Les Crédits Font Les Dépots

banques se transforment sous l’effet de la crise du début des années (...) Le système bancaire représente aujourd’hui entre 2,6 % du PIB, et environ 400 000 salariés [1], près de 651 établissements de crédits (banques, banques mutualistes ou coopératives, Caisses d’épargne et de prévoyance, caisses de crédit municipal, sociétés financières et institutions financières spécialisées), dont environ 400 banques. [2] Il est très diversifié, comportant des établissements qui se différencient, en particulier

exclusif/bien rival : représente une partie de la quantité de monnaie en circulation. Etant donné la dimension collective de son usage, la monnaie revêt aussi les caractères d’un bien réseau : l’usage que je fais de la monnaie dépend de l’usage qu’en font les autres. Plus il y a d’utilisateurs, plus la reconnaissance progresse, plus l’usage est amélioré, et mieux cette monnaie remplie ses fonctions. Bien économique/ bien politique est social En tant qu’attribué de l’échange, la monnaie est un bien

banques commerciales disposant d'un réseau national : Crédit lyonnais, Société générale, Comptoir national d'escompte de Paris et BNCI. La même loi reprend l'essentiel de la réglementation de Vichy, et établit une cloison étanche entre les banques de dépôts, qui doivent privilégier les emplois liquides, et les banques d'affaires, qui ont évité la nationalisation et peuvent prendre des engagements longs. L'État a donc pris en main l'essentiel du crédit. Pendant une vingtaine d'années, les banques nationalisées

Notion La publicité foncière est l'ensemble des règles qui permettent d'assurer la collecte, la conservation, et la délivrance d'informations juridiques sur les immeubles. Elle est très importante pour assurer la sécurité des biens et la garantie de crédit qu'offrent ces biens. La publicité foncière est régie par le décret du 4/1/1955, le D. du 14/10/1955 et la loi du 6/4/1998. II.Objectifs de la publicité foncière Permettre de connaître la situation juridique des immeubles et la situation

découvert (les billets émis par les banques dépassés le montant des dépôts). Elles réalisent donc des opérations de crédits courant un risque d’illiquidité. Deux théories s’opposent dès le XIX eme quant au rôle de la monnaie dans l’économie : - l’école de la circulation : la banque est habilité à émettre des billets uniquement si elle dispose en amont d’un niveau d’encaisse métallique = crédit possible que si il y a eu des dépôts avant. - l’école de la banque : ici la création monétaire est légitimée

juridiques Incapacité du mineur Incapacité du majeur Droits réels / Droits personnels Suretés Différence entre PPD et hypothèque Régimes matrimoniaux PACS – Concubinage Successions ab intestat Successions avec testament Donations / Partages Mandat / Dépôt / Vente Crédit-bail Lettre de change Escompte • • • • • • • • • • • • • • • • • • Billet à ordre Dailly Chèque Loi Debré - 1966 Loi Scrivener I - 1978 Loi Scrivener II - 1979 Loi Bancaire - 1984 Loi Neiertz - 1989 Loi MURCEF - 2001 Loi Sécurité financière

d'institutions financières de grande envergure : Bank Al Maghrib, la Banque Marocaine du Commerce Extérieur, la Banque Nationale pour le Développement Économique, la Caisse d'Épargne Nationale, la Caisse Nationale de Sécurité Sociale et la Caisse de Dépôt et de Gestion. Plusieurs options se sont imposées au lendemain de l’indépendance, et notre économie a connu une chute des investissements et une aggravation de la fuite des capitaux. Devant cette situation, il était nécessaire de mobiliser les ressources

2 400 en France), soit un taux de bancarisation qui ne concerne encore que le quart de la population totale, mais la majorité de la population urbaine. Le tiers du réseau bancaire est concentré sur l’agglomération casablancaise. Deux banques (le CRÉDIT POPULAIRE DU MAROC et ATTIJARIWAFA BANK) détiennent 47% de ce réseau en forte croissance. 2. Une présence marquée des banques étrangères : Toutes les grandes banques privées du royaume comptent dans leur actionnariat des banques étrangères plus

banque centrale pour contrôler la masse monétaire dans le but de parvenir à l’objectif final de la stabilité des prix. Pour cela, elle dispose d’un certains nombre d’instruments qui ont évolué à travers le temps. Des moyens comme l’encadrement des crédits par voie réglementaire ; le refinancement direct auprès de la banque centrale par le taux de réescompte ou l’orientation sélective des investissements sont aujourd’hui obsolètes et ont laissés place à des instruments comme : • Les opérations

Encadré et contrôlé par Bank Al-Maghrib, ce marché donne la possibilité aux banques de conserver et de gérer des positions de change pour traiter aussi bien entre elles qu'avec la clientèle, les opérations de change au comptant, à terme, de swap et de dépôt en devise. Conçu initialement pour fonctionner en interne dans un cercle fermé interbancaire marocain, ce marché a été ouvert en janvier 1997 au marché international des capitaux en permettant aux banques d'effectuer des opérations de change devise