Les Décombres

avant de se faire renvoyer. Elle est caractérisée de difficile, principalement, notamment avec le fait, que la station de train la plus proche, est à 6 kilomètres, et qu’il fallait y aller à pied. Le paysage, y est décrit de manière négative, « les décombres du Voreux », « les tours élevées des hauts fourneaux et les batteries des fours à coke fumaient dans l’air transparent du matin ».Emile Zola, décrit ici, de la façon la plus réaliste possible le monde de la mine à cette époque-là.La vision du monde

températures augmentaient, de la nourriture et des médicaments mais la situation empirait, des personnes ayant trop soif ont bu l’eau insalubre des fontaines publiques. Il a fallu environ une semaine pour enlever tous les personnes encore vivantes des décombres. La capitale a été transformés en morgue à ciel ouvert car les haïtiens n’avaient plus de place pour leurs morts donc les déposaient dans les rues. En tout il y a eu à peu près 200 000 morts et 250 00 blessées dont 4000 personnes ont dues être

prête à répondre aux demandes d'aide des autorités. De très nombreuses maisons détruites, dans une région très pauvre, à la limite du Qinghai et du Tibet. On parle déjà de 10 000 blessés et, certainement de nombreuses personnes enfouies sous les décombres. Dans la ville de Jiegu, sans doute la plus proche de l'épicentre, 85 % des bâtiments auraient été détruits, selon les autorités locales  La tempête xyntia La tempête Xynthia est une dépression météorologique majeure qui a balayé plusieurs

économique * Problème de génération de naissance "J’ai regardé Nancy et j’étais désolé pour elle. Un monde défiguré à nos enfants… Gosses de riches se bagarrant entre eux, écrasant tout sous leur fureur. Comment s’en sortir dans un monde pourri de "décombres et de fumées, d’embuscades, de répression sanglante et de bordel en crescendo" ? B. Génération culturelle * Culture rock (les années 80/90 nostalgiques) * Le langage jeune

En attendant Godot Biographie de l’auteur Samuel Beckett né à Dublin le 13 avril 1906 et mort à Paris le 22 décombre 1989 est un écrivain, poète et dramaturge irlandais. Il est scolarisé à la Portora Royal School d'Enniskillen, lycée auparavant fréquenté par Oscar Wilde. Il obtient son Bachelor of Arts, enseigne quelque temps au Campbell College de Belfast, est fût ensuite nommé au poste de lecteur d'anglais à l'École normale supérieure de Paris. Il rencontrera alors James Joyce. Cette rencontre

une barricade. Au premier plan, associés aux matériaux–- Pavese poutres – que forment cette barricade, les corps de soldats morts apparaissent tordus et comme désarticulés. L'un gît nu. Un ouvrier ou un paysan blessé, foulard noué sur la tête, émerge des décombres, le corps et le regard tendus vers une femme du peuple, coiffée d'un bonnet phrygien dont s'échappent des boucles. Celle-ci est représentée en pied et occupe de fait la place principale. Elle brandit par la hampe un drapeau tricolore qui occupe l'axe

et dit vouloir « Tout voir de ses propres yeux pour témoigner que cela s’est passé ». Malgré les conditions atroces des tranchées, il constituera une sorte de journal de guerre sous forme de dessins : 600 seront réalisés ; tous représentant des décombres, explosions de grenades, champs jonchés de cadavres et soldats tapis dans les tranchées. Il meurt le 25 juillet 1969 après un infarctus à Singen. « Autoportrait en soldat » est une huile sur papier recto-verso de format 68 x 53,5 cm qu’il peint

images bien réelles extraites d'un reportage-documentaire de la chaîne de télévision britannique BBC au lendemain du massacre lors de l'entrée dans le camp de Sabra et Chatilla et montrant des femmes palestiniennes hurlant de désespoir parmi les décombres et les cadavres. - Prix : 5 prix + 19 nominations : César du meilleur film étranger, meilleur film en langue étrangère, meilleur scénario de documentaire (meilleur réalisateur de film documentaire, european film award de la meilleur musique)

faux ralliements, de conciliabules de vestibule et de brusques revirements, d’unités de façade et de vrais ressentiments. Le congrès de Reims, où les courants se sont transformés en factions et leurs leaders en chefs de clan, n’a laissé que des décombres. Les courants sont morts. Les enjeux s’épuisent. Les éléphants sont rentrés dans leur terroir, les jeunes loups dans leur tanière. Le congrès de Reims, comme toutes les cérémonies funèbres, ne laissera dans les annales du socialisme que le triste

batailles. Idée secondaire b) : Le second aspect représentant la défaite, est le destin auquel doit faire face Montcalm. Preuve : « Or Montcalm l’avait dit : - L’on me verra plutôt que de céder au nombre […] et puis m’ensevelir sous leur dernier décombre ! » Commentaire formel : Le poète se sert d’un procédé grammatical en utilisant des verbes au futur pour prouver que Montcalm savait que sa défaite était proche et qu’il n’y pouvait rien. Idée secondaire c) : Dans son poème, le poète national décrit