 (qui est un agrégat qui comptabilise la monnaie en circulation, les dépôts à vue, les dépôts à terme d'une durée inférieure à 2 ans ou remboursables avec un préavis inférieur à 3 mois, les parts d'OPCVM - organisme de placement collectif en valeur mobilière, les instruments du marché monétaire et les titres de créance d'une durée

ainsi que les dépôts à vue assortis de moyens de paiement (cartes bancaires, chèques) détenus par les agents non financiers. Ainsi, les pièces et les billets en dépôts dans les coffres des banques ne font pas partis de la masse monétaire. On constate ainsi que la masse monétaire se décompose à 86 % de monnaie scripturale et à 16 % de pièces et billets en France en 2004. B. La création monétaire Ce sont les banques qui créent de la monnaie à travers les opérations de crédit. En effet,

toutes les formes (crédits, opérations de leasing, participations, apports en comptes courants associés, engagements par signature, etc...) pondérés par les quotités fixées ci-dessous après déduction des provisions et des agios réservés constitués pour la couverture des risques ou pour la dépréciation des titres affectés par client et diminution des montants : - des garanties reçues de l'Etat, des banques, des compagnies d'assurances et des fonds de garantie ; et - des dépôts de garantie ou d'actifs

l’union européenne, lesquels ont adopté la monnaie unique ? La zone euro (ou Union économique et monétaire (UEM)) est une zone monétaire qui regroupe les pays de l'Union européenne qui ont adopté l'euro (€) comme monnaie unique. 15 pays européens font partie de la zone euro. . 1999 : France, Portugal, Espagne, Luxembourg, Belgique, Pays-Bas, Allemagne, Autriche, Italie, Finlande, Irlande 2001 : Grèce 2007: Slovénie 2008 : Chypre et Malte La Slovaquie devrait rentrer zone euro au 01

des orientations privilégiées par les banques ? Les entreprises sont au cœur du développement de l’économie, elles sont créatrices de richesses et pourvoyeuses de revenus lorsqu’elles répartissent cette richesse. Les entreprises bancaires ne font pas exception, seulement on ne parle pas de chiffre d’affaires mais de PNB : PRODUIT NET BANCAIRE. Il s’agit des revenus d’exploitation et des charges d’exploitation de même nature que la banque a dû engager pour générer ces produits. Il s'agit donc

contient seulement le Crédit populaire du Maroc (CPM). Celui-ci englobe la banque centrale populaire (BCP) et les banques populaires régionales (BPR). La deuxième catégorie contient les banques spécialisées dans le financement de secteurs d’activités particuliers avec possibilité d’exercer les activités de banque de détail. Ces dernières sont au nombre de 4, il s’agit du : • Crédit Immobilier et Hôtelier (CIH) : Sa mission principale depuis sa création est l’octroi des crédits au secteur immobilier