Plan d’analyse du poème :
« Les plaines d’Abraham »
Introduction :
Sujet amené : Louis Fréchette a été le premier poète auquel fut accolée la reconnaissance de poète national.
Sujet posé : Dans son poème « Les plaines d’Abraham », il met en évidence le sens de l’honneur du général Montcalm.
Sujet divisé : Dans cette analyse, nous allons aborder les thèmes de la défaite et du héros qui mènent, tous deux, à l’honneur.

Développement :
Idée principale 1 : Le poète met en valeur la défaite des deux généraux.
Idée secondaire a) : le premier aspect qui met en évidence la défaire, est le fait que Wolfe n’est pas un général digne de ce nom, car il mise sur le hasard dans la bataille.
Preuve : « Et Wolfe risquait tout sur la carte à jouer »
Commentaire formel : Louis Fréchette utilise un procédé stylistique : la métaphore, pour démontrer que Wolfe ne prévoit rien pour ses batailles.
Idée secondaire b) : Le second aspect représentant la défaite, est le destin auquel doit faire face Montcalm.
Preuve : « Or Montcalm l’avait dit : - L’on me verra plutôt que de céder au nombre […] et puis m’ensevelir sous leur dernier décombre ! »
Commentaire formel : Le poète se sert d’un procédé grammatical en utilisant des verbes au futur pour prouver que Montcalm savait que sa défaite était proche et qu’il n’y pouvait rien.
Idée secondaire c) : Dans son poème, le poète national décrit la désolation qui frappe Québec.
Preuve : « Québec que bombardaient quarante gros vaisseaux, […] Nuit et jour détachait, sinistre, sur le ciel ses spirales sanglantes.
Commentaire formel : Pour évoquer la désolation à laquelle doivent face les habitants de Québec, il se sert d’un procédé lexical en utilisant un vocabulaire dépréciatif pour décrire l’état de la ville de Québec.
Conclusion Partielle : Pour conclure cette première idée, avec ces trois éléments, on peut conclure que le hasard, le destin ainsi que la désolation mènent tous à la défaite que ce soit pour Wolfe ou pour